Bergson Matière Et Mémoire

fidélité est une vertu et non pas une passion. Elle suppose une volonté personnelle et surtout, une constance dans la volonté personnelle. « La fidélité est vertu de mémoire et la mémoire elle-même comme vertu ». L’infidèle manque de constance dans la mémoire. La fidélité est aussi perçue comme un engagement sérieux, ce qui suppose une mémoire maintenue ou un serment que l’on n’oublie pas. Ainsi, la promesse tenue suppose la fidélité qui la maintient, quelques soient les circonstances et la durée. Cependant

connaissance objective Obstacle épistémologique Théorie poétique des quatre éléments | Œuvres principales | La formation de l'esprit scientifique La psychanalyse du feu L'eau et les rêves | Influencé par | Kant, Hegel, Comte, Nietzsche, Lautréamont, Bergson, Jung | A influencé | Canguilhem, Althusser, G. Durand, Simondon, Dagognet, Foucault, J.-L. Le Moigne, D. Lecourt, P. Sloterdijk, D. Parrochia, V. Cespedes | modifier  | Gaston Bachelard, né à Bar-sur-Aube le 27 juin 1884 et mort à Paris le 16 octobre 1962

rapport entre la science et les images. Picasso et Einstein se pose la question sur la relativité de l’espace à la même époque. La dimension meta : une image va montrer une image du monde mais tient aussi un meta discours sur ce dernier, sa matière, manière de production et le rapport au monde à cet instant T B- Le progrès Y a t il un progrès dans l’image ? ! « Au coeur de l’idée de progrès, il y a la conviction que tout ordre de succession, dès lorsqu’il concerne le monde humain (

 Projet de mémoire de Licence Réalisé par: Sous la direction de : Ejjaidi Boubker Mr Ajbour Abderrahman Année universitaire  2013-2014 REMERCIEMENT Toutes nos pensées de gratitude et de remerciement se dirigent vers Monsieur Mohammed AIT RAMI, mon Directeur de recherche, pour sa serviabilité, sa patience et son précieux soutien tout au long de ma préparation de mémoire, ainsi pour les impulsions qu’il m’a données aux moments

entre intention d'écriture et signification. "Le rire", Bergson : une perception n'est jamais singulière. Les noms propres désignent individus et en cela respecte leur individualité. Parler est indiscutablement communiquer. Langage humain fondé sur l'âme, n'est pas qu'un corps. Langage illimité donc nous devrions tout dire mais il devrait donc ne pas avoir d'obstacles internes. Contre exemple : déception de nous même. Pour Bergson ; le langage généralise (thèse). Mots sont tous des idées

10 – La religion chapitre 11 – L’histoire p. 28 p. 32 p. 36 p. 40 p. 46 p. 50 La raison et le réel p. 55 chapitre 12 – Théorie et expérience chapitre 13 – La démonstration chapitre 14 – Le vivant chapitre 15 – La matière et l’esprit chapitre 16 – La vérité p. 56 p. 60 p. 64 p. 70 p. 74 La politique, la morale p.79 chapitre 17 – La société et les échanges chapitre 18 – La justice et le droit chapitre 19 – L’État chapitre 20 – La liberté

apporte une description originale du mouvement du signe. Il y a deux aspects du texte à distinguer : reprise de la tradition logique, apport nouveau. 1° Hegel oppose la conscience et la res. La conscience n’accepte pas la simple étendue, le corps, la matière (Descartes, Kant). Mais en refusant les formes de l’extériorité, elle risque de s’enfermer dans une intériorité abstraite : « le moi » (Descartes), la « Belle âme » (Kant) ou risque de verser dans « l’intuition mystique » (Schelling). Telle est la

présents. Quand nous racontons véridiquement le passé, ce qui sort de la mémoire, ce n’est pas la réalité même, la réalité passée, mais des mots, conçus d’après ces images qu’elle a fixées comme des traces dans notre esprit en passant par les sens. Mon enfance par exemple, qui n’est plus, est dans un passé qui n’est plus, mais quand je me la rappelle et la raconte, c’est son image que je vois dans le présent, image présente en ma mémoire. En va-t-il de même quand on prédit l’avenir ? Les choses qui ne sont

texte de Bergson qui tend à montrer que les œuvres d’art nous apprennent à percevoir ce qui demeurerait sans elles inaperçu : « Quel est l’objet de l’art ? Si la réalité venait frapper directement nos sens et notre conscience, si nous pouvions entrer en communication immédiate avec les choses et avec nous-mêmes, je crois bien que l’art serait inutile, ou plutôt que nous serions tous artistes, car notre âme vibrerait alors continuellement à l’unisson de la nature. Nos yeux, aidés de notre mémoire, découperaient

sujet ou un existant, c’est dire qu’il échappe en partie au déterminisme du biologique ou du monde matériel, qu’il ne se réduit pas à sa dimension d’animalité. C’est parler de ce qui caractérise l’homme, de ce qui fait sa grandeur. (Cf. texte de Bergson) - La conscience, c’est la connaissance ( spontanée ou réfléchie ) qu’a l’homme de ses pensées, de ses sentiments, de ses actes ou des autres. - En son degré le plus parfait, la conscience réfléchie semble bien être caractéristique