Agir Moralement

Naît-on libre ou le devient-on ? » Lecture du sujet • La conjonction « ou » qui relie les deux parties du sujet exclue les deux propositions : ou bien on naît libre, ou bien on le devient. • Liberté : faire ce que l’on veut, idée de se libérer, agir conformément à une loi morale (Kant). • Naître libre : double sens possible : bénéficier, en naissant, d’une liberté qui serait une donnée naturelle ; avoir le droit, en tant qu’homme, à la liberté. • Distinguer liberté de droit et liberté de fait

force de ces lois de la raison pure dites aussi objectives s’affirme pour la volonté sous la forme de l’impératif, commandement de la raison sur la volonté. Et l’impératif le plus important est l’impératif catégorique. Ce dernier contraint la volonté à agir selon la loi objectives sans autre alternative, sans que la volonté ne puisse basculer du côté de l’influence de l’expérience que Kant nomme inclination, contingence ou encore mobile. Ici, la possibilité d’une morale universelle, d’une métaphysique

utilitariste, ni aucune autre philosophie morale ne sont aussi exigeantes à l’égard de l’humanité : à l’exception notamment des dirigeants politiques, les êtres humains n’ont que très rarement à se préoccuper du bonheur du plus grand nombre : agir moralement ne signifie donc pour eux qu’agir pour le bonheur d’eux-mêmes et de quelques-uns sans nuire au bonheur des autres. E. La philosophie utilitariste ne fixe-t-elle pas un idéal trop élevé, trop noble pour l’humanité (objection 5) ? Mill répond

égoïstes. Ainsi, si l'homme pouvait avoir une conscience totale et infinie des conséquences de ces actes, il n'agirait moralement qu'afin de rendre les conséquences favorables à lui, mais jamais pour le simple fait d'être bon. Les hommes auraient toujours l'idée d'un jugement dernier associe a leur action et ne pourraient agir indépendamment de cette idée, de sorte qu'ils ne pourraient agir par devoir. En associant l'acte immoral à la punition, les vertus ou les valeurs morales seront sans doute respectées

quelque chose ou quelqu’un de moral ou d’immoral ? L ’ « immoralité » est un caractère qui viole consciemment et volontairement les principes de la morale. Il faut donc pour parler d’immoralité, imaginer un libre arbitre de l’homme qui ne l’oblige pas à agir selon une loi, mais c’est bien à son jugement que revient la mise en œuvre de ses actions. Il ne peut en effet y avoir aucune responsabilité morale sans liberté, mais aussi sans raison. Un fou qui n’est pas maitre de ses actes n’est pas jugé responsable

plupart du temps. Moult états des États-Unis optent pour la peine de mort dans certaines situations extrêmes. Face à cette réalité, devrait-on légaliser la peine de mort au Canada dans le but de sauver la vie des autres innocents? Peut-il être moralement acceptable de sacrifier la vie d’un criminel pour sauver la vie des autres? Pour résoudre cette problématique, mentionnons dans un premier temps la philosophie déontologique d’Emmanuel Kant, dans un deuxième temps la philosophie de l’utilitarisme

la philosophie. D’un point de vue pratique ou morale, elles montrent que l’homme est le plus souvent soumis et dirigé par les choses extérieures, par les objets et évènements ayant lieu dans le monde. Les passions empêchent l’homme de véritablement agir par lui-même. Du point de vue théorique, les passions entravent la mise en oeuvre de la raison, celle-ci étant la source de la vérité. Les passions détournent l’homme de la connaissance vraie. On comprend ainsi que l’enjeu de la connaissance des passions

préconise la non-violence ainsi que le désobéissance civile .Il est le premier à prêcher l’obéissance aux lois justes, ce qui n’est pas seulement un devoir juridique, mais aussi un devoir moral, mais il prône également qu’à l’inverse, chacun est moralement tenu de désobéir aux lois injustes. Il prône donc l’existence de deux catégories de lois : juste et injuste. Selon lui, une loi juste est une prescription établie par l’homme en conformité avec la loi morale ou la loi de Dieu. Contrairement à cela

l’âge ou la loi. Est mineur celui qui n’a pas encore pleinement développé, selon une logique naturelle, ses capacités, ou bien celui que l’état, la loi, n’ont pas reconnu comme responsable. Or dans le texte la minorité relève d’une aptitude à penser et agir par soi-même, à oser exercer son jugement et sa liberté. Le mineur, ce n’est donc pas nécessairement l’enfant, c’est celui qui ne veut pas accéder à l’autonomie, qui ne se donne pas ses principes de pensée et d’action, mais qui les reçoit d’une source

EL 1 - coursEL 1 Premier mouvement => Lignes 1 à 8 : Une mère perspicace qui dévoile les sentiments amoureux de sa fille. J’annonce mon idée directrice en suivant la progression du texte Je justifie par des analyses issues du texte en m’appuyant sur des procédés d’écriture associés à des citations. l.1-2 : L’extrait étudié commence par la prise de parole de Madame de Chartres qui annonce deux éléments dramatiques : sa mort imminente et le malheur qui menace sa fille, Madame de Clèves. L’extrait