Aristote Contre Le Relativisme

L'évolution des connaissances * 5 La production de la connaissance * 5.1 Induction * 5.2 Vérification * 5.3 Falsification * 5.4 Les critiques holistes * 6 La nature des connaissances * 6.1 Falsificationnisme * 6.2 Relativisme * 7 L'organisation des connaissances * 8 Dynamiques de la science * 8.1 Continuisme et discontinuisme * 8.2 Internalisme et externalisme * 9 Institutions * 10 Courants épistémologiques et auteurs * 11 Annexes * 11.1 Articles

Alors que le scientifique, lui, a toujours recours à l'expérience. Ses preuves ne sont pas de style strictement logique ou mathématique, mais expérimentales. Usage de la mesure, d'instruments.   B- La philosophie comme métaphysique : historique (Aristote) Bilan des textes étudiés : La métaphysique est un style de discours qui prétend dire comment est le monde véritablement, au-delà des apparences. Discours sur ce qui est au-delà du sensible; ou plus spécifiquement, discours sur l'âme, le monde

nous permettrait de comparer leur désirabilité et de dire que certaines sont plus désirables que d’autres, sauf concernant ce qu’il y a de plus élevé dans cette hiérarchie : le bonheur. En effet seul le bonheur semble échapper à un tel relativisme et cela des deux points de vue précédemment évoqués. Nous désirons tous le bonheur alors que nous ne désirons pas tous les honneurs, la richesse, la piété ou la beauté et nous le désirons tous plus que toute autre chose, cad le plus intensément

en commun se transforme en un conflit permanent, qu'aucune valeur ne peut stabiliser, unifier, tout en assurant la paix et le bonheur des citoyens. Là encore, Platon va tenter de trouver une solution originale dans le but de mettre un terme au relativisme moral, de fonder la politique et d'établir les conditions de la cité juste. Ainsi, tant dans le domaine de la connaissance que dans ceux de la morale et la politique, les problèmes rencontrés touchent aux changements et à l'instabilité des réalités

proprement dit (c.-à-d. au niveau de la vérité matérielle de ses prémisses), mais au niveau de son articulation (c.-à-d. au niveau de sa validité). Elle s’attache donc à dénoncer les paralogismes (qui sont des fautes contre la validité) bien plus que les sophismes (qui sont des fautes contre la vérité d’au moins une des prémisses). Validité Justesse formelle du raisonnement Vérité Justesse formelle du raisonnement + justesse matérielle des prémisses >< Paralogisme >< Sophisme Chap. 2 | U

dans le cœur même du dilemme et de la confrontation entre Créon et Antigone mettant en scène le principe hiérarchique qui s’établit entre les deux antagonistes, ce que l’on perçoit grâce à l’interjection de Créon «  Et toi, toi qui courbes la tête contre terre, je te parle : Avoues-tu ou nies-tu avoir fait cela ? ». Ce qu’il faut percevoir ici c’est qu’Antigone, avouant, nous est présenté dans une posture inférieure à celle Créon, puisque elle est celle qui a commis une infraction, qui a contrevenue

toujours un droit intangible auquel doivent être conformes les lois de la cité. Les lois qui étaient votées devaient respecter les principes du Nomoï. Procédure de la Graphe parano-môn Elle permet à tout citoyen d'attenter une action publique contre un décret de l'assemblée qui lui semble illégale ; au dessus des lois votées par les assemblées, des lois qui leur sont supérieures et qui constitue un ordre constitutionnel. On retrouve le contrôle de constitutionnalité de notre Vème République.

promoteur d'un enseignement philosophique, radi calement mécaniste. On sait que Descartes, dès 1645, prit ses distances vis-à-vis de ce disciple trop compromettant. Cependant, à la fin de décembre 1647, dans un dernier écrit polémique dirigé contre Regius, le philosophe français vouait au mépris les « calomnies » de deux universitaires de Leyde, le professeur de philosophie A. Stuart et le théologien J. Revius, régent du Collège théologique des Etats, qui avaient dénoncé les audaces métaphysiques

4 - Le problème de la mortalité est-il ici affaire d’opinion ? - Il n’est pas question d’opinion, la recherche scientifique ne se fait que par expérience et n’accepte que ce qui est vrai et démontré et que la science est une recherche de vérité contre les opinions. Il paraît difficile en science de dire « À chacun sa vérité ». - Malgré la vérité, elle est difficile à accepter puisque elle a été refusée : * On croit que ce que l’on voit (« Saint-Thomas »), alors personne n’accepte l’idée de

idées vraies, représentent immédiatement des natures simples, des réalités. Pour Malebranche, les idées, en tant qu’éternelles et nécessaires ne peuvent être produites par l’esprit ; elles sont vues en Dieu. - Proposition et réalité : Aristote affirme que la vérité appartient à la proposition, au jugement. Une proposition si ce qu’elle décrit est conforme à la réalité ; elle est fausse dans le cas contraire. Cette conception a été reprise au 20ème siècle par des penseurs tels que Russell