Calvin et Hobbes

son parcours Existerait au dessus un droit immuable et universel dont le droit positif devrait s'inspirer -> droit naturel Droit positif serait subordonné au droit naturel Des lois positives contraires au droit naturel devraient être violées. ex: Calvin -> si lois injustes, ceux qui la font sont en violation, pas ceux qui la violent. Platon, Aristote, Ciceron: droit = atteindre le juste par l'observation de la nature St Thomas d'Aquin: combiner philo grecque et religion chrétienne -> nombre de

mais pvr cantonné au spirituel. La juridiction du pape est limitée (que les baptisés), le pouvoir appartient à tous les fidèles Concile œcuménique. (Montée des prétentions conciliaires, 15° siècle, 1ères affirmations nettes de la future r éforme de Calvin). L’Empire (Empereur) et Église (fidèles) sont indépendants. L’Eglise n’a pas de chef réel. Chacun détient la plénitude de son pouvoir césaro-papisme. Coup fatal pr le sacerdotalisme. Montée du nationalisme (gallicanisme), de la royauté (gloire du

sociaux fondamentaux Les autres ne pensent pas comme moi ils peuvent me nuire PAUL VALERY : UN HOMME SEUL EST EN MAUVAISE COMPAGNIE SARTRE : L ENFER C EST LES AUTRES COMMENT FAIT ON POUR SE SUPPORTER ? 1°Il existe une réponse politique HOBBES (contrat social) (LOQUE ROUSSEAU) ADAM SMITH : on vit ensemble car on a besoin les un des autres. CHAPITRE I Partie I Le cadre de la pensée sociologique D ou vient la sociologie Les fondements de la sociologie Les principaux courants

religieuse avec Luther, Calvin et Zwingli. Elle est générale, apportant à la plupart des sciences, dans l’explication du monde et la compréhension des sociétés un nouveau socle philosophique et méthodologique. Son caractère religieux est très prononcé. La révolution idéologique du 16/17ème siècle repose sur l’expérimentation, la quantification, la généralisation (méthode inductive). Cette révolution en Angleterre est très influencée par la pensée philosophique de Bacon, Hobbes, Hume et Locke. Ce

n'apparaît pas favorable à un comportement capitaliste à première vue. Au cour du calvinisme il y a une croyances en la prédestination qui consiste à penser qu'au moment de notre naissance, Dieu fixe si on sera sauvé ou damné. Cette décision selon Calvin, était à la fois insondable ( pas moyen de savoir ce qui avait été décidé pour soi ) et irrévocable ( pas moyen de modifier cette décision ). Cette croyance en la prédestination aurait pu conduire chez les calvinistes a un comportement résigné, fataliste

fr. (pt) Verrochio, Andrea del (sc, pt) Vignole, Giacomo Barozzi da Vignola, en fr. (arch) Vinci, Leonardo da (pt, sc, arch, ing, scie) Vitry, Jean de (sc) Littérature Arioste, Ludovico Ariosto, dit l’ Aubigné, Agrippa d’ Belleau, Rémi Calvin, Jean Cauvin, dit Desportes, Philippe d’Orléans, Charles du Bellay, Joachim Érasme, Didier (en lat. Desideirus Erasmus) Garnier, Robert Ignace de Loyola Jodelle, Étienne Labé, Louise La Boétie le Maire, Jean Machiavel, Nicolas (en it. Niccolo

convictions qui permettraient de rassembler « rationnellement » et donc de solidariser, fédérer les hommes... j'attire votre attention sur l'enjeu du relativisme moderne; il s'agit en quelque sorte d'une remise en cause implicite du « Contrat Social » ( Hobbes/ Rousseau), Contrat Social par lequel les hommes mettaient leur « autonomie de sujet » ( différence entre l’autonomie du sujet et le subjectivisme absolu, voir plus loin dans la partie du cours sur l’Aufkärung ou Lumières philosophiques ) enfin conquise

la sociologie. 2. Thomas Hobbes (1588-1679) Il a été formé à la pensée d’Aristote, qu’il remet en question lorsque Galilée lui montre que l’état naturel des objets n’est pas le repos, mais le mouvement. Il en déduit que les hommes sont des êtres de désirs insatiables : le monde social est le produit des rencontres entre ces êtres en mouvement incessant. La période était agitée: l’autorité royale était remise en question par les puritains. Dans le Léviathan, Hobbes fournit une justification

dans les programmes (avant, après) : Sources et muséographie : Ouvrages généraux : Arlette Jouanna (dir.), Histoire et dictionnaire des guerres de religion, 1559–1598, Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1998 Olivier Christin, Les Réformes, Luther, Calvin et les protestants, « Découvertes Gallimard » 1995. (remarquable, en particulier, pour l’intérêt du dossier iconographique). EL KENZ, David, GANTET, Claire, Guerres et paix de religion en Europe aux XVIe et XVIIe siècles, Paris, Armand Colin, « Cursus

représentation qu'on a de l'homme, c'est celle de Jean-Jacques Rousseau. Mais en 1795, on pense l'homme différemment, comme Hobbes. L'homme n'est pas fondamentalement bon mais mauvais, être amoral, brutal, qui du fait de tous les profonds changements, comme politique de table rase, éprouve impossibilité de créer un ordre. L'homme de la Révolution est retourné à un état de Nature de Hobbes. Suit ses instincts, intérêt économiques. Les individus isolés qui ne doivent compter que sur eux pour vivre, et qui