Chaine De Valeur Renault Nissan

tableau qui permet à l’élève de comprendre qu’il existe diverses décisions, dont les niveaux d’importance peuvent être très variés. Il faut montrer que ce n’est pas forcément le dirigeant qui prend les décisions Il faut décider en fonction de ses valeurs Ce texte montre comment un dirigeant prend une décision. Les décisions absurdes sont partout Là encore, un dirigeant s’exprime et montre que le dirigeant peut se tromper dans sa décision, ce qui aura des conséquences sur l’organisation. 1 Tableau

du capital Valeur de marché de la dette Valeur de marché des capitaux propres Rentabilité exigée des capitaux propres Rentabilité exigée de la dette Taux d’imposition sur les sociétés rf, EUR rf, Devise rCMPC VD VCP rCP rD τIS En mars 1999, Renault crée avec Nissan, constructeur automobile japonais, une alliance, point d’aboutissement d’une coopération entamée deux ans auparavant. L’alliance prévoit des participations croisées des deux entreprises (Renault détient 44 % de Nissan qui détient

Introduction Voilà déjà plusieurs années que le terme de Supply Chain est apparu à la face du monde de l'entreprise. Ce concept qui aborde le vaste sujet du transport et de la logistique sous un angle transversal et global, a fait écouler beaucoup d'encre ces cinq dernières années. De nombreux experts ont d'abord disséqué les flux afin de proposer une organisation capable de piloter les flux de l'entreprise et de ses partenaires depuis le fournisseur du fournisseur jusqu'au client du client

rigueur pour atteindre une finalité économique. Les finalités peuvent être économiques, sociales ou sociétales ou personnelles au dirigeant. a. – – – – – – – – Finalités économiques Produire et distribuer des biens et services, Partager la valeur ajoutée entre tous les partenaires, Exister, Survivre, Se développer, Devenir leader, Réaliser des bénéfices, Être indépendant financièrement. b. c. Finalités sociales Finalités sociétales Donner aux employés l’occasion de se réaliser.

stratégie mondiale des firmes françaises est commandée par la mondialisation mais sont-elles pour autant coupées du territoire national ? II. Crise ou mutation de l’espace industriel ? Depuis 25 ans, déclin de l’emploi industriel (-25%), mais valeur ajoutée industrielle, productivité industrielle (plus que doublé) et proportion de cadres et d’ingénieurs n’ont cessé d’augmenter… Crise sans précédent des anciennes structures, notamment industries de base, mais une nouvelle industrie émergente.

annualisées jusqu’à présent cette année, après un record de 4,6 millions en 2007. La détérioration devrait se poursuivre notamment en raison de la hausse persistante du chômage et du relèvement de trois points de pourcentage de la taxe espagnole sur la valeur ajoutée, à compter du 1er septembre. Les volumes se maintiennent mieux dans le reste de l’Europe de l’Ouest malgré la faiblesse économique. Au Royaume-Uni, les achats ont progressé pendant cinq mois et les ventes de l’année devraient toucher les 2

Fiat S.p.A réalise sa meilleure année avec 2 679 451 véhicules produits et un chiffre d’affaires de 58.5 milliard d’euros. Le groupe se classe ainsi au 8ème rang mondial derrière General Motors, Toyota, Volkswagen, Ford, Honda, PSA Peugeot-Citroën, Nissan. Les parts de marché du groupe Fiat ont fortement progressé notamment dans le secteur automobile puisqu’ils sont de 32% en Italie et de 9% en France. Le 4 Juillet 2007, soit exactement 50 ans après la sortie de la Fiat 500 I, Fiat présente sa nouvelle

de la firme et du marché peuvent donc être contradictoires. Michaël Porter montre que, d’une manière générale, toute entreprise présente sur un marché est menacée par cinq « forces » : Les concurrents déjà présents (Toyota, Volkswagen ou PSA pour Renault par exemple), les nouveaux entrants (les constructeurs automobiles chinois ou indiens dans les années à venir), les substituts (les transports urbain, les cycles), le pouvoir de négociation des fournisseurs (les équipementiers disposants de technologies

plus judicieux à court terme de gérer les coûts de la délocalisation par des politiques de soutien au développement de nouvelles compétences et inciter les entreprises à capitaliser sur leurs points forts dans l’innovation et les services à forte valeur ajoutée, plutôt que d’essayer de faire face à la concurrence dans la fabrication de ces produits, qui permettra de bénéficier de rendements supérieurs à long terme. Conserver notre capacité à innover et à tirer profit des nouveaux marchés est plus

industriel. Dans ce cas, une entreprise considère que le coût du travail dans son pays d’origine est trop élevé par rapport au coût du travail dans ce nouveau pays. Certaines entreprises délocalisent l’activité générique, celle qui rapporte moins de valeur ajoutée. Elle a un avantage, elle ne supprime pas l’activité dans le pays, elle permet la réalisation de l’activité de base à un coût moindre. 1/3 de l’emploi industriel qui a disparu a été délocalisé en France. 4. L’internationalisation