Jürgen Habermas

Philosophie des médias : L’espace public « Ni dieu ni maître : les réseaux », Manuel Castells Au singulier, l’espace public est le concept défini par Jürgen Habermas comme lieu symbolique où se forme l’opinion publique, issue du débat politique et de l’usage public de la raison. Résumé du texte de Manuel Castells : Un nouveau système de communication a émergé : une auto-communication de masse à travers les sites de réseaux sociaux, les blogs,… Ce nouvel environnement communicationnel modifie

durant la période des Lumières, comme le rappelle Jürgen Habermas dans son ouvrage intitulé L’espace public. Au départ, ce terme désigne l’opinion d’une élite éclairée, cultivée et bourgeoise capable d’entrainer le plus grand nombre, opposée à l’absolutisme royal et qui s’exprime en certains lieux circonscrits comme par exemple, les réunions littéraires (c’est ce qu’on appelle la période des salons). L’opinion publique renvoie aussi, selon Jürgen, à l’archéologie même de l’espace public entendu comme

par Marilène Raiola, Paris, Le Seuil, 1997 Homo Sacer II, 1. État d'exception, traduit par Joël Gayraud, Paris, Seuil, 2003 Libéralisme politique (1993), trad. par Catherine Audard, Paris, PUF, 1995.  Débat sur la justice politique, avec Jürgen Habermas, trad. par Catherine Audard et Rainer Rochlitz, Paris, éd. du Cerf, 1997.  Du retour. Abécédaire biopolitique, Calmann-Lévy, 2002  Le Pouvoir constituant : essai sur les alternatives de la modernité, PUF, 1997  Multitude : guerre et

Moralphilosophie: Jürgen Habermas 1.) In den Texten „Motive nachmetaphysischen Denkens“ und „Die Philosophie als Platzhalter und Interpret“ zeigt sich das philosophische Selbstverständnis von Jürgen Habermas (insbesondere unter Berücksichtigung der Philosophiegeschichte). Bitte versuchen Sie, bestimmende Aspekte dieses philosophischen Selbstverständnisses zu kennzeichnen. In seinen Texten „Motive nachmetaphysischen Denkens“ und „Die Philosophie als Platzhalter und Interpret“ gibt Jürgen Habermas einen

Jürgen Habermas [ Né en 1929 ] 20e siècle Philosophe et sociologue allemand né en 1929, Jürgen Habermas a obtenu son doctorat en 1954 grâce à une thèse sur Friedrich Schelling. Il fut professeur de sociologie et de philosophie à l'Université d'Heidelberg de 1961 à 1964 et à l'Université de Francfort de 1964 à 1971. Il dirigea de 1971 à 1983 l'Institut Max Planck de Starnberg (Munich). Il enseigna à nouveau à Francfort-sur-le-Main de 1983 à 1994, année de sa retraite. Habermas est souvent assimilé

-Dr. George Sadaka Devoir 1- Hanadi Kchour Habermas et L'espace public: Dans le domaine de la théorie de la communication, Jürgen Habermas fait référence. Philosophe, rattaché à l’école de Francfort, Habermas a largement influencé les recherches françaises, notamment autour de la notion de « l’espace public ». Les thèses de Habermas sont souvent obscures, et nous trouverons ici quelques éléments de synthèse La thèse de Jürgen Habermas, datant de 1961 , voit dans l’espace public une sphère

(TNP). Il le définit en terme de populus, le peuple [unifié] et non en terme de plebs, le bas peuple qui induit la notion de classification et de hiérarchisation du peuple. Le « public » se différencie, selon Jean Vilar, selon le type de théâtre. Jürgen Habermas pense que l’opinion publique se crée dans les débats littéraires. Ces débats opposent la sphère publique bourgeoise, littéraire du XVIIIe siècle et l’opinion publique plébiscitaire post-littéraire des sociétés médiatiques. Ensuite, vient la notion

départ chez Habermas pour comprendre les liens qui existent entre la construction de la réalité sociale (la communauté d'interprètes), la stabilité de l'ordre sociale et l'intégration sociale au niveau de ce qu'on appelle les actes de langage. Charles Sander Peirce développe le tournant linguistique en tenant compte de l'utilisation du langage, de la catégorie de la communication ou plus généralement de l'interprétation des signes comme étant le centre de sa philosophie, et Habermas tente de le mettre

en Allemagne, Institut dans lequel est hébergée l'Ecole de Francfort, nom donné à un groupe d'intellectuels allemands fondé en 1923 et ayant pour but d'accomplir une analyse critique de la société et de ses déformations. Élève et disciple de Jurgen Habermas, il est à présent enseignant de philosophie sociale à l'université de Goethe. Axel Honneth est le précurseur d'un projet de relance de la théorie critique amorcé par l’École de Francfort au moyen d’une théorie de la reconnaissance réciproque

orale ou écrite, les conseils sur l’art de l’écoute... Sur ce plan, on doit cependant constater un décalage énorme entre les théories et l’enseignement d’un art de communiquer. Sur le plan philosophique, les penseurs de la communication, comme Jürgen Habermas ou Michel Serres, s’emploient aujourd’hui à montrer combien la communication entre les hommes - c’est-à-dire la rencontre, le dialogue, la conversation, le contact - renvoie à un enjeu humain fondamental : celui de construire une société fondée