Arrêt Cadot

en plus importants. Ces services se trouvent surtout à l’Elysée (365 pièces que le président peut meubler à sa guise en utilisant les 15 000 pièces du mobilier national). Les nominations aux services de la présidence sont un choix discrétionnaire → arrêté. Dans la pratique, cela ne concerne que les plus proches des collaborateurs. Ces derniers qui sont membres de la fonction publique sont mis à la disposition du président par leur administration d’origine qui continue de les rémunérer. Les collaborateurs

l'Etat du fait des personnes répartition des compétences entre juridictions judiciaires et qu'il emploie juridictions administratives. La responsabilité de l’administration n’est ni générale, ni absolue, et elle déroge aux règles du droit privé. • CE, Cadot, 13 décembre 1889 : suppression du dernier lien entre l'administration et le juge : le Ministre Juge. • CC, Conseil de la concurrence, 23 janvier 1987 : formule un nouveau PFRLR consistant à déterminer ce qui dans la compétence des juridictions administratives

insuffisance celle du ministre-juge dans un arrêt du Conseil d’Etat de 1889 CADOT. Il marque l’abandon du système du ministre-juge. Le Conseil d’Etat y pose le principe suivant (toujours d’actualité) : toute décision d’une autorité administrative doit pouvoir être contestée devant un juge. Le Conseil d’Etat affirme dans cet arrêt qu’il est compétent pour connaitre de tout recours en allégation dirigé contre une décision administrative. Avant cet arrêt, ce sont les ministres qui disposaient de compétence

gouvernementale et la fct admin. L’action de l’admin prend la forme essentiellement d’acte juridique, plus que d’opérations. Ces actes sont les décrets du PdR, du 1er ministre (art. 37, les décrets qui relève du pouvoir règlementaire autonome), les arrêtés des ministres. Ces actes juridiques qui traduisent en droit l’action du gvt sont-ils pris par une autorité admin ou gvt ? En général, c’est considéré comme des actes administratifs mais il peut s’agir d’un acte gvt pcq’on touche au rapport entre les

transformation en société anonyme, personne morale de droit privé. Entreprises appartenant à 100% à l’Etat mais statut d’entreprise privée. FONDATION HISTORIQUE DU DROIT ADMINISTRATIF  A L’ÉPOQUE ON PARLE DE JUSTICE RETENUE : lorsque le CE rend un arrêt, il rédige une proposition d’arrêt et le soumet à l’empereur qui signe ou pas. La justice est entièrement contrôlée. * Il y a deux courants qui vont se développer : * Le courant hostile est un courant d’auteurs se revendiquant libéraux,

idée de juri de droit communs, privées et speciales. pr dotr le droit fr serai caracterisé par la dualité d juris : judiciaires et adms. pr regler le conflit entre les 2 juridictions : tribunal d conflits, lun d arrets fondateurs du droit adm = arret rendu par le tribunal d conflits, arret Blanco de 1873. Les prerogatives de puissance publiques permettent a ladm de creer d droits et obligations sans demander le consentement usagers diff entre privé et adm existe et elle a d consequences pratiques

il faut se référer à la jurisprudence du conseil d’Etat et du Tribunal des Conflits. Pour les examens, au choix : une dissertation ou un commentaire d’arrêt (pour le 1er semestre :dirigé (4 questions sur l’arrêt). Documentation : - les grands arrêts de la jurisprudence administrative ( par ordre chronologique, de 1873 à 2010) (GAJA) : Dalloz, 18ème édition, LONG, WEIL, BRAIBANT, DELVOLVE, GENEVOIS - Les grandes décisions de la juridiction administrative (par thèmes) (GDJA) : PUF, LACHAUME, PAULIAT

Bien qu’ayant un statut privé, ces personnes se trouvent alors au droit administratif et au contrôle du juge administratif, pour une part de leur organisation et de leur activité, La solution a été consacrée par le Conseil d’Etat dans divers arrêts datant des années 1930 et 1940 (Assemblée, 13 mai 1938, Caisse primaire Aide et Protection, GAJA n° 52 ; Assemblée, 31 juillet 1942, Monpeurt, GAJA n° 53). Elle a par la suite connu un grand développement à la mesure du recours croissant à des

n'est plus l'auxiliaire du chef de l'état, qu'il rend ses décisions au nom du peuple français et qu'il est donc un juge à part entière. L'abandon définitif de la théorie du ministre-juge s'observe dans la jurisprudence du conseil d'état avec un arrêt de 1889 Cadot et à partir de là, apparaît véritablement la justice administrative. Dans la mesure ou le juge judiciaire ne peut pas connaître des litiges relevant de la matière administrative et qu'il n'est pas acceptable que l'administration soit son propre

une fonction de conseiller, il vérifie tout projet d'état, si le texte est conforme. Ensuite sa fonction est d'être juge, il devient alors indépendant et c'est désormais le seul juge en matière administrative. Le 13 Décembre 1889, c'est l'arrêt CADOT, (arrêt du conseil d'état). Le CE décide qui devient juge administratif de droit commun, il a fait son propre coup d'état, il devient une véritable juridiction administrative. Le droit commun est équivalent à général. Le 8 Février 1873, c'est l'arrêt