Legitimite Du Roi Divin

de la Bulle Unam Sanctam (18 novembre 1302). En 1294, afin de pouvoir financer la guerre contre l’Angleterre, le roi de France, Philippe le Bel, en contradiction avec les usages et l’immunité fiscale des clercs, prélève la décime sur le clergé de France sans avoir requis l’avis du Pape. Unam Sanctam est une bulle pontificale de Boniface VIII sur l’unité de l’Eglise datant du 18 novembre 1302. Cette bulle est une réponse à la décision rendue à l’occasion d’un concile de prélats français réunis

anciennement juriste (avocat et notaire). Cette bulle, adressée au Roi Philippe IV (dit Philippe le Bel), est célèbre dans l’histoire de France car elle expose au grand jour les différents entre l’Eglise catholique et la Royauté. En effet, Boniface VIII, pontife

l'assemblée des anciens, s'apparentant à une sorte de sénat, l'autre à une assemblée du peuple. La légitimité du roi d'Uruk semble dépendre étroitement de ces deux assemblées : il ne déclare en effet la guerre à la cité de Kish qu'après avoir reçu au moins le soutien de l'assemblée du peuple5. Qui plus est, l'attribution du pouvoir royal n'est que rarement héréditaire. Le terme sumérien pour désigner le roi, Lugal, consiste en effet en l'association de la racine Lu, homme et gal, grand. Ce qui importe

caractère extensif de la monarchie. La légitimité de la monarchie s'est généralement appuyée sur la prétention que le pouvoir est de «droit divin» - «par la grâce de Dieu». La légitimité monarchique s'est aussi appuyée, selon Maurice Duverger, sur la notion de patrimoine héréditaire (le passé, la tradition), à l'instar de la propriété familiale (le droit d'aînesse, commun au pouvoir politique et à la famille). Dans d'autres cas, le monarque pouvait fonder sa légitimité sur sa capacité à incarner la conciliation

constitutionnelles de 1875. §1 Le système institutionnel I- Les éléments d'Ancien Régime A- légitimité de droit divin D'abord on a le terme de Charte octroyée, on perçoit donc la légitimité monarchique de droit divin avec comme traduction dans le texte, le terme de charte octroyée par la Grâce de Dieu. Plusieurs indices démontrent cet octroi: L'art 57 souligne que toute justice émane du roi. Le texte est daté de l'« An de grâce et de notre règne le XIXème » comme si la révolution

(Le Prince de Machiavel : la raison d’être du prince est de conserver le pouvoir quelques soient les moyens utilisés) et 1576 (Bodin). C'est à cette période que les institutions changent, que les rapports entre le peuple et le pouvoir changent. « Le roi de France ne tient son royaume que de son épée ». Ces maximes se retrouvent dans la définition de Jean Bodin. Le 16ème siècle, c’est le siècle où apparait l’Etat moderne. Ce n’est pas une simple structure commune publique. L’Etat avec une administration

figure mythique monstrueuse et subversive, dans son opposition au pouvoir établi que représente Créon, met en évidence et dénonce les fonctionnements fallacieux du pouvoir officiel. Les ressorts surnaturels du mythe, la magie de Médée et son ascendance divine, en incarnant la toute-puissance du pouvoir royal, permettent dans un deuxième temps de mettre en lumière ses ressorts transgressifs tant politiques que théâtraux. On verra ensuite comment les questions de filiation et de descendance royale, objets

dynastie tire son nom d’Hugues Capet qui avait régné à partir de 996. Monarchie de type absolue en 1789, de droit divin au caractère sacré et paternel. I. La monarchie absolue de droit divin. Théoriquement le roi règne sans partage de souveraineté, il tient ses pouvoirs directement de Dieu et sans intermédiaire du peuple. Mais en pratique de nombreuses limites sont imposées au pouvoir du Roi. A. La théorie monarchique Elle permet de comprendre comment les rois concevaient leur pouvoir. Les derniers

officiels du pouvoir royal (et bourgeois-notable). L'année suivante il réalise ce tableau pour le petit-fils du Roi, mais louis XIV l'appréciant tellement décida de le garder et d'en faire une copie pour son petit-fils. Celui-ci fût accroché dans la salle du trône à Versailles. Ce tableau n'est pas une première puisqu'en 1695 déjà, H.Rigaud avait peint le Roi en armure. Après le décès du roi, le peintre continue a réaliser des portraits de la famille royale, a commencé par le successeur de Louis XIV

? Mis à part ces croyances largement répandues, M. Bloch envisage aussi les aspects politiques de la royauté thaumaturgique. On constate en effet qu'en France comme en Angleterre l'apparition du rite de guérison correspond à un besoin de légitimité des monarchies française et anglaise. Les Capétiens avaient accédé au trône de France aux dépens des Carolingiens en 987 par une élection et ce qu'une élection avait fait, une autre pouvait le défaire. Henri I Beauclerc en Angleterre pour sa