Arguments sur l'existence de Dieu

parfait mais c’est le moins imparfait possible. Il est d’avis que, puisque « Dieu est Dieu », il a forcément fait du mieux qu’il a pu, donc ce qu’il y avait de mieux à faire. Cette citation provient des « Essais de Théodicée sur la bonté de dieu, la liberté de l'homme et l'origine du mal », écrit en 1710, dans lequel Leibniz imagine un prêtre romain, Théodore, guidé par Pallas, la fille de Jupiter, qui représente pour lui dieu tout puissant, visite le palais des destinées dans lequel se trouve toutes

vu le jour. «  La Genèse » dans la Bible raconte le processus de la Création de l’univers ; Le Coran ne propose pas un récit suivi de la Création du monde mais on retrouve les mêmes affirmations que dans la Bible. Allah crée par sa Parole comme le Dieu de Moïse (XVI, 40) il crée le ciel et la terre en six jours (VII, 54) il crée Adam le premier homme et Jésus (III, 59) etc. De même les mythes grecs décrivent le processus de la mise en forme du cosmos à partir du chaos.   Le judéo-christianisme,

(quelle que soit sa croyance), sans qu'il en soit nécessairement conscient. Par exemple, Freud considère que la religion est la satisfaction de désirs inconscients, et notamment du désir d'être protégé par un père tout-puissant. Feuerbach affirme que le Dieu chrétien infini n'est que la projection de nos propres capacités humaines finies, mais portées à l'infini : nous nous réalisons dans un autre imaginaire, car nous sonnes insatisfaits de nos limites. Marx en conclura que ce sont les frustrations sociales

débats philosophiques. Probablement que certains se demandent pourquoi elle posséderait cette place immortelle dans la philosophie ; il n’y aura jamais personne qui saura prouver l’existence de Dieu ou son inexistence. Or, il serait intéressant de connaitre l’opinion de Nietzsche et Descartes sur la religion et l’existence de Dieu, car ils ont tous les deux une vision très différente des choses. Tout d’abord, la religion, selon Nietzsche occupe une place beaucoup trop grande dans la vie des européens

n’est pas développé suffisamment, selon moi bien entendu. Il s’agit là de la grande question des croyances religieuses. Bien que la grande majorité des gens de mon entourage sont baptisés et donc de religion catholique, bien peu affirment croire en Dieu. En effet, la plupart sont agnostiques, c'est-à-dire qu’ils ne savent tout simplement pas en quoi croire, quoi penser de tout cela. Pourtant, c’est un élément primordial pour pouvoir réellement définir qui nous sommes. Karl Marx a dit : La religion

définition paraît bien difficile. Ce n’est pas la croyance en un dieu, par exemple le bouddhisme, alors s’agit-il d’un rite collectif unissant des croyances et des pratiques ? Au-delà de l’aspect sociologique, nous sommes en présence d’une affirmation duale : sacré-profane, affirmation qui procède d’autres voies que le seul savoir rationnel. Par exemple la foi, l’expérience mystique, l’extase, l’accès direct – sans médiation - à Dieu. C’est l’institution d’une transcendance : ce qui est au-delà de

dogmatisme, celui de la raison. On retiendra la discussion autour des arguments principaux des tenants de cette religion, c'est-à-dire des philosophes rationalistes classiques. I) L'argument cosmologique: -Tout effet est le résultat d'une cause => L'existence et l'organisation de l'univers résulte de Dieu. Les rationalistes soutiennent que Dieu est nécessairement la cause de l'univers. Pose problème car qu'elle est la cause de Dieu lui-même ? Leibniz y répond: « Jamais rien n'arrive sans qu'il

de croire en Dieu? Travail préparatoire : Raisonnable = la raison théorique? Pratique? Croîre = croyance = adhésion personnelle à un ensemble d'idées que l'on pense vrai. Dieu = sens religieux (foi)? Sens philosophique (raison)? Dieu de Foi et des Valeurs : Monothéisme = existence d'un être unique transcendant et créateur du monde (JWH, Allah, Dieu...) « Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob » JWH = « Je suis celui qui suis » cf : Genèse, Moïse. On ne peut nommer Dieu. Il n'intervient

mais pour quel but? En réalité, il n’y a pas un sens de la vie. Nous sommes des êtres avec de liberté et individualisme absolu avec zéro sens prédétermine car nous sommes lancée dans ce monde et forcer d’exister sans choix. De plus, il n’y a pas un Dieu que notre race est obligé a; la création humain est un accident complètement fortuit et alors la création d’un sens de la vie est donc subjectif plutôt qu’objectif. Finalement, c’est d’une importance inexplicable qu’on crée un sens personnel pour nos

parution un succès exceptionnel. En effet, on peut y voir une sorte d’allégorie : l’épidémie de peste peut ê comprise comme 1symbole du nazisme et du fascisme. L’intrigue donne à Camus l’occasion de développer des thèmes qui lui sont chers : l’existence de Dieu,  le mal,  la solidarité et la révolte. Le passage étudié se situe au moment où l’issue du combat contre l’épidémie est incertaines et nécessite la participa° de tous. Le docteur Rieux qui s’est engagé dans la lutte contre la peste s’entretient