Ch Mixte 28 Mars 1997

la qualification desquels un doute peut subsister. Ces contrats complexes ne sont pas forcément des contrats innommés ; il ne suffit pas de mélanger les stipulations de deux contrats nommés pour faire apparaître un contrat innommé, c’est un contrat mixte. Un contrat peut aussi intégrer des données de plusieurs contrats et si l’on échoue dans le rattachement à un contrat ou à rattacher les régimes que l’on pourra parler de contrat innommé. Le contrat de vente est le transfert de propriété d’une

Monsieur le rapporteur Marini soulignait au cours des 11 12 13 14 15 16 17 Loi n° 67-563, du 13 juillet 1967. Voir, C. SAINT-ALARY-HOUIN, Droit des entreprises en difficulté, Montchrestien, 5°éd. 2006, n° 1 et s. notamm. n° 4, p 2. Loi n°84-148 du 1er mars 1984 relative à la prévention et au règlement amiable des difficultés des entreprises ; loi n ° 85-88 du 25 janvier 1985, relative au redressement et à la liquidation judiciaire des entreprises ; loi n° 85-89 du 25 janvier 1985 relative aux administrateurs

 Document 1 de 1 JurisClasseur Administratif Date du fascicule : 31 Mars 2011Date de la dernière mise à jour : 30 Avril 2014 Fasc. 40 : COUR DE JUSTICE DE LA RÉPUBLIQUE Pierre-Olivier Caille Maître de conférences à l'École de droit de la Sorbonne Mises à jour Mise à jour du 30/04/2014 - §9. - Structure de la Cour de justice de la République Mise à jour du 30/04/2014 - §35. - Dotation de la Cour de justice de la République Mise à jour du 30/04/2014 - §36. - Indemnisation des membres

juin!2011,!n°10(10348.$ !!!!•!!!!!!Commentez!l’arrêt!suivant!:$Cass.$Civ.$2,$27$mai$1999,$n°97/13137& ! DOCUMENTS!:
 1)$Cass.$Civ.$3,$8$décembre$2010,$n°09/70636
 2)$Cass.$Civ.$1,$1e$mars$2005,$n°03/20129
 3)$Cass.$Civ.$3,$16$novembre$2011,$n°10/17680
 4)$Cass.$Civ.$2,$18$juillet$1967
 5)$Cass.$Mixte,$27$février$1970,$n°68/10276
 6)$Cass.$Civ.$2,$13$janvier$2005,$n°03/13531
 7)$Cass.$Civ.$2,$27$mai$1999,$n°97/19234
 8)$Cass.$Civ.$1,$9$juin$2011,$n°10/10348
 9)$Cass.$Civ.$3.,$1$juillet$2009

logistique du transport de marchandises en Europe, la clé de la mobilité durable, Communication de la Commission au Conseil, au Parlement européen, au Comité économique et social européen et au Comité des régions, COM(2006) 336 final, Bruxelles, le 28 juin 2006. 6 La Court of Appeal britannique s’était prononcée sur ce qui était déjà une opération de transport multimodal, en 1876.5 En se fondant sur les conditions actuelles de transport unimodal, les opérateurs de transport ont développé

comment la Cour contrôle les décisions des juges du fond, mais évidemment dans la limite des moyens présentés par les parties : - Les faits sont toujours souverainement appréciés par le juge du fond, qui doit seulement motiver sa décision (2e Civ., 5 mars 2009, pourvoi n° 06-20 994). Toutefois, le respect des règles de preuve de ces faits, et notamment de la charge de la preuve, est évidemment contrôlé, car il s’agit d’une question de droit (1re Civ., 3 décembre 2008, pourvoi n° 08-10.718). Les motivations

cas échéant, les violations. Des initiatives tendant à harmoniser des législations plus sectorielles seront ainsi progressivement mises en place, aussi bien dans le cadre de l'Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI) signée le 02 mars 1977 à Bangui, qu’en matière d’assurance avec la Conférence Interafricaine des Marchés d'Assurances (CIMA) instituée à Yaoundé par Acte du 10 juillet 1992, sans oublier la matière de la sécurité sociale avec l’institution de la Conférence Interafricaine

pénalesExercice 34 • Sanctions fiscales et poursuites pénales 205 Corrigé 1 1 • NATURE DES SANCTIONS FISCALES Des pénalités pour manquement délibéré ont été infligées à M. Leblanc, suite à une vérifi­ cation de comptabilité. La sanction fiscale a un caractère mixte. Elle constitue à la fois une peine et la réparation civile du préjudice subi par le Trésor Public. Depuis la loi Aicardi, les taux des pénalités fiscales ont fortement diminué. La bonne foi étant présumée, il appartient à l’administration des impôts

civ., art. 1628 - C. civ., art. 220 - Ensemble : - C. civ., art. 1119, 1120 et 1121 - C.civ., art. 1165, 1166, 1167 - C. civ., art. 1382, 1383, 1384, 1385, 1386 , 1386-1 Appendice : à propos du Code civil… Le code civil a été promulgué le 25 mars 1804 par Bonaparte, encore Premier Consul. Il devrait s’intituler d’ailleurs officiellement, en principe, Code Napoléon, encore aujourd’hui, sur le fondement d’une loi adoptée sous le second Empire, mais débattre de cette question nous conduit déjà

en accordant au créancier un droit particulier qui lui donne un avantage par rapports aux autres créanciers: droit de préférence. C'est la raison pour laquelle la jurisprudence considère que le droit de gage général n'est pas une sureté: arrêt de la Ch. Com du 3 mai 1967: le droit de gage général des créanciers ne peut pas être un droit de gage particulier car pas de droit de préférence. Les suretés ne profitent pas qu'au créancier, elles profitent aussi au débiteur car sans sureté, il n'y aurait