Aristote Contre Le Relativisme

lui valu parfois de spectaculaires régressions dont la plus dommageable fut sans aucun doute celle infligée par Jean qui, dans le quatrième évangile (1er siècle apr. J.C.), recourut à cette notion pour désigner exclusivement la parole divine. Par contre, l’inexorabilité de cette diachronie (caractère des phénomènes analysés du point de vue de leur évolution dans le temps) pose un certain nombre de problèmes en raison des divers sens qu’il revêtit. Ceci explique qu’il soit indispensable de définir

Thomas Hobbes dans le Léviathan ? Et pourquoi s’intéresse-t-il à l’homme à l’état de nature ? -Pourquoi l’état de nature dont parle Hobbes est-il un état de guerre ? (plusieurs réponses attendues) -Qu’est-ce que le relativisme ? -Qu’est-ce que le principe de non-contradiction ? Comment Aristote prouve-t-il la vérité de ce principe dans sa Métaphysique ? -Qu’est-ce qu’une réduction à l’absurde ? -Dans le Contrat social, comment Rousseau réfute-t-il l’idée d’un droit du plus fort ? -Nos devoirs nous empêchent-ils

Chapitre 1 : ------------------------------------------------- Que vaut la preuve contre le préjugé ? « La raison du plus fort est toujours la meilleure » (La Fontaine, Le loup et l’agneau). Cette fable de Jean de La Fontaine pourrait servir d’allégorie pour le combat de la preuve contre le préjugé : l’agneau a beau apporter les preuves les plus irréfutables (il n’était pas né ; il n’a pas de frère ; …), le loup, avant même d’examiner ses preuves, a décidé (a pré-jugé) que l’agneau était coupable

Descartes affirme qu'elle est « la chose du monde la mieux partagée ». Mais avoir raison, ce n'est pas toujours être capable d'un jugement juste, universellement valable et surtout démontrable, ce que sous-entend le sujet puisqu'il s'agit d'avoir raison « contre » les faits. Ce sens général du mot signifie au sens large, les choses qui se passent, ce qui arrive, ce qui ne dépend pas de notre jugement. Le problème est donc de s'interroger sur cette opposition entre le jugement de notre pensée qui peut être

Il est cependant peu vraisemblable qu’une telle notion de lois naturelles se manifeste dans la conscience première de l’homme, qui perçoit plutôt, dans la nature, le déferlement d’une violence ou la présence permanente d’un chaos incontrôlable, contre laquelle les différents interdits mettent en place un ordre: à la nature,d’abord synonyme de désordre latent et toujours menaçant, s’oppose l’ordre de la culture. ■ Mais l’interdit fait aussi courir à un groupe restreint le risque de ne pouvoir

celui qui sait ce qui est bien fera aussi du bien ‘’. PLATON : La sophistique comme la rhétorique est une flatterie. En revanche, le dialogue implique ‘’donner ses raisons et accueillir celle d’autrui’’, réfuter ce n’est pas avoir raison contre quelqu’un d’autres, c’est se prévenir soit de l’erreur. Il ne faut pas prendre garde que du propos lui-même pas à une lutte entre deux prétendus adversaires. L’allégorie de la caverne L'allégorie de la caverne met en scène des hommes enchaînés et

ILe sujet AUn sujet doué d'une conscience souveraine BLes remises en cause de la souveraineté de la conscience C) L'homme, un être de désir IILa culture ACulture contre nature BLe travail et la technique CLa religion DL'art IIILa raison et le réel ALa raison et la rationalité dans le monde BL'accès à la connaissance et la vérité ? C) La remise en question de la vérité DL'étude du vivant, entre matière et esprit IVLa politique AFondation et fondements de la société BL'individu et la société CLe pouvoir

divergences sur la méthode à utiliser pour y arriver. Le rejet du finalisme ouvre la porte au relativisme des régimes ; il n’y a pu de régime meilleur qu’un autre. - Idée 3 : Entre les pages 44 et 46, Marx, Comte et Pareto abandonnent l’idée supra-historique des régimes politique pour introduire l’idée de rapport de production. Cette vision purement économiste de la société est toujours en oscillation entre relativisme et dogmatisme. 3) Dissolution de la philosophie ? La sociologie politique , telle

mais la belle représentation d’une chose, le beau est une finalité sans fin (inutile, sert juste au plaisir : « l’art pour l’art »), plaisir désintéressé : non lié à l’existence réelle de la chose (on peut aimer un paysage peint qui n’existe pas). Aristote : l’art sert à se purger, se purifier de ses passions (catharsis) car en les comprenant mieu on peut s’en détacher. Tolstoï : l’art a une mission morale : doit nous permettre de nous améliorer. Bergson ; l’art aide à mieux percevoir, aiguise notre

un animal politique. La nature ne fait rien en vain, or seul parmi les animaux, l’homme a le langage qui existe en vue de manifester l’avantageux et le nuisible, et par suite aussi le juste et l’injuste. » En annonçant cela dans Les Politiques, Aristote déclare que le vivre en communauté est un besoin premier pour l’homme. Le langage -et par extension l’expression d’opinions- étant le propre de l’humain, il semble nécessaire à l’homme de respecter cette faculté, de considérer son contenu come acceptable