12 Mai 1997 Prefet De Police

ADMINISTRATIF Dissertation Sujet : Le contrôle des mesures de police administrative par le juge La jurisprudence administrative concernant les mesures de police est délicate à se construire, car ce domaine est très particulier. Néanmoins on entrevoit une certaine ligne de conduite, nécessaire au vu de l'importance de définition de la notion de police, qui consiste à dire que la « liberté est la règle et l'intervention de police l'exception ». Cette formule est issue des conclusions du commissaire

d'une très large autonomie depuis 1998, désormais le CE considère qu'elle n'est plus une collectivité territoriale au sens de la Constitution car elle n'est plus régie par le titre de la Constitution applicable au collectivités territoriales (Titre 12), elle est régie par un titre spécifique (Titre 13). Cela se traduit par le fait qu'elle a un poids législatif et peut adopter des lois locales. CE, sect., 13 décembre 2006, Genelle : le CE dit qu'elle n'est pas une coll territoriales mais

Quels principes, quelles lois, quelle République ? Professeur Virevo. La question de la DDHC s’est posée avant même la Ve République. Le conseil d’État reconnaît valeur constitutionnelle à la DDHC dans un arrêt « société EKY » rendu le 12 février 1960. Le conseil constitutionnel donne à l’ensemble du préambule, valeur constitutionnelle le 16 juillet 1971 : fait « liberté d’association » (GDCC). L’application de ces textes par le conseil constitutionnel et le conseil d’État ne

droit public de l’économie. Il faudra ainsi s’interroger sur la portée que va avoir le droit de la concurrence au sein du droit administratif afin de juger de son impact sur les compétences du juge administratif. C’est par un arrêt du 6 juin 1989, Préfet de la région IDF, dit Ville de Pamiers, que le Tribunal des Conflits va juger que l’ordonnance de 1986 n’a eu ni pour objet ni pour effet de remettre en cause la répartition des compétences entre les deux ordres de juridiction, l’application de l’ordonnance

néolibéral dont il n‘est d’ailleurs que la contrepartie obligée (Garnier J-P, 1997, 1999). C’est, en tout cas, un éclairage qui permet de mettre en lumière les diverses facettes d’un “ projet urbain ” où, faute de projet alternatif de société, la gestion territoriale de la marginalisation de masse, mise en œuvre en France sous l’appellation de “ politique de la ville ”, tend de plus en plus à se confondre avec la police de la ville, dans l’acception large du terme. (Rancière J, 1995). Il est un aspect

LOI n° 2011-803 du 5 juillet 2011 relative aux droits et à la protection des personnes faisant l'objet de soins psychiatriques et aux modalités de leur prise en charge  Document 2 : Eric Favereau, « Psychiatrie: plus de loi, moins de droits », 30 mai 2011, LIBERATION.FR  Document 3 : Cour de cassation, chambre civile 1, 26 janvier 2011, n° de pourvoi: 09-14905  Document 4 : Nathalie Albert, « Hospitalisation d'office : le juge judiciaire sous pression . - À propos de la décision CEDH, 14 avr.

10 février 1905 GRECCO Responsabilité de la puissance publique Services de police : La responsabilité de l’administration dans le domaine des services régaliens comme la police : M. Grecco a été blesse par un gendarme par accident (il visait le taureau) ce qui n’est pas vu comme faute du service public. Mais l’irresponsabilité de l’Etat pour les services de police n’est plus évoquée dans cet arrêt. Solution : L’Etat condamné à payer ¼

la construction a été longue. En effet, le juge administratif a d’abord rendu une justice « retenue » jusqu’en 1870 car ses décisions n’étaient pas exécutoires tant qu’elles n’avaient pas été signées par le chef de l’État. Par la suite, la loi du 24 mai 1872 a permis ensuite le recours de la justice déléguée. Ainsi, les décisions du Conseil d'État sont devenues exécutoires sans avoir recours à la signature du Chef de l'État. La jurisprudence a apporté sa pierre à l'édifice en reconnaissant au juge

l’affirmation du pouvoir royal (passage suzeraineté à la souveraineté) qui progressivement fait de la France ce qui sera un état unitaire ; pour asseoir son autorité le monarque a développé sa propre administration avec en particulier les intendants de police de justice et de finance. Avec la monarchie absolue apparait un contentieux administratif confié à des juridictions spécialisées à savoir les intendants et surtout le Conseil du roi. La révolution française représente un saut qualitatif. Elle

gouvernement signe une ordonnance portant code général de la propriété des personnes publiques. Ce code, comme son nom l’indique est centré sur la propriété. Parce que le CE dans son rapport de 87 et la doctrine (notamment la thèse de Philippe Yolka - 1997) ont démontré que les biens dont les personnes publiques sont propriétaires ne sont jamais soumis à un régime de droit privé. Même les biens appartenant au domaine privé avec affection publique, la personne publique ne peut pas les gérer comme le