Arguments sur l'existence de Dieu

du poète par ses semblables. Thèse : Il demande le pardon des sages, lui étant de ceux qui étaient dans l’erreur. Argument : Une prière au vivant, le poème s’adresse à tous les hommes, à l’humanité innocente qui survivra aux condamnés. Les pendus s’adressent ainsi à leurs « frères humains » et aux « hommes » : ceux-ci ne sont pas de la confrérie des voleurs, et peuvent prier Dieu de pardonner les crimes des condamnés; Le poète demande surtout de la pitié pour eux, « n’ayez les cœurs qu’entre nous

Lecture Analytique n°1 : « Au sujet d’un enfant monstrueux », In essais, Montaigne, livre II, chap30 1595. Lignes 1 à 11 : Description de l’enfant, anecdote Lignes 12 à 17 : Explication de l’existence d’un monstre, rattachement au projet divin. Lignes 18 à 25 : Point de vue de l’auteur sur les préjugés. I) Anecdote de l’enfant monstrueux : Enfant : généralisation Père, oncle, tante : liens familiaux normaux. Forme ordinaire : ordre des choses, ne choque pas. Comme les autres enfants

Prière à Dieu - Voltaire Fait référence à Jean Callas (Protestant tué) Condamné à mort = symbole de l’absurdité religieuse Catholicisme => religion de la France Voltaire obtiendra la réhabilitation de Callas quelques années plus tard Arguments économiques, morales, politiques et religieux Tout le monde peut relever la parole de Dieu sans intermédiaire Forme du texte: discours/ prière. adresse à Dieu (étapes d’un traité) Problématique: Nous montrerons que cette pièce chrétienne est bien

seul moyen d’établir une vérité. Pour apporter un tel argument qui se veut nécessaire et universel, il faut donc se baser sur une démonstration qui donne l’impression de dominer toute autre forme de moyen de tenir pour vrai un énoncé. Cependant, cette démonstration est limitée dans ses domaines d’application possibles. Par conséquent, nous nous interrogerons d’autre part sur les limites de cette démonstration, qui pourraient impliquer l’existence d’autres moyens d’établir une vérité. Enfin, il s’agira

séquence mais aussi sur le polycopié ( Le Bonheur au XVIIIème siècle ) en plus de votre culture, imaginez la scène avec: _Les débats entre deux personnages que tout oppose. _Les éventuelles réactions des autres personnes présentes pour à la fois argumenter mais aussi de rendre plus vivant le débat alternant les registres. A l'automne de 1746, La marquise Émilie du Châtelet, philosophe, scientifique et maitresse de Voltaire, participe à un salon littéraire parisien où elle va être amenée à disputer

en dérivant la raison de l'expérience (= position empiriste), soit en faisant de l'expérience un produit de la raison (= position rationaliste), soit en considérant expérience et raison, monde et esprit, comme des créations d'un Etre transcendant (Dieu), parfaitement adaptées l'une à l'autre. C'est ainsi par exemple que, pour l'empirisme, l'expérience ne peut venir contredire ou choquer la raison, en lui présentant une absurdité, c'est-à-dire un phénomène non conforme aux principes rationnels, puisque

essai sur la mort. A - La structure argumentative de l'extrait Texte de type argumentatif, présence d'une thèse, d'arguments et d'exemples, reliés par des connecteurs. · Argument 1 : Nonchalance de la plupart des hommes face à la mort. · Argument 2 : Impossibilité de fuir ou d'éviter la mort. · Argument 3 : Principal argument qui découle des deux autres, il faut combattre la mort. Syllogisme : Résonnement en trois étapes. Les deux premières posent un constat, la troisième est la conclusion, la

l'acte même. La formulation qu'il existe une incompatibilité logique entre l'existence du mal et l'existence de Dieu devrait donc être nuancée, car, en ces termes, et suivant la perspective examinée actuellement, elle n'est pas valide : l'existence de certains maux est en effet compatible avec l'existence de Dieu, car si Dieu est bon, il ne peut vouloir éradiquer tout le mal qui se produit dans le monde. Mais un tel argument est encore trop général et peut susciter des objections, même lorsque l'on

un infini dont il ne peut avoir conscience, et c’est à cette carence que Pascal voit en Dieu le remède. Il n’est nul besoin d’essayer de concevoir l’inconcevable puisque Dieu en est l’explication (« c’est le […] caractère sensible de la toute-puissance de Dieu que notre imagination se perde dans cette pensée » fragment 230). Ses thèses sont structurées comme des méthodologies scientifiques mais les arguments sont instables, il attribue sans preuves les merveilles de la nature (« un autre prodige

le mal. Mais la difficulté persiste. Malgré les arguments présentés, l’humanisme de Nietzsche semble, au profit de la volonté de puissance, conserver en son sein le problème du mal qui culmine dans la destruction humaine. En contrepartie, Sartre se confronte directement à cette difficulté puisque c’est précisément ce fait existentiel — les deux guerres en sont la preuve — qui lui a permis de déduire la mort de Dieu. I. LE NIHILISME : LA MORT DE DIEU ET LA CONDITION DE L’HOMME En réaction au nihilisme