Aléa moral

évoque l’incertitude résultante d’une information volontairement ou involontairement insuffisante. Ce terme recouvre des notions différentes : aléa, incertitude, hasard, spéculation… Cette incertitude est souvent liée à la spéculation, qui consiste à tenter de prévoir le résultat futur d’un événement. Cependant les contrats aléatoires sont contraires à la morale islamique car cette situation génère une ignorance quant aux gains et aux pertes des deux cocontractants, susceptible de causer un préjudice

à la charge du gagnant d'un jeu autorisé, d'une obligation naturelle de verser une quote-part de ses gains à celui qui l'a aidé à gagner (I) à la transformation de l'obligation naturelle en obligation civile (II). Il restera alors à apprécier la morale de l'histoire (III). I. La reconnaissance d'une obligation naturelle 5 - Autant la thèse du pourvoi que l'arrêt de la Cour de cassation ont en l'espèce admis l'existence d'une obligation naturelle. La première contestait uniquement que cette obligation

ceux qui, à l'inverse, présentent un besoin de financement dans l'optique d'une allocation efficiente des ressources financières ; la finance islamique, quant à elle, admet une définition toute autre de l'efficience, incluant notamment des critères moraux inhérents à l'éthique musulmane. En outre, la finance ne saurait être considérée comme une discipline indépendante. La présenter comme une partie intégrante d'une discipline plus vaste - les sciences économiques - paraît en effet plus juste. Aborder

psychique, moral. Synon. chagrin, déception, désillusion, peine, tourment. Mal de l'absence, de l'exil; mal d'amour, de langueur; avoir mal à l'âme… II. P. ext. [Fréq. avec le partitif] Tout ce qui est contraire au bien-être, à l'épanouissement; tout ce 3 qui est mauvais, dommageable, néfaste (aux êtres ou aux choses). Les maux du despotisme, de l'intolérance... mais notre intitulé le donne au singulier... III. Au sing. Tout ce qui est contraire au bien. A. Ce qui est contraire à la loi morale, à

est obligé de faire quelque chose, notre liberté est restreinte, on est contraint de se plier à une nécessité. Ce sens est donc plus large et ne recoupe pas la définition juridique car l'obligation, en droit, est sanctionnée sur le plan étatique. En morale comme en religion, il y a en effet des obligations et des devoirs mais il n'y a pas le bras armé de l'Etat pour venir sanctionner le manquement à son obligation. Le seuil entre le juridique et le non-juridique est parfois délicat. Un certain

général et impersonnel de la règle de droit A titre principal, la règle de droit dicte un comportement aux personnes qui y sont soumises. Mais à l’évidence, l’homme qui vit en société voit son comportement soumis à bien d’autres règles : règles morales, règles dictées par une religion, règles du « savoir-vivre »… Par essence la règle de droit est une disposition impersonnelle qui a vocation à s’appliquer à un nombre indéterminé de personnes se trouvant dans une situation déterminée. En définitive

les sciences + émancipation de la tutelle religieuse => recherche d'explications rationnelles -L'économie politique selon Smith : 2 objets : enrichir le peuple et l'État Quelques grands concepts et leur actualité La théorie des sentiments moraux et la conception de l'homme -homme : égoïste + calculateur froid et rationnel => maximiser son utilité + moteur puissant : l'ambition personnelle -cela conduit à : l'harmonie collective La main invisible et la fonction de régulation des marchés

..... 11 Un capitalisme malade de la peste : une soif de profit jamais assouvie ........................................................................................................................................... 11 Le problème de l’aléa moral ......................................................................................................... 11 Aveuglement et « court-termisme » ....................................................................................... 14 Le partage

1) Droit objectif ou règle de droit C’est donc l’ensemble des règles sociales qui régissent la vie en société (règles éco, règles corporatives, règles qui s’appliquent aux mœurs…). La règle de droit (ou juridique) est différente de la règle morale, elle se caractérise par : * obligatoire * générale (pas de distinction de race, de sexe…) * abstraite * coercitive (sanction en cas de non respect) Cette règle a plusieurs sources : la loi (au sens formel du terme, c'est-à-dire

permet de distinguer les obligations civiles ou encore juridiques des obligations dites naturelles. Les obligations civiles sont celles qui résultent d’un lien de droit alors que les obligations naturelles résultent d’autres droits (la conscience, la morale, le savoir être : pas d’obligation alimentaire mais une personne peut se sentir obliger d’aider un membre de sa famille donc le droit va considérer qu’une obligation a été exécuter cela veut dire que celui qui a spontanément et en connaissance de