Argumentation Et Ironie

ce que l'auteur semble promouvoir. II b. _ implication du locuteur et de l'interlocuteur à la première personne "je" puis on passe au "nous" §4 et du "nous" on passe au "on". Il montre son opposition à l'esclavage avec ironie. II c. _ Critique à caractère politique, argumentation contre l'esclavage et dans la suivie, une dénonciation des philosophes du XVIII avec " des petits esprits exagèrent trop", il revient au détracteurs de l'esclavage et ridiculise ce groupe de pensée. Il y a une remise en

«femme» l10, «chez lui» l13 et par la coté familier de la situation évoqué une conversation du magistrat avec son épouse l10 «conter» : la torture franchi les limites de la prison et devient sujet de dialogue familiales en ce banalisant. B) Argumentation construite 1§ 1 contexte C) La déshumanisation Déshumanisation de tous ceux qui sont concernés par la torture : * Victimes : Chevalier de la Barre + Consul de la Tournelle * Responsable : les juges (cruauté conseillé, juge), chirurgien

 il trace le portrait de son époque (âge de fer) qu'il  représente comme l'âge des plaisirs et du luxe (positive).      I­ Une argumentation qui se fonde sur l'antithèse    ● Pour  Voltaire il s'agit de convaincre la lecteur éclairé, l'homme du  siècle  des  lumières que la recherche du bonheur doit se faire ici  et  maintenant   grâce  à  la marche du progrès  ● Il  fonde  son  argumentation  sur  une  antithèse  (opposition  de  deuxidées)  :  l'éloge du progrès en réponse à la croyance  stérile  d'un  monde 

toutefois la quantité, le type de pratique et l’attachement au produit nuancent le pronostic… Argumenter, c’est donc définir la stratégie la plus efficace, la plus habile pour 4. Genres et registres sollicités On a l’habitude de distinguer entre argumentation directe (explicite) ou indirecte (implicite) et de rattacher les genres à l’un ou l’autre type d’argumentation. Outre qu’il convient de se montrer nuancé dans le classement et le rattachement, c’est le choix de l’énonciation qui permettra surtout

1. Une argumentation implacable 2. Au service de la vérité J’accuse ! est le titre d’une lettre ouverte écrite en 1898 par Emile Zola, écrivain naturaliste engagé dans la lutte pour réhabiliter l’officier Alfred Dreyfus, injustement condamné par les tribunaux de l’armée française pour traîtrise envers sa patrie. Dans cette lettre adressée au président Félix Faure, Zola dresse surtout un violent réquisitoire contre ceux qui ont dégradé et banni Dreyfus. Il emploie une argumentation implacable

L'apprentissage par coeur 2- L'éducation collective 3- L'éducation par le gain II- Ce que propose Montaigne comme éducation 1- Une éducation adaptée à chacun 2- Une ouverture d'esprit par soi-même III- La volonté de convaincre 1- Les différentes argumentations 2- Les images données par Montaigne I- Une critique de l'éducation traditionnelle 1- L'apprentissage par coeur « On ne cesse de criailler à nos oreilles, comme qui verserait dans un entonnoir » l.14 Comparaison entre l'apprentissage

d’armes littéraires spécifiques qui gardent toute leur pertinence pour argumenter aujourd’hui. Un deuxième axe de travail consiste donc à étudier les stratégies argumentatives des philosophes des Lumières pour être capable de les réinvestir dans une argumentation liée à des débats contemporains. 2. Questions Une action juste l’est-elle pour tout le monde ? Cette première question vise à faire émerger les représentations des élèves sur la notion de juste / d’injuste, de justice / d’injustice(s). La

rhétoriques / Affirmations péremptoires (catégoriques) Justifier les modalisations / la valeur des constructions (logique) Enoncer la thèse et l’expliquer Parodie / Caricature Syntaxe (prolepses=on réfute par avance une objection) Rhétorique ancienne Ironie : antiphrase (contraire de ce que l’on pense) Anecdote Humour Piques de l’auteur (modalisations) Emphase (exagération) Associations de mots incongrus (inconvenants, déplacés) Les discours Narratif Raconte, fait vivre une action passée ou

Dissertation Intro : Une argumentation a pour but de convaincre, c'est-à-dire d’amener le destinataire à adhérer à un point de vue en jouant sur la logique, la rigueur et le rationnel. On peut aussi faire appel aux sentiments, au plaisir et à l’émotionnel, pour le persuader. De plus, le récit fictif utilise l’argumentation indirecte alors que pour présenter directement ses arguments, on utilise une argumentation directe, pour amener le destinataire à adhérer à son point de vue. Certains auteurs

détruite » « chacun marche gaiement au crime » III) Dénonciation de la justification religieuse 1. Ironie du 6°§ : l.27 : « avant d’aller exterminer son prochain » : reprise des termes de la Bible, « aimer » étant changé en... « exterminer ! ». On ne rend grâce à Dieu que s’il y a eu 10 000 hommes exterminés 2. Ironie de la « chanson » Elle n’est pas désignée par son nom (le Te Deum), « langue inconnue », « farcie de barbarismes »