Antonin Artaud

ainsi que ses idéaux (brutaux ou chevaleresques)…et bien sûr construisent dans l’émoi les passerelles pour ses passages récurrents du réel aux rêves. Pour figurer le rêve et y entrer : Sur scène, « parler » comme l’on parle dans les rêves, dirait Antonin Artaud. Agir de même. Nous activons la dynamique de la métamorphose des éléments de jeu (des éléments scéniques et du corps de la comédienne) : tout doit transmuter dans l’alchimie du feu des allumettes. C’est la nécessaire déréalisation de l’espace

éloignés en clamant leur indignation (Retour d’URSS de André Gide en 1937). Le surréalisme se retrouve aussi bien dans la peinture avec notamment Marcel Duchamp, René Magritte et Max Ernst mais aussi au cinéma, tout nouveau à l’époque, avec Man Ray, Antonin Artaud, Marcel Duchamp etc. Le mouvement surréaliste se développe en parallèle avec le mouvement pictural du DADA, qui se base sur la dérision. Le surréalisme revendique de nombreux précurseurs, mais on peut ce pendant noter Arthur Rimbaud et Guillaume

avatar et... un jeune homme ! Philosophie et littérature • Le conte a inspiré le philosophe Gilles Deleuze (sa Logique du sens prend l'œuvre de Carroll comme source principale avec le stoïcisme), le psychanalyste Jacques Lacan, l'écrivain Antonin Artaud (qui en a traduit des extraits). • Alice Liddell apparaît également comme un des principaux personnages de la série en cinq volumes Le Fleuve de l'éternité de Philip José Farmer, notamment dans le dernier livre, Les Dieux du Fleuve, où elle

part entière. Ce type de théâtre montre une existence dénuée de signification et met en scène la déraison du monde dans laquelle l'humanité se perd. Langage et non-communication Cette conception trouve appui dans les écrits théoriques d'Antonin Artaud, Le Théâtre et son double (1938), et dans la notion brechtienne de l'effet de distanciation. L'apparente absurdité de la vie est un thème existentialiste que l'on trouve également chez Sartre et Camus, mais ceux-ci utilisent les outils de la dramaturgie

répétition incessante de la didascalie « Un temps » laisse entendre une parole qui est souvent suivit par le silence. La parole semble perdre le statut privilégié qui est normalement le sien au théâtre (cet aspect peut rappeler la critique que faisait Antonin Artaud de la place de la parole dans le théâtre occidental ). Beckett a donc une vision subversive et révolutionnaire du théatre. Fin de Partie a donc tendance à amoindrir, voir a faire disparaître, les éléments constitutifs de la dramaturgie traditionnelle

naître cette œuvre, gageant encore qu’à travers siècles, gagné par ce « massage sensible », pour reprendre l’ambition d’un Antonin Artaud, l’auditeur pourra trouver douceur d’apprendre ou délivrance par catharsis : cette langue ne se percevant plus comme emphatique ni démesurée parce qu’elle était inaccessible, mais se recevant comme l’expression la plus juste, la plus appropriée

d’inquiétant mais qui n’existe pas, qui nous fait croire à des idoles. « C’est pourquoi tournez vous plutôt vers vous même que vers vos dieux ou vos idoles ». c’est le moi qui a toutes les propriétés de dieu et toutes les propriétés du diable. Antonin Artaud dans Héliogabale ou l’anarchiste couronné : En 218, Héliogabale, le prêtre du soleil, est choisi par les légions romaines pour devenir empereur de Rome. Pour la première fois, un anarchiste a pris le pouvoir. Il ne connaît que sa propre loi, impose

part de hazard à l'honneur. >cadavre exquis : forme littéraire et picturale >question/réponse : principe des associations d'idées. Exp de 1928 : « Benjamin Péret : Qu'est-ce que le diable ? Benjamin Péret : Le tour du monde en béquilles. Antonin Artaud : La mort a-t-elle de l'importance dans la conception de votre vie ? André Breton : C'est l'heure d'aller se coucher. André Breton : Qu'est-ce que le viol ? Benjamin Péret : L'amour de la vitesse. Marcel Noll : Qu'est-ce qu'un parapluie

se sont intéressés à une conception idéale de la scène, dans Le théâtre et son double Antonin Artaud décrit sa vision de cet espace, où la séparation entre le public et la scène serait abolie, il emploie un futur de certitude « un lieu unique (...) qui deviendra le théâtre même de l’action» l’auteur joue sur le sens du mot théâtre qui désigne à la fois le lieu mais également s’assimile au mot «centre» selon Artaud le théâtre doit permettre au spectateur d’être au centre de l’action et de la vivre véritablement

Auric qui ne seront jamais réellement surréalistes ; des nouveaux : Pierre Naville écrivain, Jacques-André Boiffard photographe, Georges Malkine artiste. Enfin, Picabia malgré tout et toujours ..., Picasso, Duchamp. Se joindra ensuite au groupe Antonin Artaud, hésitant d’abord, puis se laissant tenter par l’aventure de la descente à l’intérieur du moi. Breton y dresse également une généalogie du Surréalisme ; sont ainsi intrônisés à la source du Surréalisme « Sade, justement surréaliste dans le sadisme