Arrêt Scp

045 (Décision en ligne) Com. 17 juin 2008, FS­P+B+R, n° 07­14.965 (Décision en ligne) A. Lienhard   Résumé La Cour de cassation considère que la perte de la qualité d'associé ne peut être antérieure au remboursement des droits sociaux. Par  ces  deux  arrêts,  promis  au  Rapport  de  la  Cour  de  cassation,  la  chambre  commerciale  (dont  la compétence  s'étend  aux  sociétés  civiles  à  l'exclusion  des  sociétés  civiles  immobilières,  des  sociétés  civiles professionnelles et des coopérat

CIVILE 1 Audience publique du 19  mars  2014 N° de pourvoi : 13-14989  Publié au bulletin M. Savatier (conseiller le plus ancien faisant fonction de président), président Mme Mouty-Tardieu, conseiller rapporteur M. Jean, avocat général SCP Fabiani et Luc-Thaler, SCP Waquet, Farge et Hazan, avocat(s) REPUBLIQUE FRANCAISE AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS LA COUR DE CASSATION, PREMIÈRE CHAMBRE CIVILE, a rendu l'arrêt suivant : Sur le moyen unique, pris en sa première branche : Vu les articles 815 et 1134

l’Etat, soit 6,77%. En 1999, la SAMIR passe un acte avec la Société Chérifienne de Pétrole, «SCP », au terme duquel la SAMIR procède à l’augmentation de son capital par apport de fusion de la « SCP" . A ce titre la SAMIR absorberait la SCP qui lui apporterait l’intégralité de son actif contre la prise en charge par la SAMIR de l’intégralité de son passif. Cet événement de fusion absorption SAMIR-SCP constitue une nouvelle ère pour l’industrie du raffinage au Maroc. En 2001 nomination de M. ABD

Le Conseil constitutionnel a été saisi le 1er juin 2010 par la Cour de cassation (arrêt n° 12030 du 31 mai 2010), dans les conditions prévues à l'article 61-1 de la Constitution, d'une question prioritaire de constitutionnalité posée par MM. Daniel W., Laurent D., Eddy et Driss G., Hamza F., Antonio M. et Ferat A., Mme Elena L., MM. Alexander Z., Ahmed B., Samih Z., Rachid M., Mike S., Claudy I., Grégory B. Ahmed K., Kossi H., Willy P. et John C., Mme Virginie P., MM. Mehdi T., Abibou S., Mouhssine

| |Avocat général : M. Feuillard. | |Avocats : la SCP Thomas-Raquin et Benabent, la SCP Boré, Xavier et Boré. | |

Audience publique du mercredi 21 juin 1989 N° de pourvoi: 87-17344 Publié au bulletin Cassation partielle . Président :M. Aubouin, président Rapporteur :M. Michaud, conseiller rapporteur Avocat général :M. Tatu, avocat général Avocats :la SCP Rouvière, Lepître et Boutet, MM. Blanc, Delvolvé ., avocat(s) Texte intégral REPUBLIQUE FRANCAISE AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS Sur le premier moyen, pris en sa deuxième branche dirigé contre l'arrêt du 12 janvier 1987 : Vu l'article 1382 du Code

2011. A traiter : semaine du 28 novembre 2011. L’effet relatif du contrat I. – Documents a) L’opposabilité du contrat aux tiers par les parties - Document n° 1 : Cass. civ., 22 juin 1864, Lepère : DP 1864. 1. 142 ; S. 1864. 1. 349 ; Grands arrêts, t. 1, n° 82. - Document n° 2 : Cass. 1re civ., 26 janv. 1999 : Bull. I, n° 32 ; D. 1999. somm. com., p. 263, obs. Ph. Delebecque ; RTD civ. 1999. 405, obs. P. Jourdain. - Document n° 3 : Cass. 1re civ., 17 oct. 2000 : D. 2000. 952, note M. Billiau

individuel à responsabilité limitée (EIRL). Toujours sur le plan législatif, la loi du 28 mars 2011 a réformé les structures d’exercice des professions libérales en termes de dénomination sociale (SEL, SCP, SEP), de responsabilité des associés (SEL et SCP) et, enfin, de valorisation des parts (SCP). La présente édition a intégré l’ensemble de ces dispositions. Voilà pour les évolutions nées de l’agenda législatif. De son côté, le Conseil national, sur proposition de la commission des contrats, poursuit

PAR CES MOTIFS : REJETTE LE POURVOI FORME CONTRE L'ARRET RENDU LE 5 MARS 1969, PAR LA COUR D'APPEL DE PARIS ; Par ces motifs : Rejette le pourvoi formé contre l'arrêt rendu le 5 mars 1969, par la Cour d'appel de Paris. Publication : Bulletin des arrêts Cour de Cassation Chambre civile 2 N. 6 P. 4 Décision attaquée : Cour d'appel Paris du 5 mars 1969 DOCUM ENT 2 Cour de cassation chambre civile 1 Audience publique du mardi 8 janvier 1980 N° de pourvoi: 78-14218 Publié au bulletin Rejet REPUBLI

CHORQUES ; CONS. QUE LE MERITE DES CONCLUSIONS DES REQUETES EST SUBORDONNE A LA LEGALITE DES TROIS TARIFS DISTINCTS INSTITUES, SUR LA LIAISON ENTRE LA PALLICE ET L'ILE DE RE, PAR LE CONSEIL GENERAL DE LA CHARENTE-MARITIME ET MIS EN VIGUEUR PAR UN ARRETE PREFECTORAL DU 22 MAI 1970 ; CONS. QUE LA FIXATION DE TARIFS DIFFERENTS APPLICABLES, POUR UN MEME SERVICE RENDU, A DIVERSES CATEGORIES D'USAGERS D'UN SERVICE OU D'UN OUVRAGE PUBLIC IMPLIQUE, A MOINS QU'ELLE NE SOIT LA CONSEQUENCE NECESSAIRE D'UNE