Cardin Le Bret

juristes construisent la théorie : «Le roi est monarque et n’a point de compagnon en sa majesté royale»(disciple de Bodin en 1603) «Le Roi est le seul souverain en son royaume et la souveraineté n’est pas plus divisible que le point de géométrie» (Cardin le Bret, juriste, en 1632) En France, c’est la période de la Fronde (1648-1653 : le Parlement de Paris se révolte contre le Roi avec le renfort de Grands nobles dans les provinces) qui donne naissance à l’Absolutisme royal. La monarchie sort gagnante

institutionnelle qui soit posée.   Qq décennie après, on glisse vers la monarchie absolu (France, GB, Espagne..). Dans les étapes qui on conduit a la monarchie absolu : Cardin Le Bret « de la souveraineté du roi » 1632: époque de Richelieu, c’est un magistrat au plmt de paris, fait volé les limites posée par Bodin comme l'obligation de conseil. Le Bret, va vers l’extinction des prérogatives domaniale importante en France: extension du domaine proprement dit, toute une série de rivière, mines… devient du domaine

solennellement, comme je l'ai fait devant la commission des lois, qu'il n'y a là aucune atteinte au principe fondamental de la souveraineté nationale. La « souveraineté », mesdames et messieurs les députés, il n'est pas besoin de remonter à Jean Bodin, à Cardin Le Bret, à Botero ou plus simplement à Rousseau pour bien la comprendre. La souveraineté de la France est inaliénable, imprescriptible, incessible et indivisible. M. Pierre Mazeaud . Très bien ! M. le garde des sceaux. Vous reconnaîtrez avec moi que

utilisaient des expressions imagées, afin de sensibiliser la plus grande partie de la population comme par exemple: Coquille: "Le roi n'a point de compagnon en sa majesté royale" Loyseau: "La souveraineté n'est point si quelque chose y fait défaut" Cardin le Bret: "La souveraineté est par nature non plus divisible que le point de géométrie" L'absolutisme peut se résumer comme suit: c'est le roi qui décide en dernier ressort. Même si cette théorie s'exprime fortement au XVIIème siècle, ça a toujours

internationales en temps de paix ; - Nommer les fonctionnaires ; - Juger en dernier ressort ; - Emettre la monnaie ; - Lever l’impôt. - Un juriste, Cardin de Bret (début XVIIe), rajoute : la police, l’armée, les droits domaniaux et le droit de créer des services publics. Quand toutes les marques de souveraineté sont identifiées comme appartenant à un souverain, on qualifie ce souverain d’« Etat »

Exclusion des parents par les femmes et exclusion du trône par les femmes. Alibi dans la loi salique car dans la loi salique on dit que les femmes ne peuvent pas hérité des pères. On va prendre appui sur cette considération cette thèse. Le juriste Cardin le Brette va dire «que l'exclusion des femmes est conforme à la loi de nature car laquelle ayant la femme imparfaite faible et débile tant du corps que de l'esprit». • La loi d'ainesse: toujours l'ainé des fils qui va accéder au trône. • Le principe

les Six livres de la République par le de la monarchie (pense en latin : Res Publica), car le roi souverain en est le garant : il possède tous les pouvoirs, à condition de ne pas en abuser. - XVII° (l'absolutisme est divisé en deux courants) : Cardin le Bret (héritier du XVI°) ; Bossuet : La Politique tirée des propres paroles de l'écriture sainte (ancien testament) (notion de laïcité de l'époque : l'Eglise française est indépendante de la papauté, et dépendante du pouvoir français), consubstantialité

pour le bien commun de tous les sujets. Il existe donc une limite, une différentiation entre l’absolutisme et le despotisme arbitraire. Ce régime a pu apporter à notre société et a permis à l’état de réapparaitre. Cette théorie a été reprise par Cardin le Bret, Loyseau et Bossuet qui a ajouté la notion de monarchie absolue de droit divin dans son ouvrage Politique tirée de l’écriture sainte en 1679. L’absolutisme s’est manifesté au travers de Louis XIV mais a été repris par Louis XV au travers du discours

crime contre la souveraineté, le crime de lèse-majesté. * Charles Loyseau, « Traité des seigneuries », 18ème « La couronne ne peut être si son cercle n’est entier, aussi la souveraineté n’est point si quelque y fait défaut ». * Pierre Cardin le Bret, « Traité de la souveraineté du roi », 1632 Le roi est seul souverain dans son royaume et la souveraineté n’est non plus divisible que le point en géométrie. La monarchie est elle finalement un pouvoir arbitraire ? Il existe des limites (lois

Guy Coquille (1523-1603) : Traité de Droit public « Le roi est monarque et n’a point de compagnon en sa royale majesté. » Tous ces auteurs n’encouragent pas une forme de tyrannie. « Les sujets du roi doivent jouir d’une honnête liberté ». Cardin le Bret. II. Le pouvoir royal vient de Dieu, le droit divin. P le Bel : XIV se considère resp que devant Dieu. Théorie du droit divin : Jacques Bossuet (1627-1704). Tente de légitimer l’absolutisme dans son ouvrage La Politique tirée des propres