Champ Lexical De La Prison

; Quand la terre est changée en un cachot humide, Où l'Espérance, comme une chauve-souris, S'en va battant les murs de son aile timide Et se cognant la tête à des plafonds pourris ; Quand la pluie étalant ses immenses traînées D'une vaste prison imite les barreaux, Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, Des cloches tout à coup sautent avec furie Et lancent vers le ciel un affreux hurlement, Ainsi que des esprits errants et sans patrie

monstres, et quand ils sont petits, ils ont peur qu’ils viennent des dévorer : "sous les dents" (v.7), "Monstre hideux qui mâche" (v.8) B) Une forme d'esclavage : Champs lexical de l’enfermement : "servitude", "bagne", "enfer", ‘’prison’’ C) Eloge du vrai travail ("vrai" v.33 -> Celui qui rend heureux les gens Champs lexical mélioratifs: "libre", "heureux", "sain" II. Convaincre et persuader : 1) Le poète veut provoquer de l’émotion chez le lecteur : Persuader : -Les premiers

répertorié dans le recueil «  Sagesse ». Celui-ci est paru en 1881 et a été rédigé par le poète en prison, alors accusé d'avoir tiré sur son ami Rimbaud. Le poème est d'ailleurs l'expression des souvenirs et de la nostalgie de Verlaine à l'égard des traversées maritimes avec Rimbaud, et de ses pensées existentielles, que le thème de l'oiseau dévoile ici. Dans ce poème, le principal champ lexical est celui de l'oiseau ( «  D'une aile inquiète et folle vole » vers 3 ; « D'une aile d'effroi » vers

notamment par l'utilisation du champ lexical de la vieillesse. Cette fois-ci, au premier tercet, Baudelaire prend la parole et parle de lui : « Moi, mon âme est fêlée » Il veut nous montrer qu'il tient à cette cloche, dont toutes autres personnes ne s'en préoccupent et est blessé par cette indifférence. Au dernier tercet, on retrouve l'apparition de la mort : la cloche meurt, oubliée. Baudelaire utilise plusieurs champs lexicaux tels que : - Champs lexical de la mort = noir / drapeau noir

opposition fervente au coup d’état organisé par Napoléon Bonaparte. En 1862, Hugo a terminé « Les Misérables », un roman qui a augmenté sa popularité. « Les Misérables » a été écrit en cinq parties ou nous suivons la vie de Jean Valjean après sa sortie de prison en 1815, jusqu’à sa mort en 1833. Nous allons analyser un extrait du chapitre XXI : « Les héros » du livre 1, cinquième partie. Cet extrait se déroule pendant une des journées révolutionnaires de 1832 où la garde nationale et la garde municipale tentent

avec Socrate Raisons du procès de Socrate : 1. Victime des démocrates 2. Victime d’un règlement de compte personnel d’Anytos => Victime de son anticonformisme Sagesse : pensée = parole = action Mort Dialogue de Phédon : écrit dans la prison ou Socrate a été condamné « Oublie pas Criton, nous devons un cas à Asclépios » derniers mots de Socrate 4.2 Le dialogue socratique Chéréphon dit a Socrate que c’est lui le plus sage de tous les hommes de la Grèce (selon les Dieux de Delphes)

séance 1-Champs lexicaux, sur les antithèses et sur les procédés de généralisation. 2-Les thèmes dominants qui caractérisent la situation. 3-Le renversement des valeurs. 4-La dénonciation de l’horreur de la guerre dans un texte qui dépasse la référence strictement historique. Ce texte présente des situations de paradoxes, qui deviennent le principe de justice (le mal). Ca se traduit soit par des paradoxes, soit par des expressions de renversement de valeur. 1-Champ lexical Un ensemble

cultivent la macabre à travers un grand thème: la Mort. 1) La mort et son rapport au corps: le corps vu comme horreur par les deux poètes. Le corps est en effet vu avec horreur par les deux poètes. Dans Stances funèbres, Auvray l'évoque sous le champs lexical du répugnant. C'est ce que nous pouvons voir au début du cinquième sizain avec les mots suivants: "égout" vers 25, "cloaque vers 26, "infection" vers 26,"fumier" vers 27, "moisi" vers 28... autant de mots évoquant le dégoût sont utilisés pour

dont pas un seul ne rit ? Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ? Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ? Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules ; Ils vont, de l'aube au soir, faire éternellement Dans la même prison le même mouvement. Accroupis sous les dents d'une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est d'airain, tout est de fer. Jamais on ne s'arrête

Ce poème, écrit par Albertine Sarrazin, et intitulé Il y a des mois que j’écoute…, publié en 1969 dans son recueil « Poèmes ». Le sujet principal du texte est l’enfermement de l’auteure, et le récit de sa vie en prison. Ses thèmes, sont ceux du lyrisme : le temps qui fuit, l’enfance, l’amour, la solitude, l’envie d’ailleurs. C’est donc un poème lyrique, en effet, la poète nous confie ses émotions et sentiments, liés à son enfermement à Fresnes, pour un hold-up commis en décembre 1953, à seize ans