5 Forces Mintzberg

problème est que cette philosophie suppose, d’une part une connaissance exhaustive des éléments qui entrent dans la détermination de l’arbitrage couts-bénéfices et d’autre part l’idée que le réel peut faire l’objet d’une lecture binaire, sous la forme de forces et faiblesses quantifiables et monétarisables. Ce qui est rarement le cas. L’utilitarisme n’est pas pour autant une philosophie égoïste. C’est une philosophie de « la charité de bien ordonner » (je m’occupe d’abord de mes intérêts propres et par

pouvoir 4 2 - les ressources du pouvoir 6 3 – les sources du pouvoir 8 1-Les compétences : 8 2-Maîtrise des relations avec l’environnement : 10 3-L’accès à l’information : 10 4-La maîtrise des règles organisationnelles : 11 5 - Le pouvoir de référence et la maîtrise du symbolique : 12 6 - Le contrôle de l’incertitude : 12 Conclusion 13 [pic] Le pouvoir au sein d’une organisation est en effet une notion complexe

strategia est : • l'art de coordonner l'action de l'ensemble des forces de la Nation - politiques, militaires, économiques, financières, morales… - pour conduire une guerre, gérer une crise ou préserver la paix. «La stratégie est de la compétence du gouvernement et de celle du haut-commandement des forces armées.» Charles de Gaulle • et par extension, l'élaboration d'une politique, définie en fonction de ses forces et de ses faiblesses, compte tenu des menaces et des opportunités, dans

concurrents, l’Etat, fournisseurs, personnel …) * Les décisions stratégiques sont du domaine de la direction générale. Elle se distingue des décisions tactiques par l’importance des problèmes posés. Les différents types de stratégies (Henry Mintzberg) Schéma (numéro 2 sur poly « emploi du tps » La démarche stratégique * Objectifs d’une entreprise : Etre performant sur le long terme * Déterminer les sources d’avantages concurrentiels et les moyens de les préserver

est facilement transférable à toute situation d’action de recherche ou d’analyse. Le modèle de départ émane du monde anglophone de la promotion de la santé 2 et son adaptation et application à des contextes très variables apparaissent comme une des forces du modèle. * L’APPROCHE SYSTÉMIQUE DE L.GREEN Le modèle de planification PRECEDE PROCEED 3 est bien connu des intervenants en promotion de la santé. Il est basé sur les disciplines de l’épidémiologie, des sciences sociales, comportementales

La pyramide des besoins de MASLOW 3 4.2 L’approche bi factorielle d’HEZBERG 3 4.3 Les 4 types de managers de LIKERT 3 4.4 La grille de management de BLAKE & MOUTON 3 4.5 La théorie du Leadership situationnel 3 4.6 Les 3 niveaux d’aptitude de KATZ 3 5 Comment s’adapter à son environnement ? 3 5.1 Le constructionnisme social : WEICK 3 5.2 Le mécanisme de rationalité adaptative : CYERT & MARCH 3 5.2.1 Le processus de décision 3 5.2.2 La rationalité organisationnelle 3 5.2.2.1 La quasi résolution des

La guerre va donc être subordonnée à ces fins, et c'est là que se situe la distinction fondamentale entre tactique et stratégie. La stratégie requiert des buts, qui vont la qualifier : la stratégie est une fin. * "la destruction des forces ennemies apparait toujours comme le moyen supérieur" Aujourd'hui donc, de nombreux chefs d'entreprises ont à cœur de détruire l'adversaire, le concurrent. La stratégie est pour Clausewitz une articulation entre des fins et des moyens.

l’entreprise : il correspond à une synthèse des informations pertinentes pour l’entreprise, à un moment donné, telles que ses compétences, ses ressources et les facteurs clés de succès sur lesquels elle peut fonder sa stratégie. Il permet d’identifier les forces et les faiblesses de l’entreprise. À partir des diagnostics interne et externe, l’entreprise recensera les alternatives stratégiques puis les évaluera afin d’effectuer un choix stratégique. Enfin, la prise en compte des valeurs environnementales (par

collaboration avec E. Friedberg, il donne une premiére définition du pouvoir trés générale : le pouvoir est la capacité pour certains individus ou groupes d’agir sur d’autres individus ou groupes.  Le pouvoir du point de vue de l’organisation Mintzberg définit le pouvoir comme étant tout simplement la capacité à produire ou modifier les résultats ou effets organisationnels. Pfeffel (1981) quant à lui parle de force, non de capacité. De même, la notion du pouvoir différe d’une conception fonctionnaliste

cela passe essentiellement par la gestion de la croissance).  L’émergence de nouveaux courants critiques dans les années 80 : Pettigrew (Approche par le contenu : évaluer les différentes options stratégiques possibles et le résultat) ou encore Mintzberg (Approche par les processus sociologiques des entités avec des dimensions sociologique importante).  Aujourd’hui : Contexte hyper concurrentiel (innovation, réactivité, approches dynamiques…). D’où la mise en place de stratégies discursives, basées