Argument d'autorité

nous parle de l’affaire « Dreyfus » (l.63) ) à laquelle « Zola » (l.64) a participé, ainsi que « l’administration du Congo » (l.65) dont « Gide » (l.65) s’est mêlé, et Camus nous cite « Nietzsche », philosophe connu (l.24). Ce sont donc des arguments d’autorité. Il a aussi présence de raisonnements rationnels : Sartre explique que « tout écrit possède un sens » (l.1) et Caillois l’appuie en indiquant que « l’écrivain se sert de mots, que ces mots ont un sens, que ce sens ne peut pas rester sans influence

possède l'autorité sur toute son organisation. 2) Dans une organisation où l'autorité est fondée sur le statut des individus, peut-il néanmoins se développer d'autres relations d'autorité ? Les relations d'autorités ne sont pas fondées que sur le statut des individus. Il existe d'autres relations d'autorités telle que les leaders de faits, grâces à leurs compétences propres, ils vont s'improviser leader du fait de leur personnalité. 3) Concernant la réparation des machines, les échanges

R d M pour D oc - étudiant .fr , © 20 1 0 I ) Pour parler de l'altérité, on peut utiliser des arguments rationnels. 1°) L'utilisation de l'argument d'autorité. ( Controverse de Valladolid : Aristote ). 2°) L'utilisation de contres-exemples. ( Controverse de Valladolid, Montesquieu – L'esprit des Lois ). II ) On peut également avoir recours aux sentiments pour toucher l'auteur. 1°) L'utilisation d'un vocabulaire hyperbolique. ( Le document d'un manuel scolaire sur les 4 races : « La race blanche

appréciatif. Luther condamne et appel au jugement : voc dépréciatif, tournures impersonnelles et exclamatives. II°) Déroulement de la polémique Défensive §1 : adresse au lecteur + argument d’autorité, voc appréciatif autour de la moral : bien/ mal=antithèse. Fin sur la victoire du bien. §2 argument d’autorité : Moïse, le Déteuronome, raisonnement inductif (exemple puis loi) §3 Erasme prend la parole avec « Persuader ». Implicat° directe d’Erasme (l.19) Une polémique avec des idéaux humanistes

discours en situation plus qu’à la langue. Question 3. Monologue/dialogue L’argumentation se développe-t-elle sur des modes dialogaux ou monologaux ? L’objet privilégié de l’argumentation va être des formes monologales/dialogales de discours argumentés. monologales : l’étude de discours argumentatifs produits par un seul locuteur (“monogérés”) amène généralement à travailler sur des textes écrits (éditoriaux, tracts, etc.), ou sur des monologues qui constituent souvent de l’écrit oralisé (allocutions

sophismes Les sophismes sont des raisonnements qui ne respectent pas les critères de rationalités : l’acceptabilité (est-ce que les arguments sont acceptables selon les règles de la rationalité?), de la pertinence (est-ce que les arguments sont pertinents par rapport à la thèse ou la conclusion à défendre?) et enfin la suffisance et la cohérence (est-ce que les arguments, bien qu’acceptables, sont logiques?). Les sophismes sont considérés comme étant aux mieux invalides (quand l’on se trompe en toute

enseigne les moyens de persuader sans toutefois préjuger du succès. Car à la différence d'un consensus, accord conclu démagogiquement sur les points faibles d'opposition, la controverse oblige à négocier sur les points forts et à considérer les arguments contraires. La rhétorique n'est donc pas l'instrument de persuasion universel dont rêve le tyran. Elle est davantage un " art du contre " : elle apprend à dire non et à fonder ce refus sur la raison. Gilles Declercq, La rhétorique et sa méthode

l'avocat de l'esclavage des noirs. Il propose ainsi en neuf paragraphes bien séparés, neuf arguments. On se propose d’étudier le fonctionnement de l’argumentation de Montesquieu et de montrer que ce texte est en effet une éloge de l'esclavagisme largement ironique. - Lecture du texte - Annonce du plan On commencera par montrer que Montesquieu semble défendre le mouvement esclavagistes, en analysant chaque argument utilisé par l’auteur, pour après montrer que le philosophe des Lumiéres se livre en effet

en 1784 qui conteste et s’interroge sur la notion d’autorité et qui met en cause la monarchie absolue de droit divin en France. Ce texte cherche-t-il à convaincre et /ou à persuader de l’arbitraire de l’autorité politique ? Dans un premier temps nous étudierons la notion d’autorité selon Diderot, puis nous nous appuierons sur son raisonnement et enfin nous constaterons que ce texte chercher à dénoncer et à critiquer. I – la notion d’autorité A) Autorité naturel : Diderot admet qu’il y a

publicitaire, discours politique, etc.) sont par nature argumentatif. Mais toute forme de texte (narratif, descriptif, poétique, etc.) peut avoir, plus ou moins ouvertement, une visée argumentative. I. Mise au point terminologique 1. Démontrer et argumenter Il faut distinguer démonstration et argumentation. Le rapport à la vérité et la position occupée par le locuteur ne sont en effet pas les mêmes : - démontrer : prendre pour point de départ une vérité admise par tous pour conduire logiquement,