7 Postulats De Burns

Généralités sur le leadership 5 A. Etymologie du mot leadership 5 a. En anglais 5 b. En français 5 c. En arabe 6 B. Définition du leadership 6 a. Selon Claude LEVY-LEBOYER 6 b. Selon Jean-Léon Beauvois 6 c. Selon Solomon E. Asch 7 d. Selon André Savoie 7 C. Les différentes approches du leadership 8 a. L’approche par les comportements des leaders 8 b. L’approche situationnelle du leadership 14 c. Les nouvelles approches du leadership 16 D. Différence entre leadership et management 17

(planning, programming, budgeting system) ou son équivalent franáais, la RCB (rationalisation des choix budgétaires): le contrôle de gestion est mis au service d'un projet. La direction par objectifs procède de la même vision: elle repose sur le postulat qu'il est possible, à tous les niveaux, de découper un objectif en sous-objectifs. A la logique de système (au sud-est) correspond un contrôle centré sur la recherche de l'efficacité opérationnelle maximale (Porter, 1997). Cette conception est celle

Economica, 2000 Mintzberg H., Le management, Les éditions d’Organisation, 1998 Rojot J., Théorie des organisations, Eska, 2005 Silem A. Martinet A.C., Lexique de gestion et de management, Dunod, 2009 Soutenain J., Farcet P., Messonet O., Management - DCG 7 - Manuel et applications, Foucher, 2008 Torrès-Blay O., Economie d’entreprise, Organisation, Stratégie et territoire à l’aube de la nouvelle économie, Economica, 2004 4 Sitographie INSEE htpp://www.insee.fr EUROSTAT http://epp.eurostat.ec.europa.eu/portal/page/portal/eurostat/home

l'individualisme méthodologique 45 II) Crozier, Friedberg et l’analyse stratégique 46 III) Sainsaulieu et l’identité au travail 48 IV) Reynaud et la régulation conjointe 49 V) Giddens et la dualité du structurel 50 Conclusion 51 Chapitre 7 : Approches économiques des organisations 52 I) Typologie des courants de pensée en économie selon Favereau 52 II) L’organisation dans la théorie économique traditionnelle 53 III) L’organisation dans la théorie économique moderne 54 Conclusion

organisationnelles des entreprises modernes restent profondément marquées par les principes tayloriens, les poussant même parfois à leur paroxysme. Mais, ces principes s’appuient implicitement sur deux postulats fondamentaux dont on peut légitimement mettre en doute le bien fondé. Le premier de ces postulats est celui du « one best way », selon lequel il existerait pour toute activité une façon optimale de s’y prendre, et une seule. Dans cette optique, l’organisation est vue comme l’agencement mécanique

travail, etc. ☛Amélioration des relations humaines = ➚de la production +++++ que les dimensions physiques ou économiques) ☛ Bonnes relations horizontales et verticales. ☛Mise sur orbite de la MOTIVATION. La perspective des relations humaines Les postulats du mouvement des RH : 1. La division du travail : ne crée pas de conflits d’intérêts irrémédiables 2. L’administration : La formalisation administrative rompt les liens de solidarité des groupes et isole les membres 3. Les styles technocratiques

le temps et en fonction de l’environnement externe mais aussi l’environnement interne. Selon cette théorie, chaque milieu de travail a des caractéristiques propres qui déterminent les décisions et les pratiques. Voir les auteurs : WOODWARD (1965), BURNS et STALKER (1961), LAWRENCE et LORSCH (1973). Il n’y a pas de structure organisationnelle idéale. Si on transpose ceci en GRH, il n’y a pas de modèle pour la GRH. Pas de pratiques meilleures que d’autres. Juste des pratiques bien adaptés au contexte

des élèves peut être définie comme un groupe constitué d’éléments uniques. Chaque classe constitue donc un univers singulier où les élèves entrent avec une maturité, mais aussi avec un niveau, un rythme, et des désirs différents. D’après les postulats de Burns nous pouvons dire que: - Il n’y pas deux apprenants qui progressent à la même vitesse. - Il n’y pas deux apprenants qui soient prêts à apprendre en même temps. - Il n’y pas deux apprenants qui utilisent les mêmes techniques d’étude

des études relatives à la formation des stratégies de changement organisationnel s'inscrivent dans le cadre de l'un ou l'autre modèle d'explication, qu'elles développent et/ou illustrent à l'aide d'analyses empiriques. Chaque modèle repose sur des postulats qui lui sont propres, avance des hypothèses spécifiques et ne peut être mobilisé que sous certaines conditions. Dans cet article, nous proposons une tentative de systématisation des différents travaux théoriques qui se sont livrés à l'étude de la

direction : toutes les activités des membres de l’organisation doivent viser les buts de cette dernière ; • -6- Subordination de l’intérêt particulier à l’intérêt général : l’intérêt de l’employé passe après celui de l’organisation ; • -7- Rémunération : les travailleurs sont rémunérés en fonction des services rendus ; • -8- Centralisation : le pouvoir de décision attribué aux cadres supérieurs doit aussi être partagé avec les cadres intermédiaires. Même si les dirigeants sont responsables