Cardin Le Bret

absolutistes émanent du Tiers-Etat, en gros des bourgeois, et sont ceux qui ont le plus à perdre. C’est au sein de la bourgeoisie que se remarquent les plus grands penseurs absolutistes, comme c’est le cas de Jean Bodin à la fin du XVIème, et aussi de Cardin le Bret, jurisconsulte sous Louis XIII. C’est aussi le cas de Bossuet, prélat d’origine roturière. C’est également le cas par le peuple, qui pâtit des guerres civiles, puisque le peuple est un peuple religieux, encore attaché à l’image de son roi.

qui a le pouvoir de faire tout le reste. 2) les autres auteurs  Guy COQUILLE, grand juriste : « le roi n’a point de compagnie en sa majesté royale ».  Charles LOYSEAU «  la couronne ne peut être si son cercle n’est point entier ».  Cardin LE BRET «  la souveraineté est non plus divisible que le point en la géométrie ». On compare le roi et le souverain au soleil qui domine tous les astres. On cherche à rationaliser le pouvoir royal. B) la monarchie de droit divin L’idée de cette

souveraineté pour qu'elle soit compréhensible. Adage de Guy Coquille, jurisconsulte: "Le Roi est monarque et n'a point de compagnon en sa majesté royale". "Monarque" ici dans sens grec étymologique, celui qui détient seul le pouvoir. Autre juriste, Cardin Le Bret, dit: "La souveraineté n'est non plus divisible que le point en géométrie". Loyseau s'efforce d'éclairer également le peuple en insistant sur fait que le Roi porte une couronne fermée comme un cercle, c'est un pouvoir infini et fermé. Premier

concepte de puissance absolue (pouvoir parfait, entier) du concepte du symbole de la couronne. Pour lui la puissance absolue est comme la couronne du roi : ronde sans fin et commencement, sans defaut ni asperites. C’est le conseiller de richelieu, cardin le bret dans son traite « de la souverainet du roi » en 1632. Selon lui « le roi est seul souverain en son royaume au meme titre que la souverainete qui n’est pas plus divisible que le point en geometrie ». Tous s’accordent pour dire que l’absolutisme

dispose des moyens intellectuels qui lui permettent d’élaborer la théorie d’un pouvoir royal renforcé. C’est au sein de la bourgeoisie que se recrutent les grands doctrinaires de l’absolutisme. Ainsi Jean Bodin à la fin du XVIe, le jurisconsulte Cardin LE BRET, et le chantre de la monarchie de droit divin : Bossuet. Le renforcement de la royauté est également souhaité par le peuple, un peuple religieux, attaché à un roi sacré, capable de guérisons miraculeuses, fort, capable d’imposer sa volonté.

perdre dans la continuation de ces troubles. Cette bourgeoisie d’autre part détient les moyens intellectuels d’élaborer la théorie d’un pouvoir royal renforcé. C’est en son sein que l’on retrouve les grands doctrinaires de l’absolutisme : J. BODIN, Cardin le BRET, jurisconsulte du règne de Louis XIII, le chantre de la monarchie de droit divin, l’évêque de Meaux BOSSUET, prélat d’origine roturière. Mais le renforcement de la royauté est aussi désiré par le peuple, un peuple religieux, attaché à un roi

l’Hospitalité violée, Panthée, Méléagre, Proiris ou la Jalousie infortunée, Alceste ou la fidélité, Ariadne ravie, Alphée pastorale nouvelle, Francfort, H. et K. Wormen, 1625. Jean-Gilbert DURVAL, Panthée, tragédie [en cinq actes et en vers], Paris, Cardin Besongne, 1639. TRISTAN L’HERMITE, Panthée, tragédie de M. de Tristan, Paris, A. Courbé, 1639. Voir à ce sujet : Charles MAZOUER, « Trois Femmes illustres de Scudéry, héroïnes de tragédies : Panthée, Lucrèce et 2 120 résiste et à laquelle

Palan moyen dont on se sert pour enlever de médiocres fardeaux. Bretèche : (bre-tè-ch'), n. f. Ancien terme militaire. Pièce de fortification ou partie crénelée des anciennes murailles. Brette : Longue épée. Charmon s'était fait secrétaire de cabinet pour le plaisir d'aller à Versailles et de porter une brette, SAINT-SIMON. Bretture : (brè-tu-r'), n. f. Travail pour dégrossir un ouvrage de sculpture. Bricole : (bri-ko-l'), n. f. Dans l'art militaire du moyen âge, sorte de catapulte ou de mangonneau

SILGARDE GAMIN DE MEXICO DIAMANT DE BEAUFAI Φ TUSEURAT GRYONNE E1 E1 A. Lecordier J. Zuliani S. Dehez A. Goudal C. Pieux J. Ricou G. Adam S. Leloup C. Gombeau P. A. Carberry D. Cottin M. Regairaz R. Schmidlin J. Carayon A. de Chitray B. Gicquel A. Cardine C.-E. Cayeux 70 67,5 67,5 67 65 65 65 65 64,5 64 65 64 62 62 62 62 62 62 H4 H4 H4 H4 H4 H4 H4 H4 H4 H4 H4 F4 H4 H4 H4 H4 F4 F4 C. Scandella P. Quinton J.-P. Gallorini Mme V. Seignoux J. Bertran de Balanda Mme L. Audon M. Rolland Mme I. Pacault

Soc. d'Agric., d'Archéol. et d'Hist. natur. du département de la Manche XVIII (1900), 1-86. 1651. A. SJÖGREN, Le traitement du w germanique en normand. Zeitschrift für französische Sprache und Literatur LIV (1931), 318-325. 1652. G. SOUILLET, Les brette et bretteville de Normandie sont-ils des établissements bretons ? Annales de Bretagne LXII (1955), 408-412. 1653. E. STORM, Les pays normands. Le Vexin. Viking 7 (1950-1951), 40-41. 1654. G. STORM, Om nordiske stedsnavne i Normandiet. Historisk Tidsskrift