Champ Lexical Du Desespoir

Exemple de plan lieux qui correspondent La prison physique Symbolisée par le ciel, le cachot puis l'enfer L’étouffement qui est un étouffement intérieur Le mal être physique et moral Les comparaisons avec le réel Les l'isotopies et champs lexicaux Les adjectifs qui la caractérisent et leur signification [humidité = lieu qui transpire humidité qui imprègne les murs tel le mal qui imprègne le poète et humide rime avec timide] Correspondance entre physique et moral Moyens de comparaison

familial simple : «Le logis était propre, humble, paisible, honnête »(vers 2). C'est une famille croyante et pratiquante « Rameau bénit »(Vers 3). L'enfant est tué de deux balles dans la tête, c'est une mort atroce et violente. L'auteur utilise le champ lexical de l'horreur, qui va servir à « dégouter » le lecteur et donc le choquer, tout comme les métaphores « On pouvait mettre un doigt dans le trou de ses plaies »  (vers 9) et des comparaisons « Ouvert comme un bois fendu » (vers 11) et l'opposer

large -> resserré (champs, maison, chambre, livre). * Images de l’enfer, celles du bagne. => 2 tableaux très opposés : diptyque. * Méditation auditive : chant des oiseaux ≠ voix des surveillants, étrangers (l.25-26). * Niveau lexical : * 1er tableau : termes abstraits et mélioratifs (« respect », « honneur », « reconnaissance », « amour », adverbe d’intensité « si »). * 2e tableau : termes concrets (« fouet », « marteau ») -> opposition lexicale. * Niveau syntaxique :

entier sur une atmosphère de désespoir, de pessimisme et de désenchantement. 4. Vocabulaire - Titre Le titre «colloque sentimental » est une association paradoxale d’un mot sérieux (« colloque », utilisé surtout pour un débat savant ou politique) avec les sentiments qui appartiennent plutôt au domaine de la passion. Ce paradoxe peut trouver un sens à partir du dialogue et des paroles assez décalées des deux anciens amants. - Champs lexicaux Le champ lexical de l’abandon accentue l’impression

8(1667) Questions fréquemment posées pour cette tirade 1) cette tirade superpose plusieurs situations de communication.vous indiquerez quels locuteurs et quels destinataires se succèdent dans ce passage. 2) relevez les mots développant le champ lexical de la fidélité 3) étudiez la modalité des phrases et les figures de style. 4) rédigez une partie de commentaire littéraire, que vous concentrez sur le développement suivant:une tirade lyrique. Réponses : 1) Plusieurs situations de communication :

Ce poème de Paul Eluard est extrait du recueil Le temps déborde, écrit en 1947. Basé sur la dualité, ce poème est un hymne d’amour adressé à sa compagne et à sa muse, Nush, décédée brutalement. Opposant vie et mort, oppression et résistance, désespoir et espoir, Paul Eluard ne peut cacher son spleen face à une humanité opprimée, qui sort d’une guerre terrible et meurtrière. Pourtant, l’espoir et la vie ne sont jamais loin et, comme sa compagne, il veut croire en la renaissance d’un monde nouveau

axes, et j’ai choisi des thématiques pour les représenter. Mon premier axe va se porter plutôt sur Thésée, je l’ai intitulé : Le désespoir de Thésée Mon second axe va se porter sur Phèdre, je l’a appelé : la confession de Phèdre Puis, mon troisième axes va plutôt se porter sur le dénouement de la pièce, je l’ai intitulé : un dénouement tragique. 1) Le désespoir de Thésée : Tout d’abord, nous pouvons observer que Thésée est un père désabusé, c’est à dire qu’il a perdu ses illusions, il

Les oppositions entre quatrains et tercets : dans la syntaxe (opposition « Tant que »/ « Quand » : durée, espoir/ brutalité, désespoir, …ampleur ds les quatrains des subordonnées/ brièveté et rapidité de l’enchaînement ds les tercets, « ma voix cassée, ma main impuissante ») dans le lexique (champ lexical de l’amour et de l’expression amoureuse ds les quatrains/ champ lexical de la perte et de la mort ds les tercets) Ce sonnet est donc structuré très rigoureusement en 2 phrases qui mettent en évidence

Face à cela, Andromaque réagit violemment, le désespoir l'envahit. Un sentiment de révolte la submerge lorsqu'elle s'écrie "A quoi bon m'enserrer de tes bras, te suspendre à ma robe? Comme un oiseau te blottir sous mes ailes?" , cette modalité interrogative accentue le désespoir qui envahit son être. Son indignation se manifeste par des mots durs et explicites . Elle n'hésite pas à dire à son fils qu'il est voué à la mort comme le souligne le second vers par l'usage du futur proche: " tu vas

involontaires jaillissaient entre ses dents serrées ». Elle finit par en être réduite à « souffrir » à cause de ce « petit être qui lui déchirait si cruellement les entrailles ». L’expression crue et concrète est d’un réalisme clinique. Outre le champ lexical de la souffrance physique plusieurs indices y ajoutent la valeur d’intensité : « les douleurs reprirent tout à coup avec violence et devinrent épouvantables », l’épouvante étant le stade ultime de la peur, et donc difficilement soutenable. Nous