Champ Lexical De La Prison

endormeuses », « vaporeux », « brumeux », « blafardes », « pâles ténèbres ») Tristesse et douleur dans le cœur, dans l’âme Appel à la consolation, au sommeil, presqu’à la mort (« je vous aime et vous loue », « rien n’est plus doux ») Procédés Champ lexical de la mort Métaphore : âme / corbeau Comparaison quant à l’effet sur la douleur des « endormeuses saisons » et d’un amour d’un soir (v. 13-14) Antithèse : « permanent » / « hasardeux

peuvent rien faire. On constate deux champs lexicaux. Il y’a tout d’abord le champ lexical du travail, on peut le justifier avec la série de répétition dites précédemment, des autres termes techniques comme « machine » au vers 7 ou bien « outils ». On remarque aussi le champ lexical de la tristesse, il y a « fièvre » vers 2 ; « prison » ; « haï » vers 20 ; « misère » et même « bagne » au vers 9 qui peuvent le justifier. L’auteur donne une atmosphère de prison, d’enfermement, de claustration. Il veut

et de peur qu'elle inspire à Lalla. La ville de Marseille, ici décrite en focalisation interne à travers le regard de Lalla se révèle menaçante. Cette ville est effrayante d'abord par ce qu'elle est vide, qu'elle semble abandonnée. Le champ lexical de la solitude est donc très présent: "personne", "les maisons semblent abandonnées", "désertes", "rues silencieuses". Les seuls êtres vivants présents renforcent encore le côté inhospitalier de la ville qu'il s'agisse des "quelques chiens au poil

métaphores filées : celles de la prison et du tombeau. Une ville abandonnée Champ lexical de la solitude : « Il n’y a personne dans les rues », « les maisons semblent abandonnées », « déserte », « rues silencieuses ». Un paysage livré à « seulement quelques chiens au poil hérissé », qui « grogn[e]nt ». La ville paraît donc hostile à l’étrangère qui nous communique son angoisse au moyen de deux métaphores filées. La prison Champ lexical de l’enfermement : « fermées », «

cachot, nous fait sentir l’odeur de moisissure qui doit régner et nous indique l’ambiance lugubre. Il emploie aussi le champ lexical de la prison par l’utilisation de ces termes : « murs » (v.7), « plafonds » (v.8), « barreaux » (v.10). Ce champ lexical nous rappelle l’impossibilité pour lui de s’envoler, contrairement au poème Élévation. Tous ces éléments nous font sentir la prison qui était d’abord extérieure, est rendue à l’intérieur même du poète et ainsi, emmène son esprit dans un état de captivité

lorsqu'il doit vivre un changement dans sa vie. Son arrivée en prison est très difficile psychologiquement et physiquement. Un changement aussi radical demande beaucoup de temps, de patience, de courage et de volonté afin de s'y adapter graduellement. Le thème de l'adaptation est bien démontré par l'évolution psychologique que vit ce personnage au courant de cette histoire. > L'auteur utilise un champ lexical de temps ; autrefois, avant, au début, passé, avenir, etc.

premier paragraphe (« toit en galerie », « les bureaux »...) • L'importance des notations visuelles : - tous les détails donnés sont des perceptions visuelles, ce qui permet à Stendhal de nous faire partager à la fois le spectacle et , par un champ lexical choisi (« joli », « sublime », « admirant »...) l'enchantement que ce spectacle suscite chez son héros ; - la description est construite de façon graduelle : d'abord le panorama au plus proche (le palais du gouverneur, les bureaux, la cage)

physique : champs lexical de la maladie « la fièvre maigrit » v2 , « qu’elle pâleur » v12 , « a peine jour, déjà bien las » v13 opposition. 4e temps : Le travail des enfants est interminable et répétitif, tel de l’esclavage. Cela explique leur piètre condition physique : champs lexical de l’interminable « travailler 15h » v4 , « de l’aube au soir » v5 , « éternellement » v6 ; champs lexical de la répétition

Abondance, luxe, richesse Superlatifs « le plus de... » Champs lexical de l'urbanisme (« palais portail... ») associé au gigantisme et au luxe « galerie de deux milles pas » Accumulation ( variété des éléments urbains/ raffinement) « fontaines d'eau rose » Hyperboles chiffrées Utilisation du pluriel « officiers, officières (néologisme) », « pierreries » Champ lexical des sens qui insiste sur l'aspect agréable des lieux, notions de plaisir. Chp lexical vue/odorat/goût Relations humaines idéales Effets

la fois réaliste, romantique et épique. Dans ce texte, envoyé au bagne pour avoir volé du pain, le héros, à sa sortie de prison et sous une fausse identité, remonte progressivement la pente, devient un citoyen respectable et même maire d’une petite commune. Un jour pourtant, un homme miséreux nommé Champathieu est confondu avec l’ancien bagnard, est arrêté et risque la prison. Valjean apprend la situation et se demande s’il doit se dénoncer ou pas. Nous allons voir comment Valjean se comporte face