Cardin Le Bret

l’instinct populaire et les intérêts de la bourgeoisie convergent. Le roi va avoir un très fort soutien de la partie du Tiers-Etat (~80% de la pop). Les juristes déclinent à l’infinie la théorie de l’absolutisme de manière très imagée. Cf citations (Cardin le Bret : « la souveraineté est par nature non plus divisible que le point en géométrie », etc…) ! L’absolutisme : c’est le roi qui décide en dernier ressort. Aucun roi n’a partagé son pouvoir avec quiconque. Tout ceci est soutenu par des travaux doctrinaux

souveraineté et la couronne, « la couronne ne peut être si son cercle n’est entier, aussi la souveraineté n’est point si quelque chose y fait défaut », une couronne n’en est une que si elle est fermée et c’est la même chose pour la souveraineté. Cardin le Bret (1558-1655), connu 6 rois, conseiller d’Etat, Le traité de la souveraineté du Roi, 1632, « le roi est seul souverain en son royaume et la souveraineté n’est non plus divisible que le point en la géométrie ». Le pouvoir absolu n’est il pas un

parler de couronne si il manque un floron, de la même façon la souveraineté n existe plus si il lui manque un de ses attributs. « La couronne ne peut être si son cercle n est entier aussi la souveraineté n est point si qqch y fait défaut ». Cardin Le Bret magistrat, conseiller de Richelieu, auteur d un « Traité de la souveraineté du roi ». Dans lequel il affirme sur « le roi est seul souverain dans son royaume et la souveraineté n est non plus divisible que le point en la géométrie ». ( La souveraineté

français qui tous les trois, sont considérés comme les théoriciens de la souveraineté, leurs théories s’ajoutent les unes aux autres et vont former une construction de grande qualité et d’une force remarquable, il s’agit de Bodin, l’Oiseau et de Cardin le Bret. Bodin, en 1576, publie son ouvrage fondamental, publie les 6 livres de la république, il précise et fixe les caractères de la souveraineté, toutes ces précisions seront fixées en des termes qui rEsteront en vigueur jusqu’après la première guerre

suivie en cela par un auteur écossais qui s’appelle William barclay. D’autres auteurs s’inscrivent dans cette lignée : Savaron qui était député aux états généraux avec son ouvrage « de la souveraineté du roi et de son royaume « paru en 1615. Cardin le BRET dans son ouvrage « de la souveraineté du roi » paru en 1632 Ces auteurs sur le droit pour le roi de faire la guerre comme il l’entend . Le roi n’a de compte à rendre qu’à Dieu et nul n’est juge sur terre de l’action des rois garants de l’autorité

en adage par le juriste Antoine Loysel au 17ie siècle « le royaume ne peut tomber en quenouille ». Il fallait trouver des justificatifs à ce principe de masculinité. Pour certains la femme est naturellement inapte à tout gouvernement (juriste Cardin le Bret), selon lui « l’exclusion des femmes est conforme à la loi de nature laquelle ayant créer la femme imparfaite, faible et débile tant du corps que de l’esprit la soumise à la puissance de l’homme qu’elle a pour ce sujet enrichie d’un jugement plus

ici la souveraineté absolue du roi, largement acceptée et reprise par les juristes suivant du 17eme. Le juriste Guy Coquille cite: “le roi n’a point de compagnon en sa majesté royale” (roi= seul détenteur de la souveraineté. Le juriste Cardin le Bret: “la souveraineté est par nature non plus divisible que le point en géométrie”. Doctrine monarchique recevant une dimension supplementaire II. La monarchie de droit divin La monarchie de droit divin est developpé sous

l’absolutisme déclaré ou proclamé et l’application concrète sur le terrain de la volonté du Roi. L’absolutisme s’affirme au delà du XVIIème siècle et nombreux sont les auteurs à défendre des thèses absolutistes. A l’époque d’Henri IV, l’auteur Loyseau. Cardin le Bret et Richelieu sous Louis XIII. Bossuet sous Louis XIV. Ces auteurs ont défendu une vision assez commune de l’absolutisme qui se résumé sur 2 axes, la royauté absolue d’une part mais une nullement arbitraire d’autre part. Le qualificatif, du latin

n’est Roi que parce qu’il est un seigneur au dessus des autres seigneurs, mais il distingue propriété (droit privé) / puissance publique (droit public). Le pvr du monarque se rattache à la notion de puissance publique, indépendant des propriétés. ►Cardin le Bret (1558-1655), De la souveraineté du Roi, thèse de l’indivisibilité de la souveraineté. Le Roi ne connaît pas de pvr supérieur au sien => indpce de l’État, rien ne peut s’opposer au Roi. 3) L’étendue du pouvoir absolu (justifications et limites)

doctrines qui font remonter l’établissement de la société civile à un pacte originel. → contrat entre prince et ses sujets, ces derniers acceptent de ce plier à l’autorité royale sous certaine conditions. Bodin : les 6 livres de la République Cardin Le Bret : la Souveraineté du roi À partir du 17E siècle, c’est la doctrine du contrat social qui s’impose en modifiant la nature de ce pacte. Thomas Hobbes, Pufendorf et Locke. Selon eux la société politique est fondé sur un contrat intervenu entre les