Theorie X Y Mc Gregor

15 Chapitre 2 : Les théories de la motivation au travail..................................................... P. 16 I. Les théories de l’Ecole Scientifique du Travail ........................................................... P. 16 A. L’organisation scientifique du travail de Taylor ....................................................... P. 16 B. La théorie Z mise en avant par W. Ouchi .................................................................. P. 17 II. Les théories de l’Ecole des Relations

pour la convection et par rapport à la conduction, un exposé beaucoup plus dépouillé en équations et en procédés mathématiques rigoureux de résolution. Si l’on y ajoute que la plupart des écoulements convectifs industriels sont turbulents et que la théorie de la turbulence constitue encore un des problèmes de physique du transfert non complètement résolus, on ne s’étonnera plus qu’un certain empirisme marque encore les corrélations qui déterminent les transferts convectifs. Le lecteur remarquera aussi

15 Chapitre 2 : Les théories de la motivation au travail..................................................... P. 16 I. Les théories de l’Ecole Scientifique du Travail ........................................................... P. 16 A. L’organisation scientifique du travail de Taylor ....................................................... P. 16 B. La théorie Z mise en avant par W. Ouchi .................................................................. P. 17 II. Les théories de l’Ecole des Relations

humaine, et rien ne dit qu’un principe observé dans une situation sera reproductible à une autre situation. En tant que science, le management oscille entre plusieurs pôles qui le caractérisent et lui donnent ses spécificités : – une alternance entre théorie et pratique. C’est dans cet aller-retour entre ces deux pôles que le management a acquis progressivement le statut de science sociale. Les premiers 1 Le marketing, fondements et pratiques, Economica. 2 Les grands principes du management théoriciens

innover ? ........................................................................................... 11 B. Le changement, un sujet sensible en entreprise ! ................................................... 14 a. Définition du changement, selon les théories. .................................................. 14 b. La réticence au changement … ..................................................................... 18 c. … un syndrome néfaste à contourner .............................................

seront le fait de trois écoles au succès divers : celle des relations humaines avec E. Mayo (1880 -1949) comme figure dominante, celle des besoins et des motivations – aussi appelée l'école des néo-relations humaines – avec A. Maslow (1908-1970), D. Mc Gregor (1906-1964) et F. 4 Elle l'est d'autant plus que certains auteurs ont pour unique préoccupation de permettre à un public pressé – généralement, celui des professionnels du management – d'acquérir un "vernis" de culture managériale en un minimum

humaine, et rien ne dit qu’un principe observé dans une situation sera reproductible à une autre situation. En tant que science, le management oscille entre plusieurs pôles qui le caractérisent et lui donnent ses spécificités : – une alternance entre théorie et pratique. C’est dans cet aller-retour entre ces deux pôles que le management a acquis progressivement le statut de science sociale. Les premiers 1 Le marketing, fondements et pratiques, Economica. 2 Les grands principes du management

atout majeur au leadership exercé dans une organisation pourvu que la moralité soit respectée. Weber M. (1920). Economie et société, tome 2, Pocket, 2003, Paris R.E Riggio (citation) d’après Lainey, P. (2008). Le leadership organisationnel de la théorie à la pratique, Montréal, Chenelière Éducation 7 1.2.2.2 Intelligence émotionnelle Le psychologue américain Daniel Goleman* s’est intéressé à une forme d’intelligence non conventionnelle et, qui peut s’avérer décisive en matière de leadership

Chapitre 1 : les Théories en organisation La recherche de meilleurs performances des organisations a conduit chercheurs et praticiens (chefs d’entreprises, ingénieurs, organisateurs) à théoriser le résultat de leurs observations sur les entreprises pour mieux les connaître et proposer des solutions adaptées. La réflexion sur l’organisation de l’entreprise commence au XIX siècle avec la généralisation de l’entreprise qui accompagne et suit la révolution industrielle. Ce mouvement est aussi pris

de contradiction : subjectivité (comportements humains) et l’objectivité (rationalité des instruments et techniques=> normatifs) La coordination (flexibilité de l’équipe) et l’adaptation (s’adapter a l’environnement du marché), 60’s= USA et GB : théorie de la contingence, Paul R Lawrence et Jay W Lorsh étudiant les conditions du couplage entre organisations et marché (1967) 2 concepts fondamentaux : La différenciation : est une notion plus large que l’idée de division horizontale des structures