Cardin Le Bret 1632 Souveraineté Du Royaume

s'appliquent à une population permanente, et être constitué d’institutions par lesquelles il exerce une autorité et un pouvoir effectifs. La légitimité de cette autorité devant en principe reposer -au moins pour les États se disant démocratiques- sur la souveraineté du peuple ou de la nation. L'État ne doit pas être confondu avec la notion de pays qui désigne une entité géographique ou avec celle de gouvernement qui est l’institution censée diriger l’État . La nation quant à elle ne se confond pas non plus

CM Histoire Moderne 17/10/13 2) Garantir la tranquilité du royaume - Passe d'abord par la nessecité de renforcer les fidélités -Fidélité des villes *Henri IV dit que priviliège urbain sauvegardé voir augmenté, laisse au ville marge d'autonomie importante apprécié par échevin consuls ... - Fidélité direction officier *Moment essentiel dans histoire fct publique, édit de la polinte promulgué= Concilie appuie des officiers, soutiennent royauté, obéissent (résignation peuvent

Affirmation d'un Etat absolu contre toutes formes de concurrence de ses prérogatives naturelles = les droits de souveraineté : monopole législatif, judiciaire, l'impôt, la monnaie. Affirmation des Etats nations s’opère contre ces pouvoirs concurrents et elles s'opère également grâce au soutient d'un certain nombre d’intellectuel, juriste qui vont théoriser le concept de souveraineté. C'est dans ce contexte que va émerger la France moderne, du 15e au 18e on observe le passage d'une royauté médiévale

ABSOLUTISTE ET DE DROIT DIVIN DE LA MONARCHIE .................................................................................3 A. LA SOUVERAINETE ENTIERE ET IMPARTAGEE DU MONARQUE__________________ 3 1. DE LA SOUVERAINETE _______________________________________________ 3 2. LA THEORISATION DE L’ABSOLUTISME __________________________________ 4 3. LES MARQUES DE LA SOUVERAINETE ___________________________________ 5 B. LA THEORIE DU DROIT DIVIN ____________________________________________ 6 II. LES CONSEQUENCES

Compte rendu de l'ouvrage de Joël Cornette, Le roi de guerre Essai sur la souveraineté dans la France du Grand Siècle Paris, Payot & rivages, (Petite bibliothèque Payot), ［1993］, 2000. Situation de l'ouvrage: Le roi de guerre, Essai sur la souveraineté dans la France du Grand Siècle est un essai historique portant sur l'analyse de la guerre comme élément constitutif de l'affirmation du pouvoir absolu. Dans cet

divine confère au roi le pouvoir de commander à son peuple. Ce rapport du roi au divin se résume en un seul mot = SACRE. C'est de ce mot que la monarchie tire toute sa puissance. 1) Le sacre carolingien En l'année 751, a lieu dans le royaume de France un Coup d'Etat. Pépin le Bref renverse le dernier roi mérovingien Childéric III et prend le pouvoir. Pépin = Maire maire du palais, premier agent de l’état, baron = aucune légitimité du pouvoir Pb : La légitimité de son Coup d'état

puis des royaumes… Puis on voit apparaître de nouvelles idées avec les auteurs médiévaux notamment Augustin et Thomas d’Aquin, ils ne sont pas du même siècle, mais leurs idées correspondent à la pensée politique médiévale qui est centrée sur l’idée que le pouvoir vient de dieu. C’est cette idée politique qui s’imposera sur toute la période médiévale : la souveraineté d’un roi repose sur l’idée qu’il est une sorte de lieutenant de Dieu sur terre. Donc si c’est Dieu qui donne la souveraineté on ne se

notions « d’ordre » et de « justice » qui serviront de fondement à toute la philosophie politique grecque. Mieux, les éléments institutionnels relevant de l’époque classique, philosophes et législateurs, y côtoient les références à la divinité, les royaumes et les actes glorieux des héros. Les dieux eux-mêmes, les rapports qu’ils entretiennent entre eux, Zeus et Thémis, Thémis et Diké, sa fille représentant le droit en tant que jugement, attestent d’un choix de société qui fait la part belle au « droit

judiciaire. L’État s’affirme ainsi par la suite. Partie 1 : la monarchie administrative Avant, au 16ème, c’était une monarchie judiciaire. Pour s’affirmée, elle est passée par les juges royaux envoyés dans les provinces que la royauté rattachait au royaume : les baillis au nord et les sénéchaux au sud. Ce sont les agents de la restauration royale. Ils administrent et jugent en même temps. Ensuite, vient la monarchie administrative où les commissaires prennent la place des baillis et sénéchaux. Le roi

en 1643, le pouvoir royal est affaibli par l'organisation d'une période de régence, par une situation financière et fiscale difficile due aux prélèvements nécessaires pour alimenter la Guerre de Trente ans, par l'esprit de revanche des grands du royaume, domptés par la poigne de Richelieu. Cette situation provoque une conjonction de multiples oppositions aussi bien parlementaires qu’aristocratiques et populaires. Il est courant de proposer comme point de départ la date du 15 juin 1648 qui est marquée