Catharsis Et Art

relation il faut d’abord établir l’origine de ces deux arts brièvement. Le théâtre est un art ancestral qui naquit dans l’antiquité grec durant le VI et V siècle avant Jésus-Christ. Les représentations étaient gratuites et ouvertes à tous et avaient lieu lors de cérémonies religieuses pour célébrer le Dieu Dionysos, dieu de la folie, de l'excès, de la démesure, du vin et du théâtre. Le procédé de catharsis (purgation des passions) était fondamental. Dès cette époque le théâtre se servait de machineries

apparut-il en ces temps-là. Bien sur les historiographies sont tendancieuses et hasardeuses en ce cas c’est pourquoi nous nous pencherons sur la réponse qu’en a faite Aristote concernant la première demande. Ce dernier explique l’effet du théâtre par la catharsis, soit la purification. « La tragédie (...) est une imitation faite par des personnages en action et non par le moyen de la narration, et qui par l'entremise de la pitié et de la crainte, accomplit la purgation des émotions de ce genre », dit-il dans

esprits". Fils de sage- femme, Socrate ne prétend rien nous enseigner sur la nature humaine. Il nous aide seulement à réfléchir et d'aider les esprits à mettre au jour ce qu'ils portent déjà en eux-mêmes. d) L'ironie socratique, qui consiste en un art d'interroger en posant des questions, en feignant de quêter des leçons. Socrate en arrive ainsi à démontrer aux sophistes, gonflés de vanité et de faux savoirs, les contradictions de leur pensée. Si Socrate "fait accoucher les esprits" en les amenant

a-t-elle contribué à l’évolution de la société ? Le théâtre participe à la cérémonie religieuse dans l’Antiquité et serait né vers avant Jésus-Christ. C’est devenue au fil des siècles un genre littéraire et le dramaturge un créateur conscient de son art. Il y a différents genres de théâtre, celui sur lequel nous allons nous pencher est le théâtre comique. Plus libre dans sa forme et ancrée dans l’actualité politique du moment, la comédie cherche par le rire à souligner et à dénoncer les travers de

vengeanceoutrage à cadavre donc supreme transgression morale car on ne rend pas à la famille il devient inhumain défigurétragédie suscite la pitié et la terreur l'identification mais le rejet ce même rejet nous amène à la purification on parle de catharsis pas que dans la littérature exemple tuer des zombies dans un jeux vidéos cela nous défouler mais c'est aussi affreux y a un côté exutoir car on ne va pas tuer des gens dans la

médiévale Gaston Paris. Plus savante, l’expression médiévale occitane est celle de fine amore. L’amour courtois est un idéal amoureux chanté d’abord par les troubadours dès le XIIème siècle puis mit en scène par les romanciers de la même époque. C’est un art d’aimer avec ses règles, ses codes et ses rites ; fruit d’une littérature lyrique, dite " courtoise ", destinée aux nobles et seigneurs de la cour. La tradition de l’amour courtois fut florissante dans l'Europe médiévale, notamment en Occitanie et dans

plusieurs historiens situent l'origine du théâtre chinois aux environs de deux mille ans avant Jésus-Christ, et il semble que le théâtre indien trouve également sa source dans un passé immémorial. Plutôt que de vouloir attribuer une origine précise à cet art, il est sans doute plus judicieux de considérer qu'il aussi ancien que la vie communautaire elle-même, dans la mesure où les danses de la pluie, où les récits au coin du feu, auxquels se livraient déjà probablement les premiers hommes, posaient, sans

Emile Faguet, L’art de lire * Avant-propos. Il y a un art de lire, à quoi sert cet art ? Dans quel but lit-on ? Trois possibilités : pour nous instruire, pour juger les ouvrages ou pour en jouir. Pour nous instruire : il faut alors lire lentement, se relire en notant tout ce qu’on apprend. Aucun plaisir. Pour juger des ouvrages : c'est-à-dire en critique. Il faut lire lentement, prendre des notes, faire des fiches d’où l’on tire des idées générales et des idées particulières qu’il faut

soucis définitoire, il est nécessaire de remonter à l’étymologie du mot, discipline s’intéressant aux origines de ces derniers. Ainsi, se justifiera t il que terme classicisme tire ses origines du latin classicus signifiant de première classe. Dans son art poétique français, thomas Sébllet (1512-1589) emprunta le mot classique qu’il appliqua « aux auteurs qu’il recommandait comme modèles » (Dictionnaire étymologique de la langue française ;2004). Par expansion le terme a fini par désigner à l’orée du

tout à fait dans l’esthétique tragique où nous voyons Andromaque supplier Pyrrhus lors d’une réplique particulièrement poignante : l’infortunée veuve d’Hector suscite la pitié du spectateur, et ce spectacle le purifie de ses passions : c’est la catharsis. Le texte C, provenant d’Antigone de Jean Anouilh, comporte une particularité intéressante : son appartenance au registre tragique est indéniable, la réplique « Je vais mourir tout à l’heure » annonçant la mort inéluctable du personnage mythique