Champ Lexical De La Prison

jour du seigneur · Deux CC de lieu coordonnées (« vers sa petite maison situé » « au numéro 19 de Königstrasse ») + apposition · Mise en place, in medias res, d’un cadre spatio-temporel identifiable • Lignes 6 à 16 :- Champ lexical du repas B. Un rythme dynamique : Evènement « extraordinaire »Lignes 1 et 2 : · Passe simple initial· Cadre spatio-temporel· Lignes 6 à 11 :· Opposition entre « chant » et « cris » · Hyperbole·

rayonnant - flamboyant : qui flamboie, qui jette une flemme brillante et intermittente - rubis : pierre précieuse de couleur rouge vif Champ lexical de « La Danseuse » Consigne : Trouver le champ lexical qui domine dans ce texte et relever les mots qui vous permettent de dire ça (au moins 7). Que pouvez-vous dire sur le personnage de Salomé, grâce au champ lexical ? La beauté/richesse ( séduction : - « riches » (L. 2) - « fleuries » (L. 2) - « enchanté » (L. 3) - « orfèvreries » (L. 3)

enrobée. Le champ lexical de la vieillesse nous démontre le premier (« veuve » l.4, « vieillotte » l.7, « ridé » l.13). De plus ce groupe de mot « le chat de madame Vauquer » l.2 participe également à nous prouver que cette « petite femme » est vieille : le chat est souvent synonyme de « vieille fille » ; tout comme la comparaison à la ligne 12 « sa figure fraiche comme une première gelée d’automne » qui nous fait ressortir le fait qu’elle ne soit plus toute jeune. Quant au champ lexical de l’embonpoint

angoissante Dans ce poème nous pouvons remarquer le champ lexical de l'obscurité avec « noir » vers quatre, « nuits » vers quatre, « chauve-souris » vers six. Nous trouvons aussi le champ lexical de l'enfermement « couvercle » vers un, « cachot » vers cinq, « prison » et « barreaux » vers dix. Mais nous pouvons aussi relever le champ lexical de l’animalité : « infâmes araignées » vers onze, « chauves-souris » vers six, « geindre » vers seize. Ces champs lexicaux se complètent les uns avec les autres dans

disent la peine de mort nécessaire. D’abord, – parce qu’il importe de retrancher de la communauté sociale un membre qui lui a déjà nui et qui pourrait lui nuire encore. – S’il ne s’agissait que de cela, la prison perpétuelle suffirait. À quoi bon la mort ? Vous objectez qu’on peut s’échapper d’une prison ? Faites mieux votre ronde. Si vous ne croyez pas à la solidité des barreaux de fer, comment osez-vous avoir des ménageries ? Pas de bourreau où le geôlier suffit. Mais, reprend-on, – il faut que la

disent la peine de mort nécessaire. D’abord, – parce qu’il importe de retrancher de la communauté sociale un membre qui lui a déjà nui et qui pourrait lui nuire encore. – S’il ne s’agissait que de cela, la prison perpétuelle suffirait. À quoi bon la mort ? Vous objectez qu’on peut s’échapper d’une prison ? Faites mieux votre ronde. Si vous ne croyez pas à la solidité des barreaux de fer, comment osez-vous avoir des ménageries ? Pas de bourreau où le geôlier suffit. Mais, reprend-on, – il faut que la

Le premier ne cesse de prononcer à plusieurs reprises « Condamné à mort ! », il est obsédé par sa « pensée infernale ». On y retrouve le champ lexical de la prison « je suis enfermé », «forcé de rester prisonnier comme un aigle dans une cage » on remarque ici une comparaison. Quant à lui, Dantès se fait du mal, « il brisait son corps contre les murs de sa prison », il éprouve de la colère, il est malheureux « alors son esprit devint sombre » car il est accusé a tort sans raison « son bonheur détruit

montrer l’obsession du condamné par l’idée de la mort. Deux grands champs lexicaux dominent dans le texte : la mort et le temps. Le narrateur compare sa vie de bonheur et de liberté avant sa condamnation avec celle-ci en prison .Ainsi de grandes oppositions se sont manifestées (la vie /la mort ;la liberté /la prison) , la prison ici ne s’est pas contenté par le corps mais c’est aussi une prison d’esprit que le narrateur a bien illustré par sa personnification mais aussi par la

que les nuits ;Quand la terre est changée en un cachot humide,Où l'Espérance, comme une chauve-souris,S'en va battant les murs de son aile timideEt se cognant la tête à des plafonds pourris ;Quand la pluie étalant ses immenses traînéesD'une vaste prison imite les barreaux,Et qu'un peuple muet d'infâmes araignéesVient tendre ses filets au fond de nos cerveaux,Des cloches tout à coup sautent avec furieEt lancent vers le ciel un affreux hurlement,Ainsi que des esprits errants et sans patrieQui se mettent

des hyperboles, des anaphores, des gradations, … • Lieu de l’exécution  La place de Grève • Durée de séjour en prison  Six semaines • Le dernier jour  A partir du chapitre 18 • L’annonce du dernier jour  Six heures • Heure de l’exécution  Quatre heures • Attitude des personnages  Indifférence à la souffrance du condamné • Champs lexicaux  Champ lexical de la mort, de la captivité, de la cruauté, de la laideur, de la souffrance… • Sentiments du condamné  Désespoir,