Calvin et Hobbes

transgression puisque devient religion d’État. Le Christ devient un grand mystique qui apporte des valeurs nouvelles : religion qui n'est pas une religion d'une société mais qui s'adresse à l'humanité → universelle. En 1517 la Réforme protestante avec Luther/Calvin → texte contre les indulgences, opposition interne contre le christianisme → guerre de religion. (1515 Marignan) A partir du 16ème il y a alors les protestants et toutes les autres catégories (anglicans, orthodoxes, protestants...) par rapport au

VINCI, Nicolas COPERNIC = ingénieurs de la renaissance → GALILEE, DESCARTES = « philosophes mécaniciens » * La réforme → LUTHER dénonce publiquement les « indulgences » ; la question de la justification, de la grâce et de la prédestination. CALVIN, parachèvement du « désenchantement du monde » → développement du courant de pensée appelé calvinisme. * La montée des valeurs bourgeoises → valorisation de l’enrichissement individuel en tant que fin de la vie terrestre ; substitution de « l’ethos »

décrit pays et expose ce qui doit être fait • description Etat du pays : début révolution : optimiste : anthropologie révolution (Rousseau) après 10 ans : pessimiste sur nature humaine ( Hobbes = homme mauvais ) révolution = remet homme dans Etat de nature : apparait nature de l’homme : violent, amoral agit en fonction instinct, lutte contre tous individu = isolé cause : - destruction des corps et communauté + organisation

Georg Jellinek La d´claration des droits de l’homme e et du citoyen . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.2.4 Calvin aux origines de la d´mocratie ? La th`se d’Isae e belle Bouvignies . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.3 L’affirmation de l’´galit´ des conditions dans la pens´e contrace e e tualiste . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.3.1 Hobbes et l’id´e du contrat . . . . . . . . . . . . . . . . e 3.3.2 Contrat et propri´t´ dans la pens´e de J.Locke . . .

les concepts philo sont progressivement devenus langage commun - la philo est une réponse au questionnement qui se pose à certains moments. Ex. les grandes idéologies (marxisme) sont issues de philosophes qui ainsi façonnent notre monde. Hobbes inventeur du concept moderne d’Etat Importance du contexte dans la philosophie : un texte de philo est compréhensible si on le remet dans son contexte politique et intellectuel. Ce texte peut avoir une portée universelle, mais il faut d’abord

L’État moderne est distinct et connecté à la société civile. L’analyse de cette connexion a été l’objet d’une attention considérable aussi bien dans l’analyse du développement de l’État que dans les théories normatives. Des penseurs comme Thomas Hobbes ou Bodin ou les juristes de Richelieu mettaient l’accent sur la suprématie de l’État. Pourtant proches d’eux, Hegel s’est intéressé aussi aux liens entre État et société civile. Au XXIe siècle, Jurgen Habermas avance que la société civile forme une

tyrannicide : De Laboétie, Erasme. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, les fondateurs de la réforme sont hostile au tyrannicide et condamne le droit de résistance. Ces fondateur : Luther (commence la diffusion e ses œuvre en ALL en, 1520), Calvin (en France, les I° chrétienne). Il s’agit de deux théologiens. On ne va trouver chez eux une philosophie politique d’ensemble. Ces auteurs vont réfléchir sur l’autorité et ces limites. Il existe deux sphères celui de l’âme et celui de l’homme extérieur

l’homme modère ces passions (monté de la civilité de N. Elias). M Foucault, le capitalisme a rationnalisé les comportements. * XVIe siècle, un siècle de transition intellectuelle Religieusement, reforme, avec le protestantisme, avec Luther et Calvin. Nouveaux courants de pensés, dont les idées se rejoignent, l’humanisme, le nationalisme (on considère que les souverains peuvent jouer un rôle important), idée d’enrichissement individuel qui va être valorisé : développement de l’individualisme.

un terme à la situation. L’état de la France, en 1799, 1800, un virage à 180° a été opéré au début de la Révolution. Jean Jacques Rousseau prétend que l’homme est naturellement bon. On abandonne l’idée de Jean Jacques, on prend le penseur anglais Hobbes ; pour lui l’homme est fondamentalement mauvais, on passe à une vision pessimiste, on considère que la révolution, a complètement détruit la société, l’homme est revenu à l’état de nature, alors l’homme se révèle tel qu’il est profondément : un être

de la pratique du droit constitutionnel. Cette idée de la technique politique d’Aristote va traverser l’occident et on la retrouve plus tardivement chez Thomas Hobbes l’auteur du Léviathan 1651. Le Léviathan est un monstre marin qui vient de l’ancien testament c’est une métaphore qu’utilise Hobbes pour désigner l’Etat. Lorsque Hobbes s’interroge de l’Etat, il en parle comme d’une personne artificielle c à d construite par les hommes l’Etat est une construction artificielle pour l’homme. L’Etat