Champ Lexical Du Desespoir

d’être court et percutant.En l’occurrence, on peut l’analyser de 2 façons différentes : la plus évidente, la parure comme un bijou, dont la perte va perturber et gâcher la vie de Mathilde Loisel. La seconde, analyser « la parure » par le biais du champ lexical de l’apparence, dont le mot « parure » est issu. Cette seconde approche est intéressante car même si la perte de la rivière est un élément majeur du récit, d’une manière plus générale, c’est le souci exacerbé de l’apparence, et notamment de l’apparence

refrain, il est plus facilement mémorisable. -21 quatrains (le mètre est un heptamètre/heptasyllabe) et un vers détaché à la fin, avec un seul mot : liberté qui est ainsi mis en valeur et apparaît comme une valeur suprême. -On repère le champ lexical de la guerre : « armes, sang, cendre » v.7 et des métaphores qui renvoient à la perte : « refuges détruits, phares écroulés, solitude nue ». -Le rythme est alerte, dynamique car les vers sont courts et le vocabulaire est parfois simple afin

René est déprimé. 1. Champ lexical des sentiments négatifs a) « vide » (l. 4), « solitaire » (l. 4), « mélancoliques » (l. 9), « tourmenté » (l. 21), etc. Désespoir dû à des désirs insatisfaits 2. Métaphore a) « Notre cœur est […] une lyre où il manque des cordes […] » (l. 10) Fragilité émotive de l’homme C.A. Le héros traduit l’insatisfaction permanente qui caractérise l’être humain. B. René est exalté. 1. Champ lexical de sentiments positifs

exclamations et interrogations rythmiques vers 298 et 308 D.R exprime son désarroi Succession de questions rhétorique a la fin des strophes 1 et 2 renforce le désespoir de DR(vers 308 à 310) Champs lexical de la douleur et du désespoir => ce qui confirme son trouble(v292-293-294-314-295-305-313—303…) Le Dilemme Son désespoir se trouve dans le dilemme qui s’impose à lui Son père a été offensé par le père de sa « maitresse » Chimène ; vers 299 et 300 2 possibilités : venger son père sauver

la critique du destinataire, c’est-à-dire le temps, par le poète. Il est donc possible de déduire que le poète traduit son insatisfaction face au temps. D’une deuxième part, le temps décrit dans ce poème est insaisissable. En effet, le champs lexical de l’évasion énoncé par des mots tels que «échappe» (vers 30), «fuit» (vers 30), «fugitive» (vers 33), «s’envolent» (vers 39) décrit le caractère évasif du temps. Aussi, l’analogie du temps à un cours d’eau créée par la métaphore «L’homme n’a

d’insistance et d’amplification (hyperboles, superlatifs, gradations, rythmes croissants) - Amples périodes - Champs lexicaux de l’héroïsme, de l’exploit, du merveilleux Donner aux êtres, aux choses, aux événements une dimension qui les dépasse (héroïsation). Fantastique - Expression du doute (modalisation, interrogation) - Ruptures de la narration et jeux sur la focalisation - Champs lexicaux de la peur, de l’étrange, du monstrueux Susciter l’incertitude, le trouble, l’angoisse, la peur. Lyrique

crise A. L'ambiance angoissante On peut remarquer plusieurs champs lexicaux, comme par exemple celui de l'obscurité avec « noir » (v4), « nuits » (v4) , « chauve-souris » (v6), ainsi que celui de l'enfermement avec « couvercle » (v1), « cachot » (v5), « prison » (v10), « barreaux » (v10), mais aussi celui qui relève du bestiaire animal : « infâmes araignées » (v11), « chauves-souris » (v6), « geindre » (v16). = Ces champs lexicaux se complètent pour donner l'impression d'une ambiance angoissante

tombeau. » (V4). La répétition du verbe « frapper » nous montre la violence de cette souffrance. On peut voir que les sonorités en [f] et en [p] de ce verbe traduisent également sa douleur. On distingue aussi une peine morale, traduite par le champ lexical de la souffrance composé des termes : « triste » (V1) « frapper » (V4) « mourir » (V6) « je te crains » et « peur » (V11). Ce choix de vocabulaire permet d'accentuer le mal-être de la poétesse. La plainte est également traduite par l'anaphore

d'une œuvre picturale, en l'occurrence celle du peintre Watteau, artiste qui, avec Boucher, Fragonard et d'autres, a traduit avec sa sensibilité l'insouciance et la légèreté du XVIIIème siècle. a) Un paysage organisé, festif. Par l'emploi du champ lexical de la nature domestiquée : "paysage choisi [vers 1] - oiseaux - arbres [vers 10] - jets d'eau [vers 11] - les marbres " [vers 12], l'auteur nous fait pénétrer dans un jardin, un parc peut-être, en fait un paysage choisi et organisé où se déroule

Nous avons le champ lexical de la religion au vers 5 « encensoir », au vers 8 « reposoir », « le ciel », qui nous plonge dans une ambiance d’adoration mystique, pour la femme aimée Mme SABATIER. Cette mélancolie prend de l’ampleur, comme nous le constatons avec la comparaison au vers 6 « le violon frémit comme un cœur qu’on afflige ! ». Allitérations en Q qui insistent sur le désespoir et la souffrance du poète. Nous voyons donc la figure du poète décliné entre l’adoration (champ lexical de la religion)