Antonin Artaud

Pointe-à-Pître, Breton se rend en Haïti pour y prononcer une conférence. Sa venue coïncide avec un soulèvement populaire qui renverse le gouvernement en place. Le 25 mai 1946, il est de retour en France. Invité à la soirée d'hommages rendus à Antonin Artaud, c'est d'une voix vive et ferme que Breton prononce enfin les "deux mots d'ordre qui n'en font qu'un : Transformer le monde et changer la vie."[15] Malgré les difficultés de la reconstruction de la France et le début de la guerre froide, Breton

jeune Werther Romantisme Théophile Gautier La Cafetière Romantisme Alfred de Vigny Poèmes antiques et modernes Romantisme XX ème: Beckett En attendant Godot Th. De l’absurde Eugène Ionesco La Cantatrice chauve, La Leçon Th. De l’absurde Antonin Artaud Le Th. Et son double Th.de la cruauté Guillaume Apollinaire Alcools (rec)- La Loreley Surréalisme Louis Aragon Les Yeux d’Elsa(rec) Surréalisme, Dadaïsme Paul Eluard La Courbe de tes yeux Surréalisme André Breton Union Libre Surréalisme

les chefs-d’œuvre «  de la société dont ils furent les plus belles décoratives »  SAINTE BEUVE 100-« La véritable admiration est l’historique »ERNEST RENAN 101-« Les œuvres du passé sont bonnes pour le passé, elles ne sont pas bonnes pour nous » ANTONIN ARTAUD 102-« Les chefs d’œuvre sont, heureusement, toujours jeunes »  BALZAC 103-« Il n y a pas de chefs d’œuvre dans l’éternité, il n y a que des œuvres dans le temps » HENRI DE MONTHERLANT 104-« Les œuvres vivantes sont celles qui, à travers les siècles

leur vie : il ressemble à des cages, à des prisons, à des cavernes. Mais contrairement aux esclaves ou aux prisonniers, l’exploité des temps modernes doit payer sa cage. "Car ce n’est pas l’homme mais le monde qui est devenu un anormal." Antonin Artaud | Chapitre IV : La marchandise Et c’est dans ce logis étroit et lugubre qu’il entasse les nouvelles marchandises qui devraient, selon les messages publicitaires omniprésents, lui apporter le bonheur et la plénitude. Mais plus il accumule

base à la représentation & incite à l'improvisation (acteurs de la Commedia dell'arte). * le texte modifié : le texte peut être remanié au cours des répétitions (Le Barbier de Séville de Beaumarchais). * la révolte contre le texte : Antonin Artaud dans son essai Le Théâtre & son double (1938) : « Toute l'écriture est de la cochonnerie ». 5. Les didascalies * elles constituent un encadrement important du texte. * l'absence presque totale de didascalies donne une grande

l'absurde » qui, dans les années cinquante, reflète la perte des repères et la défiance vis à vis du langage manipulateur. Les dramaturges, bien différents cependant les uns des autres et autonomes, représentent le vide, l'attente et, influencés par Antonin Artaud (Le Théâtre et son double, 1938), la vacuité du langage à travers des personnages dérisoires, à l'existence absurde et aux échanges vides. Ce mélange du tragique métaphysique et de l'humour dans la dérision et la déstructuration du langage et

: Ébauche d'un serpent (extrait, 1921) Alfred Jarry : Du soleil, solide froid (Gestes et opinions du docteur Faustroll, pataphysicien, Fasquelle, 1911) Raymond Queneau : Le soleil (extrait de Petite Cosmogonie Portative, Gallimard, 1950) Antonin Artaud : Tutuguri (dans Les Tarahumaras, 1945; L'Arbalète, Paris 1955) Jean Tardieu: Le Soleil (extrait de La part de l'ombre, Objets incommensurables 1950-1961, Gallimard) Jacques Prévert: Le Soleil est amoureux La Reine de la Nuit Orphée

apaisée, elle est basée sur la résolution ou l'évocation de problèmes stylistiques ou sociétaux. La danse contemporaine cherche à résoudre des problèmes collectifs de façon individuelle. http://corpsetculture.revues.org/document607.html Antonin Artaud : La vrai culture est « un moyen raffiné d'exercer et de comprendre la vie »

des personnages, et la nécessité de chacun à s'appuyer sur l'autre afin de paraître crédible dans son rôle. Ce procédé est beaucoup utilisé au théâtre car il démontre bien la différence entre ce genre littéraire et la vraie vie est comme le dit Antonin Artaud : « dans la vie on fait plus et on dit moins, et qu'au théâtre on parle beaucoup pour faire une toute petite chose. », le spectateur est ainsi amené à ressentir mieux chaque pensée du personnage puisque ce dernier les exprime toutes. Ainsi

homme, affalé nu sur son fauteuil ne présente aucun signe de vie si ce n’est que la serviette qu’il tient fébrilement. Les plans rapprochés sur sa peau nous donnent l’impression qu’il s’agit de chair en décomposition. «Comment ne pas évoquer ici Antonin Artaud, lui qui, dans l'une de ses Lettres sur la cruauté, décrit un « monde clos » infernal, similaire à celui dans lequel Morin jette systématiquement ses personnages : " [...] la mort est cruauté, la résurrection est cruauté, la transfiguration est