Cass Com 9 Juin 2004

plus spécifiquement du programme de première année sous forme de travaux dirigés corrigés. P. Ancel, O. Gout, Travaux dirigés d’introduction au droit civil, 2ème éd. Litec, 2002 B. Beigner et C. Bléry, Travaux dirigés d’introduction au droit, éd. PUF, 2004 S. Druffin-Bricca et L-C Henry, Introduction au droit : préparation aux travaux dirigés et aux examens, éd. LGDJ, 2009 T. Garé, Introduction au droit et droit civil : méthodologie et sujets corrigés, Dalloz, 2009 F. Grua et N. Cayrol, Méthode des études

créanciers soumis à la discipline collective. C’est en ces termes antinomiques que se pose le problème de l’exercice de l’action en revendication et de la restitution dans les procédures collectives. L’action en revendication prévue aux articles L.624-9 à L.624-18 et aux articles R.624-13 à R.624-16 du Code de Commerce permet au créancier d’une entreprise en sauvegarde, en redressement ou en liquidation judiciaires, de revendiquer un bien lui appartenant, qui se trouve entre les mains du débiteur.

déterminée : C. Const., décision n° 82-140 DC du 28 juin 1982, Loi de finances rectificative pour 1982. C'est en particulier le cas des impôts affectés à la Sécurité Sociale, par exemple la CSG : C. Const., décision n° 90-285 DC du 28 décembre 1990, Loi de finances pour 1991. Cependant, l'affectation de l'impôt à une personne publique ou privée déterminée ne signifie pas nécessairement une contrepartie déterminée bénéficiant au contribuable : CE, 1er juin 1994, SCA du Piada. Cela s'explique par la différence

récemment (IIIe et IVe = faible! on a confondu l'image et le pouvoir pol des préfets avec de la déconcent° mais = faibles pouvoirs admin). 2) la déconcent° prépare la décent°, ex la région car la circonscription = déterminée bien avant par : décret du 2 Juin 1960 = circonscriptions d'action régionale (intervention préfet) et 1972 = EPR. Csq = qd le légis = régions comme CT il a pris les circonscriptions deja existantes. (sont-elles tout a fait adaptées ?) 3) La déconcentration accompagne la décentralisation

certitude de l’evenement pouvait être apprecier objectivement, mais aussi subjectivement. De ce fait, un evenement objectivement incertain pouvait être qualifiee de terme si les parties, à tort ou à raison, avait decider de le tenir pr certain. Ex: 1er civ cass 13 decembre 1994 TD 1, DOC1. Si l’on admet que… cela laisse l’apparition d’un terme potestative. Or, la condition potestative est nulle. Admettre qu’un terme puisse être determinee subjectivement permet d’echapper aa cette prohibititon. Ds une telle

l‘exercice de cette liberté à l‘obtention d‘une sorte de licence appelée la patente. Il n‘en reste pas moins que le principe de la liberté du commerce est proclamée, celle-ci étant renforcée par la seconde grande loi révolutionnaire, la loi du 14 et 17 juin 1791 (dite loi « Le Chapelier ») abolissant les corporations et toutes les réglementations professionnelles. 2 – En matière de droit du commerce, la première œuvre majeure de codification revient à Napoléon Ier avec l‘élaboration du Code de commerce

MARIE Mémoire présenté en vue de l’obtention du master droit recherche spécialité droit des personnes et de la famille par Karine HENRY Sous la direction de Mademoiselle Delphine AUTEM, Maître de conférences à Lille 2 Année universitaire 2004-2005 Mémoire publié après autorisation du jury sur http://edoctorale74.univ-lille2.fr Mes plus vifs remerciements à Mademoiselle AUTEM, pour ses précieux conseils, sa rigueur et sa disponibilité. Merci à Dhaou, à ma famille, et à mes ami(e)s

directive devant les juridictions nationale quand le délai est dépassé et la directive n’est pas transposée. Ordonnance de 2005 concernant la garantie de conformité via une directive de 1999. La directive sur le commerce électronique a été transposée en 2004. c) Influence du droit européen Il y a l’influence du droit européen issu de la CESDH et issu de la jurisprudence de la CEDH. Ce droit innerve le droit français et le droit des contrats subit cette influence. Par exemple, le contrat ne doit pas répondre

SOMMAIRE INTRODUCTION GENERALE 1 PREMIERE PARTIE : UN FONDEMENT DEROGATOIRE AU DROIT COMMUN DE LA RESPONSABILITE CIVILE 9 CHAPITRE 1 : LES OBLIGATIONS DU BANQUIER A L'EGARD DU CLIENT . 11 Section1. L'appréciation de l'opportunité du crédit 11 Section 2 : La surveillance des fonds prêtés 22 CHAPITRE 2 : LES OBLIGATIONS DU BANQUIER A L'EGARD DES TIERS. 28 Section 1 : Les conditions objectives du soutien abusif 29 Section 2 : Les conditions subjectives du soutien abusif: La connaissance

Responsabilité contractuelle 247 248 249 250 à 254 255 256 257-258 259 260 261 262 263 279 264-265 266 267 268 269 270 271-272 273 274 275-276 277 Page 9 4 • II. - TITRES ET SOMMAIRES D’ARRÊTS ARRÊTS DES CHAMBRES Numéros Abus de l’état d’ignorance ou de faiblesse d’une personne Architecte entrepreneur. Assurance de personnes Astreinte (loi du 9 juillet 1991) Atteinte à l’autorité de l’Etat Avocat Bail d’habitation Bail (règles générales) Banque Cassation Cautionnement Compétence Conflit de juridictions