Boîte de Petri

4 boites de Pétri contenant de la gélose pour le développement des bactéries. · De l'eau · Du savon · De l'alcool 1- On prépare un milieu stérile. 2- On pose un doigt non lavé dans la première boite de Pétri contenant de la gélose, un second doigt, rincé à l'eau du robinet dans la deuxième boite, puis un troisième doigt lavé avec du savon dans la troisième boite, et enfin, un quatrième doigt lavé à l'alcool dans une quatrième boite. 3- On met en culture ces boites de Pétri pendant 10 jours

si le gram à une interférence sur la protection de la bactérie contre les différents produits. 2. Manipulations : En premier lieu, nous avons commencé par désinfecter la table afin d’éviter des contaminations. Nous avons ensuite marqué 12 boîtes de pétri avec des “P” ou des “M” qui différencient les différentes souches de bactéries P.fluorescens (P) et M.luteus (M). Nous leur avons aussi marqué l’emplacement et les abréviations des différents bactéricides que nous allons utiliser. Les bactéricides

micro-organismes Pour prouver à Manon qu’elle a tort, Victor lui demande de poser ses doigts rincer sur de la gélose contenue dans une boîte de Petri. La gélose est une substance gélatineuse à laquelle on a incorporé des substances nutritives pour que les micro-organismes s’y développent. On parle de « culture de micro-organismes ». Ces cultures se font dans des boîtes de Petri, du nom de leur inventeur. Ces boîtes sont circulaires, plates et transparentes, de manière à pouvoir observer ce qui s’y trouve

qu’elles contenaient. Avant de commencer nos expériences, nous savions que deux des eaux citées parmi celles-ci-dessus ne contiendraient pas de bactéries pathogènes, à savoir l’eau minérale et l'eau du robinet. Matériel nécessaire :  Huit boîtes de pétri rempli d’un milieu nutritif (de gélose : sucre gélatineux extrait de certaines algues) Une étuve (chauffée à 37°C pendant 48 heures) Huit pipettes stérilisées et graduées (de 1 ml) Huit tubes stérilisés Un réfrigérateur Un bécher dit « poubelle »

températures froides (blé à 4°C), et l'influence des températures chaudes (Blé à 32°C). Protocole : Dans 3 boîtes de Pétri (avec du papier filtre et de l’eau) on sème 10 graines de Blé dans chacune, que l'on expose à 3 températures différentes, température ambiante (témoin), chambre froide à 4°C, et dans l'étuve à 32°C. Schéma expérimental : boîte témoin à Tamb boîte à T = 4°C boîte à T = 32°C Graphique : Observation : On prendra comme témoin la germination des graines à température

que nous étudions : la couleur des spores. AxB ; AxF : des croisements Mutant x Mutant permettent de savoir, si la mutation a eu lieu sur le même gène ou non des souches étudiées. Pour chacun des croisements, ils placent dans une boite de pétris les 2 souches côte à côte (cf schéma ci-dessous). Pour éviter la contamination avec d'autre bactérie, cette manipulation est réalisée à 15 cm environ d'une source de chaleur, dans le but de stériliser le périmètre. Après chaque croisement les

d’une culture enrichie en Cyanobactéries. 2 - Purification de la culture unialgale. | | 1. OBTENTION DE CULTURES UNIALGALES La préparation de cultures unialgales de Cyanobactéries ne pose pas de difficultés importantes : un étalement sur boîte de Petri de suspensions-dilutions de sol ou d’eau, suivi de repiquages successifs en stries croisées (voir ci-contre), donne généralement de bons résultats. Toutefois, le développement plus rapide de certains microorganismes inhibe parfois le développement

chimique, avec les premières productions biotech à travers la microbio et les enzymes. * Figure 1 : découverte au cours de la période intermédiaire * Pasteur à mis en place une notion de stérilisation. * Kock met en place le système de boite de Piétri avec le gel d’agarose à l’intérieur 3. Les biotechnologies Arrive pendant la 2nd guerre mondiale, après la guerre il y a la notion de contrôle. En 1945, on a produit de la pénicilline et on considère que c’est à partir d’ici que démarre

pH mètre, une plaque chauffante et un spectrophotomètre. En plus, on trouve tous la verrerie nécessaire (pipettes, fioles…). Salle bactériologie : renferme une hôte bactériologique pour réaliser un milieu stérilisé a la préparation des boites de pétri, les étuves pour l’incubation (une à 37°C et une à 44°C), autoclave pour la stérilisation humide ; rampe de filtration, bec benzène et un bain marie. II. Matériel et méthodes  II.1. Prélèvement  II.1.1. Echantillonnage  L’échantillonnage

méthode appelée encore « technique des culture opposées », consiste à déposer dans des boites de Pétri contenant 15 ml de milieu « Mathur » à 4cm l’un de l’autre, deux explants de 8 mm de diamètre provenant des cultures des deux champignons (parasite et antagoniste). Au cours de cette expérimentation, trois répétitions ont été retenues pour chaque test. Les témoins sont représentés par des boites de Pétri contenant uniquement le champignon pathogène. L’ensemble des boites est placé a une température