23 Octobre 1950 Cassation

sera applicable à telle ou telle loi. Exemple: La loi française qui reconnaît le génocide arménien. On s'interroge sur sa pertinence, sa force obligatoire. La loi du 23 février 2005, à son article 5, a interdit les injures envers les harkis, mais il n'y a pas de sanction. Résultat: le 31 mars 2005, devant la cours criminelle de Cassation, la personne qui a proféré ces injures n'est pas jugée coupable, n'a pas de sanction. Paragraphe 2: La justification de la règle de droit. D'un côté on a des tendances

référés en matière de libertés fondamentales (art. L 521-2 du Code de justice administrative), celui-ci protège aussi bien des libertés que des droits (p. ex. le droit d'asile : CE 12 janv. 2001, Hyacinte, D. 2001 p. 526, ou le droit de propriété : CE 23 mars 2001, Société Lidl, RFDA 2001 p. 765). Nous adopterons une démarche analogue, en englobant indistinctement des droits et des libertés sous le titre général de "libertés fondamentales" donné au cours lors de la procédure d'habilitation de la licence

cad une règle juridique écrite. Conseil de l'Europe → Organisation internationale, Convention européenne de sauvegarde, des droits de l'homme et des libertés fondamentales → convention européenne des droits de l'homme, a été adopté en 1950, ratifié par la France en 1974 pour commencer, et puis en entier en 1981. En cas de condamnation de la France, il peut y avoir des conséquences financières ou bien le législateur peut avoir à changer la loi. Il existe d'autres conventions européennes

Ces sources constitutionnelles ont connu une expansion importante depuis le milieu du XXe siècle. En effet, il y a d'abord la Constitution elle-même, le préambule de cette dernière, et d'autres règles et principes. A) La Constitution du 4 octobre 1958 La Constitution actuelle de la France contient 89 articles et un certain nombre de ces dispositions intéresse directement le droit administratif, et donc l'activité des administrations. 1) Les règles de compétence Parmi les règles

les conséquences des arrêts de la cour de cassation de février 2002 : L’obligation de sécurité de résultat . Prés de cinquante ingénieurs Sécurité et juristes de differentes entreprises françaises ont participé aux débats . . Faute inexcusable : l'obligation de moyen devient une obligation de résultat Les critères retenus jusqu'à présent pour qualifier la faute inexcusable avaient été définis par une jurisprudence abondante de la Cour de Cassation. La victime (ou ses ayants droit) pouvait

le rôle du juge) Le tribunal : tout organe dont la fonction consiste à « trancher, sur la base des normes de droit et à l’issue d’une procédure organisée, toute question de sa compétence » (CEDH = Cours Européenne des droits de l’Homme, 22 octobre 1984, x contre Autriche, n°8790/79) En droit français, la loi ne nous dit pas ce qu’est un tribunal. Cette juridiction se voit reconnaître deux pouvoirs : • Jurisdictio : mission, le pouvoir de dire le droit, de dire ce qui est juridique

Cour de cassation. Eky, 12 février 1960, Conseil d’Etat Le préambule de la Constitution appartient à la Constitution. Commune d’Annecy, 2008, Conseil d’Etat La Charte de l’environnement appartient à la constitution. Syndicat général des fabricants de semoule de France, 1er mars 1968, Conseil d’Etat La loi postérieure au traité prime sur ce dernier car le juge ne peut censurer le législateur (jurisprudence obsolète). Union démocratique du travail (UDT), 22 octobre 1979, Conseil

les 8%). Suite à la loi de 2008, il y a eu des contestations, on a saisi le conseil constitutionnel, on s’est demandé si ce système de représentativité ne portait pas atteinte à la liberté syndicale. Deux décisions du conseil constitutionnel : 7 octobre 2010 12 novembre 2010  Le conseil constitutionnel apprécie l’argument et le rejette, il dit que cette exigence de représentativité n’est pas contraire à la constitution mais garantie la représentation des salariés par les organisations les plus aptes

– LIBERTÉ DE CHOIX DES MODALITÉS DE CONSTITUTION DU TRIBUNAL ARBITRAL, 88-90. DU PRINCIPE, DU PRINCIPE, 20. SECT. 2. – Limites au principe de validité, 21-32. ART. 1. – ORDRE PUBLIC INTERNATIONAL FRANÇAIS, 22. ART. 2. – ARBITRABILITÉ, 23-32. § 1. – Nombre des arbitres, 88. § 2. – Modalités de désignation, 89. § 3. – Moment de la constitution du tribunal arbitral, 90. ART. 2. – ÉGALITÉ DES PARTIES, SECT. 3. – Conséquences du principe de validité de la convention d’arbitrage, 33-46

VILLA) le Conseil d’Etat, par la règle du 18 décembre 1998 SARL du Parc d’activité de BLOTZ HEIM accepte désormais de vérifier la régularité de la ratification. Cette décision a été confirmée par le (Conseil d’Etat 5 mars 2003 AGGOUN). La Cour de cassation (première chambre civile) a adopté la même solution dans son arrêt du 29 mai 2001 ASCENG il y a néanmoins un limite à ces contrôle de la régularité de la ratification ; elle résulte de la théorie de la loi d’écran qui demeure une survivance (Conseil