Cardin Le Bret

de Jean Bodin, au XVIIème s, d’autres juristes vont reprendre l’idée de monarchie absolue. C’est le cas de Guy Coquille dans un ouvrage qui s’intitule Institution de droit français (1607) « le roi n’a point de compagnons en sa majesté royale ». Cardin Le Bret, De la souveraineté du roi (1632) « la souveraineté est par nature non plus divisible que le point en la géométrie ». § 2 : La monarchie de droit divin Théorie du XVIIème s. théorie religieuse, devient une théorie juridique. Bossuet va élaborer

bénéficiaire dès théories absolutistes, ce n’est pas le roi, mais l’Etat. La notion d’Etat se précise a la fin XVIe et au début du XVIIe siècle, en même temps que les doctrines absolutistes, et chez les mêmes auteurs : Bodin, Coquille, Loyseau, Cardin Le Bret, Richelieu, - et avec le sens que nous lui connaissons aujourd’hui. Pour ces auteurs, l’Etat présente trois caractères : - Il est d’abord autonome, c’est-à-dire doublement indépendant. Indépendant des formes de gouvernement qu’il peut revêtir

originaire de la cour, elle se répand de la cour au reste du royaume. b)l’apport des idées politique On a au XVI siècle en France un certain nombre de théoriciens politiques qui ont réfléchis sur la notion d’état. (Guy Coquille et au XVII Cardin Le Bret et Bossuet) L’absolutisme c’est un concept juridique le roi est absolutus, (délié en latin)or si l’on prend l’évangile de Mathieu, le roi est délié de tout cad que son pouvoir est un pouvoir originel, donc ça devient un pouvoir original cad unique

ses prédécesseurs, il peut les modifier de la même manière qu'un gouvernement peut modifier les lois précédentes. • Elle est indivisible, elle est détenue par une personne ou une entité unique, la décision finale appartient à une seule entité. Cardin le Bret dit que « la souveraineté n'est non plus divisible que le point en géométrie. » Histoire du droit Semestre 2 Mr. Leroy Unîmes Cette souveraineté implique toute une série de conséquences entraîne de fonctions : les prérogatives de souveraineté

bénéficiaire dès théories absolutistes, ce n’est pas le roi, mais l’Etat. La notion d’Etat se précise a la fin XVIe et au début du XVIIe siècle, en même temps que les doctrines absolutistes, et chez les mêmes auteurs : Bodin, Coquille, Loyseau, Cardin Le Bret, Richelieu, - et avec le sens que nous lui connaissons aujourd’hui. Pour ces auteurs, l’Etat présente trois caractères : - Il est d’abord autonome, c’est-à-dire doublement indépendant. Indépendant des formes de gouvernement qu’il peut revêtir

offices », 1610. Sous sa plume, la souveraineté apparait « comme le comble de la puissance ». Dès lors, cette souveraineté ne peut souffrir la moindre amputation en matière de droits et de prérogatives, elle est entière. Quelques années plus tard, Cardin le Bret exprime la même opinion. Ce juriste au service du cardinal de Richelieu publie en 1632 un traité intitulé « de la souveraineté du roi », où l’on peut lire cette phrase devenue fameuse « la souveraineté n’est pas plus divisible que le point en

exacerber leur toute puissance. XVIIème siècle qualifié de « grand siècle » : dépasse les idées politiques du XVIème siècle pour les appliquer en tant que guide de gouvernement. Le roi a les pleins pouvoirs et sa souveraineté est indivisible. Cardin le Bret (1588 – 1655), Louis XIV (1643 – 1715). Louis XIV réduit à néant les états généraux, le parlement, les nobles,… il s’impose comme un roi législateur. A sa mort, la France est soulagée. XVIIIème siècle : siècle des lumières qui inspire à d’avantage

femme a eu des garçons = ne pourra pas accéder au trône.]. Alibi théologique Alibi de la loi salique : ds loi salique on dit que femmes ne p. pas hériter des terres. On prend appui sur considération pr dire que femme ne p. pas devenir reine. Cardin le Bret 17e s, va dire ‘l’exclusion des femmes est conforme à la loi de nat. laquelle ayant créer la femme impfte, faible et débile tant du corps que de l’esprit l’a soumise a la puiss de l’homme qu’elle a pr ce sujet enrichit d’un jugement + fort, d’un

absolu ne se partage pas. On va trouver chez les juristes de l’époque des formules qui vont permettent de décliner la monarchie : métaphores pour se faire comprendre. Guy Coquille : « le Roi n’à point de compagnons, dans sa majesté Royale » Cardin Le Bret : « La souveraineté est par nature non plus divisible que le point en géométrie ». C’est le Roi qui a le dernier mot. Ce n’est pas nouveau : ils n’on jamais partagé leurs pouvoirs ; mais ce qui est nouveau c’est qu’on théorise cette question

l’idée de l’indivisibilité du pouvoir absolu « le roi est monarque et n’a point de compagnon en sa majesté royale » => seul le roi peut régner & est indépendant. Charles Loyseau : défend l’absolutisme dans son traité des seigneuries. Cardin Le Bret : Parlementaire & partisan de l’absolutisme puis conseillé de Richelieu (partisan de l’absolutisme). Bossuet : grand personnage de l’absolutisme de Louis XIV, ecclésiastique de haut rang : évêque de la ville de Maux. C’est lui qui fait les