Cassation 21 Juin 2011

Cour de cassation chambre civile 1 Audience publique du mardi 28 novembre 2006 N° de pourvoi: 04-11520 Publié au bulletin Rejet. M. Ancel., président Mme Monéger., conseiller rapporteur Premier avocat général : Mme Petit., avocat général Me Blanc, SCP Delaporte, Briard et Trichet., avocat(s) [pic] REPUBLIQUE FRANCAISE AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS LA COUR DE CASSATION, PREMIERE CHAMBRE CIVILE, a rendu l'arrêt suivant : Attendu que l'arrêt attaqué (Douai

TD droit privé 1. Identification : Dans cette décision du 23 Mars 2011, la première chambre civile de la Cour de cassation aborde le changement de prénom. Faits : Mme Brigitte X. veut changer de prénom en Mme Lethicia X. Elle a la nationalité française et israélienne, le gouvernement israliéen a accepté sa demande mais le gouvernement français refuse car il n'y a pas les motifs de sa demande. Prétention des parties : Le demandeur, Mme Brigitte X. veut changer son prénom en Lethicia. Procédure :

d’organisation du travail et des nouvelles méthodes de management axés sur la rentabilité et la performance. De plus, la qualification juridique du suicide lié au travail emporte des conséquences importantes pour l’entreprise depuis que la Cour de cassation l’assimile à un accident du travail. Il devient donc désormais essentiel, pour les directions des ressources humaines, d’identifier les situations à «  risques  » et de prendre toutes les mesures pour les prévenir et les résoudre. Suicides liés

l’intérêt général. Cette conception est née avec la révolution française qui s’est fondée sur une philosophie strictement individualiste, et donc pour condamner toutes entités intermédiaires entre l’état et le citoyen. La loi LE CHAPELIER du 14 juin 1791 : a interdit les corporations et toutes formes d’unions ouvrières. Mais aussi les rassemblements des paysans et des ouvriers (délit de coalition). Le décret d’ALLARDE de mars 1791 : a introduit dans le code pénal 2 articles : 1414 et 1415 qui

“artisans», par “personne exerçant une activité commerciale ou artisanale», ce changement ne se bornant pas à une simple modification terminologique. I l’exercice d’une activité professionnelle indépendante 2 ème chambre civile, Cour de cassation, 21 janvier 2010 ; n°pourvoi08-19984 Une gérante de société s’était vu refuser le bénéfice de l’application des mesures applicables au surendettement des particuliers, au motif qu’elle était gérante de société et que par conséquent elle relevait de

Le Conseil constitutionnel a été saisi le 1er juin 2010 par la Cour de cassation (arrêt n° 12030 du 31 mai 2010), dans les conditions prévues à l'article 61-1 de la Constitution, d'une question prioritaire de constitutionnalité posée par MM. Daniel W., Laurent D., Eddy et Driss G., Hamza F., Antonio M. et Ferat A., Mme Elena L., MM. Alexander Z., Ahmed B., Samih Z., Rachid M., Mike S., Claudy I., Grégory B. Ahmed K., Kossi H., Willy P. et John C., Mme Virginie P., MM. Mehdi T., Abibou S., Mouhssine

surtout dans le fait que la nullité absolue se prescrivait au bout de 30 ans contre 5 ans pour la nullité relative. Aujourd’hui cette question n’est plus d’actualité puisque les délais de prescription ont été unifié à 5 ans. En effet, la loi du 17 juin 2008, entrée en vigueur le est sans conteste une réforme majeur, puisque modifiant en profondeur les règles relatives à la prescription civile, en instituant un délai de droit commun, mettant ainsi fin aux circonvulations de la jurisprudence. Néanmoins

en vertu de l’article 20 de la Constitution : « Le Gouvernement dispose de l’administration ». Cette règle fonde le fait que le pouvoir hiérarchique s’exerce de plein droit, du haut en bas de l’administration, ainsi que l’a rappelé l’arrêt CE, 30 juin 1950, Quéralt. Il existe cependant des exceptions constitutionnelles à ce principe : - En vertu de dispositions constitutionnelles expresses telles que l’article 64 de la Constitution qui fonde l’indépendance de la justice (1) ; - En vertu de principes

Microsoft Word - Précisions méthodologiques 2.docxPrécisions méthodologiques 2 Fiche TD3 Commentaire d’arrêt Cass. 3e civ., 16 mars 2017, n°16-13.063 (doc 6) Accroche : la Cour de cassation précise le régime juridique applicable en cas de nullité d’un bail conclu au nom d’une indivision dépourvue de personnalité juridique. Faits : En l’espèce, des propriétaires en indivision ont conclu un contrat de bail d’un appartement le 5 mars 1997. Ces propriétaires ont par la suite délivré congé

droit à se pencher sur l’indemnisation des victimes. Alors qu’elles étaient auparavant protégées hors contrat par l’article 1384, après 1911 cette protection est reconnue contractuellement. La Cour de cassation ajoute une nouvelle obligation dans le contrat entre créancier et débiteur lors de l’arrêt du 21 novembre 1911. Le contrat étant une convention créant lui-même une ou plusieurs obligations entre les parties concernées. En l’espèce, cette obligation, dite de sécurité, présume que la victime, blessée