Calembours

scénariste et poète très connu de son époque pour ses scénarios et ses dialogues. La plupart de ses poèmes se regroupent dans le recueil Paroles, qui eut un vif succès à sa sortie en 1946. Ses poèmes sont majoritairement composés de jeux sur le langage (calembours, lapsus…). Les jeux de sons font aussi partie des poèmes et portent à l’humour, en cette époque du surréalisme. 2) Le titre Paroles indique que Prévert insiste sur le fait que transmettre ses textes à l’oral a plus d’importance que par écrit

évoquer des choses nobles et sérieuses. « Burlesque » se dit aujourd'hui couramment pour désigner un comique exagéré, extravagant qui repose généralement sur un décalage entre la tonalité et le sujet traité dans un texte. Voir aussi grotesque. Calembour : Jeu d'esprit fondé soit sur des mots pris à double sens, soit sur une équivoque de mots, de phrases ou de membres de phrases se prononçant de manière identique ou approchée mais dont le sens est différent. Jeu de mots fondé sur la différence de

Les parisiens sont traités de « maroufles » (vieille insulte) Gargantua dit vouloir payer sa bienvenue, son droit d’entrée dans la ville, offrir à boire aux parisiens, mais « pour rire » Le lecteur attend la farce qui va suivre. Jeu de mot (calembour, homophonie) entre Paris et « par ris » Le comique est aussi un comique de mots, de langage. belle braguetteAlors, en souriant, il détacha et, tirant sa sa Apogée du comiqueGargantua urine

 Molière) est obnubilé par son désir de devenir noble, Harpagon (L'Avare, Molière) est soucieux du moindre sou...   Le comique de mots Les auteurs de comédie usent et abusent des bons mots en faisant de la langue française un vivier de jeux de mots, de calembours, de déformations possibles... En jouant sur les mots, sur la langue, il est possible de provoquer le rire du spectateur. Dans Les Femmes savantes, Molière l'évoque tout en faisant rire: "Bélise (à la bonne): Veux-tu offenser toute ta vie la grammaire

dessinaient des grecques, les Sarrasins fauchaient de l'avoine, les Francs cherchaient des sols et les Alains regardaient cinq Ossètes. Les Normands buvaient du calva. - Tant d'histoire, dit le duc d'Auge au duc d'Auge, tant d'histoire pour quelques calembours, pour quelques anachronismes. Je trouve cela misérable. On n'en sortira donc jamais ? Fasciné, il ne cessa pendant quelques heures de surveiller ces déchets se refusant à l'émiettage ; puis, sans cause extérieure décelable, il quitta son poste

cachés, jeu avec les | | | |vêtements | | |mots |Calembours, mots déformés, langage |Farce | | |professionnel, jargon, répétitions de | | |

tard le sens propre : l'enfant distrait sera renversé par un train. zeugma : procédé qui rattache grammaticalement des termes qui ne se rapportent pas logiquement l'un à l'autre. Exemple de l'auteur: "Napoléon prit du ventre et beaucoup de pays." calembours : fondé sur une similitude de sons ou de sens. néologisme : création de nouveaux mots. mots pris à la lettre : jeux sur le sens premier des mots. logique de l'absurde : tout ce qui est contraire à la raison. allitération : répétition de consonnes

Qui d'autre que lui sait ce qu'il voit véritablement derrière sa lunette ? Fin de partie est un festival de formes comiques : comique de répétition avec la phrase : « Ce n'est pas l'heure de mon calmant ». Comique de mots : la pièce regorge de calembours, ou rapprochements de mots aux sonorités voisines : par exemple, « coite » et « coït », ou bien « Le matin, on vous stimule et le soir on vous stupéfie ». Comique de gestes ou comique burlesque : lorsque Clov installe l'escabeau sous la fenêtre

Londres, Madrid, Moscou, Washington, Bucarest, Athènes, Berne, Mexico, Canberra et Varsovie. » 4. Par contre, San-A n’utilise presque jamais d’implicite contrairement à Rabelais. Il est toujours clair et direct, il utilise de temps en temps des calembours pour agrémenter ces propos. Les peu de fois où il utilise l’implicite, c’est en cas de danger et qu’il doit passer un message à ces amis sans se faire comprendre directement par d’autres personnes.

dans une même phrase des mots presque homonymes, c’est-à-dire voisin par la sonorité mais non par le sens. Ex : « Legal, le goût », « Entremont, c’est autrement bon » *Le calembour : rapproche des mots très semblables en apparence mais de sens différents Ex : « BHV, l’âge de faire » *L’antanaclase : figure voisine du calembour mais qui permet la polysémie du sens de la phrase. Ex : « Le père le Noël a mis le paquet » *L’onomatopée : mot formé par imitation du son naturel Ex : snif, waou, oups