Bulle immobilière

LES MARCHES EFFICIENTS I. La théorie de l’efficience des marchés A. Les principes généraux La théorie financière puise ses origines dans la théorie économique classique. Elle s’intéresse à l’équilibre des marchés et repose sur l’hypothèse de l’efficience des marchés. Un marché est efficient lorsque les conditions suivantes sont réunies : Rationalité des opérateurs : les opérateurs cherchent à maximiser le gain qu’ils peuvent réaliser pour un niveau de risque donné. Libre circulation des informations :

TD 14 : Analyser le sujet pour construire sa problématique et son plan Pour chaque sujet, avec des couleurs différentes, soulignez : - les mots-clés (notions du cours qu’il faut brièvement définir en introduction), - le ou les mots (ou un pluriel…) qui constitue(nt) le problème potentiel du sujet,  A propos des expressions : « mécanismes de marché », « le marché », « les marchés » et « économie de marché », quelles nuances importantes impliquent-elles (quand vous les comparez) dans la façon

marché : rejet de l’hypothèse d’anticipations rationnelles o Exemple des consensus de marché vis à vis de tendance future : pour un investisseur il est plus important de réaliser des profits que de suivre un comportement rationnel (cf. bulle spéculative) 4. Comment expliquer de tels comportements ? • Absence de modèle de référence • Coûts de l’information (acquisition, traitement…) Même si un modèle existait, si le coût et le temps d’utilisation est prohibitif, il

censées protégé le système fiancier ( FED, établissement bancaire les normes comptables et l’Etat ) ont-ils favorisé le développement de la bulle spéculative . Comment des pratiques « d’illusion » ont-elle étaient favorisé et même parfois encouragé par des organismes chargé d’empêcher de trop grande dérive du marché . Et en quoi on-tils contribué a créer une bulle financiere qui a éclatée en 2001. III) Consequences de la crise et implication des Etats-Unis dans la mondialisation. Exemple d’Enron

réduit son taux directeur de 6,5% à 1,5%. Cette baisse s’est poursuivie jusqu’à un plancher historique de 1% à la mi-2003. C’est en voulant amortir l’impact récessif du krach du Nasdaq, que la FED a créé les conditions de formation d’une nouvelle bulle spéculative, dont la flambée de l’immobilier et celle de la Bourse étaient les manifestations les plus visibles. 2ème PARTIE : DROIT Question n°1 : Les faits reprochés à M. Cyrille S sont qu’il mettait à disposition du public sur Internet,

Pays Bas est considéré par un grand nombre comme la première bulle spéculative alors que d’autres réfutent cette hypothèse. Dans cette analyse nous nous sommes proposés de vous présenter(nous vous proposons) l’histoire du succès et du déclin de la tulipe souveraine, et d’analyser la crise qu’elle a provoquée afin de répondre à la question suivante : La Tulipomanie peut-elle être considérée comme une bulle spéculative (la première bulle) ? 1 Histoire et contexte de la crise Au cours du

c’est la catastrophe, or il faut avoir une vision plus large et à long terme. En effet, on constate que la sphère financière fonctionne de manière cyclique : il y a d’abord un phénomène d’emballement, une bulle financière se crée, puis la spéculation fait monter les cours tellement haut que la bulle explose et cela donne un krach boursier. En général, la conséquence de cela, du krach, est la mise en place d’un contrôle plus fort de la part des Etats. On trouve de nombreuses illustrations à cette

s'ils savent que les titres sont nettement surévalués. Non seulement les titres, mais aussi n'importe quel bien négocié, peut être la proie de ce comportement collectivement irrationnel. Le terme «tulipomanie», référence métaphorique à une grande bulle spéculative qui trouve son origine aux Pays-Bas du XVIIe siècle, lorsque les bulbes de tulipes sont devenus très populaires et que les prix avaient augmenté, jusqu'à ce que le bulbe de tulipe atteigne un prix vertigineux. Les rendements des investisseurs

répétition - la réénonciation de ce qu'on espère désormais évident -, et résumons ces leçons. Les facteurs qui induisent les égarements répétés dans la démence financière n'ont pas changé, pour l'essentiel, depuis la tulipomanie de 1636-1637 (la première bulle spéculative de l'histoire, fondée sur le commerce de la tulipe). Individus et institutions sont piégés par la merveilleuse satisfaction qu'on trouve à voir grandir sa fortune. Elle leur donne en même temps l'illusion de la puissance intellectuelle

taux d’intérêt et les facilités de crédit accordées par les banques — notamment à travers l’allongement de la durée des emprunts — ont soutenu la demande à un niveau élevé, au risque d’un surendettement des ménages à long terme. Un mécanisme de « bulle spéculative » s’est enclenché à partir de 2003, qui a tourné court avec la crise financière de l’automne 2008. Dans ce contexte inflationniste, l’efficacité des aides publiques au logement s’est érodée : les ménages les plus vulnérables, puis les classes