Champ Lexical De La Prison

pluie) Champ lexical de l’enfermement et de l’oppression -> "bas et lourd" + "pèse" + "couvercle" " + "cachot" + "murs" + "prison" + "corbillards" + "filets" + "barreaux" -> contient plusieurs métaphores filées (métaphore filée = métaphore qui en engendre une autre) -> le poète nous transmet la sensation d’étouffement dont il souffre Champ lexical de l’humidité -> "verser" + "cachot humide" + "pourris" + "pluie" -> atmosphère corrompu par l’humidité malsaine Champ lexical du paysage

temporel « autrefois » qui est de l’ordre de la fiction. - champs lexical de la fête « fantaisie », « lumière », « fête » pour illustrer un passé heureux. Pour le présent : - le présent est annoncé avec précision avec le connecteur temporel « maintenant ». - Il emploie le présent de vérité générale qui ancre dans la réalité + le mot « certitude ». - champs lexical de la détention, de l’enfermement « fers », « cachot », « prison » qui définissent l’horreur de son présent. Opposition entre

enfantsMOUVEMENT 1 > L'auteur dresse un tableau de la misère à travers le portrait en action d'enfants allant travail > Anaphore du déterminant possessif « ces » => proximité de l'auteur mais également du narrateur avec ces enfants > champ lexical du mouvement : « cheminer », « s'en vont », « vont », « mouvement » => soucis de réalisme de l'auteur > registre tragique : Hugo cherche à éveiller la pitié du lecteur en insistant sur la fragilité et la pureté de ces enfants => périphrases

Kyo à travers les pensées de celui-ci. I-Procédés narratifs * Caractéristiques stylistiques : Champ lexical de la mort qui rythme le texte : « morts », « cadavres », « funèbre »…. Répétitions nombreuse : « qu’il est beau de mourir de sa mort, d’une mort […] » Antithèse : « d’une mort qui ressemble à sa vie » Apostrophe « O prison.. » Questions rhétoriques fin de l’extrait Champ lexical de l’amour et de la dignité présents aussi « tendresse » Le narrateur est absent. Focalisation interne

phrases La variation du rythme des phrases peut créer différentes impressions:  Un rythme binaire produit une impression de stabilité, d’équilibre, ou a au contraire un caractère tranchant: «Mon corps est aux fers dans un cachot, mon esprit est en prison dans une idée.»  Le rythme ternaire produit inversement une impression d’instabilité, de malaise, ou au contraire de majesté dans certains poèmes. Ce rythme omniprésent dans le premier chapitre du Dernier jour d’un condamné, et dans les chapitres

Le lecteur peut éprouver de la pitié et aussi s’identifier au personnage : n’importe qui peut se mettre à sa place *le cadre spatio-temporel : . le lieu : Bicêtre = prison parisienne qui a réellement existé, « cachot » « grilles hideuses » « condamné »  « captif » « cellule », « prison » = champ lexical de la prison, de l’enfermement . les notations temporelles : le texte est intemporel, contemporain de l’écriture. On a peu de repères temporels : le condamné a perdu la notion du temps :

lyrique. Le lyrisme évoque l'amour, la nature et la mort, entre autre. Les poètes transcrivent ce qu'ils ressentent, ce qu'ils voient et ce qu'ils vivent. Dans ce poème Villon utilise le lyrisme en écrivant ce qu'il ressent lorsqu'il se trouvait en prison. L'utilisation de termes tels que : «La pluie », « Le soleil », « Nous sommes morts, âme ne nous harie », faisant référence à la nature et à la mort, deux des principaux thèmes de ce genre, mettant en évidence le lyrisme du poème.

démontrer que ces douleurs sont représentatives du Spleen Baudelairien, et une troisième et dernière partie mettra en évidence une fin funeste due à ces douleurs. I/ Des douleurs liées à l’enfermement Enfermement physique : * champ lexical de la prison *champ lexical de la douleur *assonance en «r» et «s» = cadre Enfermement moral : *poète hanté par passé *comparaison «Espérance» avec chauve-souris vers 6,7,8 = espérance de l’auteur fuit après déceptions = Fuite de l’espoir continuelle

Commentaire composé : « Prison de nacre »de luis de Gongora(plan detaillé) I)l’idéalisation du sentiment amoureux et de l’etre aimé(un sonnet galant) 1°la description de cloris a)cloris =reifiée en bijoux « nacre »=métaphore de la peau de Cloris Periphrase= « nacre articulée »->designe le doigt de cloris Periphrase= « ivoire indien »=peau de Cloris Métaphore= « pourpre »=sang de cloris Bilan=Cloris=joyau b)Cloris=déifiée « sang divin », « sacrilege »(terme blasphematoire)->Cloris=divinité

les nuits; Quand la terre est changée en un cachot humide, Où l'Espérance, comme une chauve-souris, S'en va battant les murs de son aile timideEt se cognant la tête à des plafonds pourris; Quand la pluie étalant ses immenses traînéesD'une vaste prison imite les barreaux, Et qu'un peuple muet d'infâmes araignéesVient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, Des cloches tout à coup sautent avec furieEt lancent vers le ciel un affreux hurlement, Ainsi que des esprits errants et sans patrieQui se