Catharsis Et Art

Metz le portent vers le cinéma. Il essaie de comprendre pourquoi l'impression de réalité est plus grande au cinéma que dans les autres arts. L'impression de réalité à des conséquences esthétiques et sociales qui permettent d'envisager le cinéma comme art-thérapie. La question est de savoir pourquoi l'impression de réalité est plus forte au cinéma qu'ailleurs. En quoi alors le cinéma peut il être le soin le plus proche de la psychanalyse, de la vie réelle des hommes ? Première raison : le mouvement

de ce qui fait son originalité et sa spécificité ? Comme nous le verrons, ce n'est pas souhaitable, même si certaines œuvres peuvent s'accommoder d'une consommation solitaire, chez soi.  1) Le théâtre est un art du spectacle qui demande comédiens et public a) Origine du théâtre. Théâtre, art populaire s'adressant à un public peu lettré. L'étymologie grecque du mot (V. 1200, t. d'antiq.; lat. theatrum ; grec theatron : " contempler ")  b) Dans l'antiquité, à Athènes, au Ve siècle avant J. C., le

la valorisation du réalisme socialiste comme instrument de propagande staliniste. Ces exemples nous rappellent les enjeux politiques auxquels correspond le statut de l'art : que s’exprime-t-il de l’humain dans l’œuvre d’art ? Concernant le rapport art- religion, la querelle entre iconodules et iconoclastes a marqué profondément l'histoire des idées : les icônes (représentation de figures divines) étaient destinées à être adorées. (L'iconographe se considère comme un artisan au service de l'Eglise ;

plus complexe qu’il eu paraît. Pour finir la mimesis du mythe d’Antigone : est il juste de respecter sa conscience morale ou est-il juste de respecter la loi ? Peut on se contenter de respecter la loi pour être juste Cette mimésis provoque une catharsis c’est a dire qu’on se libère de cette problématique universelle grâce a la distance de la représentation théâtrale. Mais on se libère de ce problème en prenant conscience que la justice n’est pas un état de faite déterminable dans l’absolu car la

Pour ce faire ils se tournèrent vers des modèles étrangers. Les critiques, humanistes encore et volontiers italianisants, du règne de Louis XIII lurent et relurent Aristote et ses commentateurs modernes de la Renaissance italienne : un Vida et son Art poétique de 1527, un Scaliger et sa Poétique de 1561, un Castelvetro et son Commentaire de 1570. En France, ce fut surtout la génération de 1630 qui célébra à son tour, avec Chapelain, Scudéry, La Ménardière, etc., le culte d'Aristote. Mais la génération

Molière qui doivent fournir, parfois très rapidement, des éloges du roi ou des divertissements pour la cour. Nicolas Boileau, dans son Art poétique (1674), veut établir des règles d'écriture pour le théâtre qui se réfèrent à celles qu'avait déjà énoncé Aristote dans sa Poétique. D'après ce philosophe grec du IIème siècle avant Jésus-Christ, la tragédie vise la catharsis, c'est-à-dire la purgation des passions chez le spectateur. La règle des trois unités comprend : l'unité de temps : l'intrigue doit

ses yeux, un tel théâtre. Dans sa Lettre sur la cruauté (1932), dans Le théâtre et la cruauté (1933) et les deux manifestes de 1933 portant le titre de Le théâtre de la cruauté, il a, en effet, exposé ses idées originales pour une renaissance de cet art. Néanmoins, tout Le théâtre et son double témoigne de cette nouvelle vision du théâtre et l’on s’aperçoit que l’expression « théâtre de la cruauté » s’avère être un pléonasme, dans la mesure où, pour Artaud, le théâtre n’est pas possible sans un élément

s’est formé et a atteint ses formes lexicales et syntaxiques actuelles . En 1696 le premier dictionnaire de la langue Française est publié , et, soixante et un ans plus tôt, Richelieu créa l’Académie française, ayant surtout pour but d’imposer un « art officiel », utilisant la langue du Roi. Les écrivains classiques cherchent aussi à s’imposer des règles, des contraintes, au nom de la vraisemblance, et à peindre la vie telle qu’elle apparaît à leurs yeux et à leur philosophie. Voici alors les caractéristiques

de la Haye : 177 extrait établis sur les mêmes extraits que Rouen => dimension affectif, intérêt stylistique, la préface mentionne « lorsque vous voyez ces lettres, vous croyez qu'elles parlent ; vous ne la lisez point, vous l'entendez »=> art de la conversation + aspect de censure → 10 plus tard apparaît édition officielle de Perrin (1834 -1837) Perrin va remagner les textes en suivant la contrainte de l'intimité familiale et en suivant les canons épistolaire (attente de l'horizon d'attente

quand il lit, c’est aussi pour se consoler. « Une heure de lecture est le souverain remède contre les dégoûts de la vie » disait Montesquieu. La lecture, par exemple, est, dans ce cas, un acte délibéré de refus de la réalité, c’est une sorte de catharsis. Ce détour par l’imaginaire, pour échapper à une réalité trop pesante se fait consciemment comme inconsciemment. Toutes les déceptions, les désirs inavouables, irréalisables, bannis par les codes de la réalité sont refoulés dans ce que Freud appelle