Champ Lexical Du Desespoir

4) Mais dans 3ème quatrin : violence liée à l’espoir(v.16) Dans le 4ème quatrin : désespoir total.(v.21) Opposition quatrin (tous différents) et distiques (identiques). Changement de rimes dans les quatrins: rimes masculines au milieu de féminines, ça casse le rythme Antithèses dans distiques (nuit/jours) et dans quatrins (v.4 : espoir/désespoir) L’auteur exprime ici le regret du bonheur passé, et le désespoir actuel (passé/présent) Typographie du poème fait penser à un pont (arches du pont:

l’impératif pour prouver la puissance du temps et la « soumission » de l’Homme. Deuxièmement Baudelaire est hostile face au temps, il utilise le champ lexical de la haine et du désespoir. Pour nous montrer son désespoir Charles Baudelaire n’hésite pas à utiliser un champ lexical du désespoir : « dévore » (v9), « avide » (v17) ou encore « menace ». Ce champs lexical nous montre bien que Baudelaire à peur de l’avenir et qu’il trouve que le temps passe beaucoup trop vite. On peut donc en conclure que Baudelaire

ca/lachancej/analyse-poetique/ 1/7 Analyse poétique Analyser un poème L’analyse d’un poème est un outil intéressant a�n d’assimiler les divers éléments de la théorie. En plus d’approfondir sur les origines de celui-ci, nous pouvons examiner sa forme, son champ lexical, ses �gures de style, etc. Voici une étude générale d’un poème de Charles Baudelaire, L’ennemi. Exemple : LA POÉSIE (HTTP://HERITAGE.CSDECOU.QC.CA/LACHANCEJ /) ACCUEIL (HTTP://HERITAGE.CSDECOU.QC.CA/LACHANCEJ/) ÉCRITURE DU POÈME (HTTP://HERITAGE

pathétique avec l’impératif « Pardonnez », suscitant la pitié de Renoncourt ainsi que du lecteur. Des Grieux amplifie cette pitié en assurant qu’il a vécu le pire, avec l’hyperbole « un malheur qui n’eut jamais d’exemple ». Il utilise par ailleurs le champ lexical du destin : « destinée, fatal, Ciel », affirmant ainsi qu’il n’est pas responsable de ses propres malheurs, mais bien la victime du destin (il semble toutefois qu’il se contredise dans la dernière phrase du texte, avec l’adverbe « volontairement »

spectateur sait déjà quel va être le destin de cette reine, Jocaste rêve à son fils perdu et la gradation de ses regrets renforce le sentiment de son désespoir « si j’avais un fils, il serait beau, il tuerait le sphinx, reviendrait vainqueur ». C’est une longue plainte de la mère qui pleure son fils, illustré par l’emploi du champ lexical du désespoir et d’anaphores « ménage plus doux, ménage plus cruel, ménage plus fier, j’ai failli m’évanouir ». Jocaste, désespérée, pathétique est aussi une victime

héroïne 1) Une femme éperdue en pleine confusion Champ lexical de la douleur (montre son désespoir et sa peine) → »chagrin », « douleur », « soupir » Questions rhétoriques (indiquent qu’elle est partie et dans un état de confusion) → »où suis-je », « qu’ai-je fait », « ne puis-je savoir si j’aime ou si je hais » Une ponctuation expressive (qui marque la force des sentiments) ! 2) Une femme amoureuse mais trahie Champ lexical de l’amour (évoque une femme amoureuse) → »j’aime »

(vers 1225 à 1263) très riche en émotion qui expriment sa fureur,sa souffrance et sa complaisance suit au révélation douloureuse et éprouvant . De manière, générale ont ressent une atmosphère de souffrance renforces par les champs lexicaux de la tristesse, du chagrin, du malheur et de la souffrance .Ainsi dans le texte on retrouvé au vers 1241 « Et moi, triste rebut de la nature entière, Et moi, triste rebut de la nature entière »puis vers 1246 « Encore, dans mon malheur de trop

mère d'Iphigénie, exprime sa volonté de protéger sa fille. Comment s'organise alors la défense de Clytemnestre dans son discours ? On s'aperçoit que cette mère joue d'abord sur son impuissance et son désespoir et qu'ensuite elle se ressaisit et affronte son mari. Clytemnestre, rongée par le désespoir , montre d'abord l'erreur que commettent les dieux et le "juste Ciel" v.23 en voulant sacrifier sa fille. D'ailleurs la répétition du verbe "dire" v.2 employé avec le verbe "semble" la seconde fois

l’expression d’une véritable souffrance conduisant au sacrifice du départ. Le texte est donc fortement marqué par le registre lyrique. Le désespoir de Bridaine : - Champ lexical de la place : On a ici le champ lexical de la place très important (« la place d’honneur »/« cette table »), il évoque ainsi une situation hiérarchique bien mise en relief. - Champ lexical de la nourriture et du vin : Il est bien mis en valeur par « verre de Malaga » et « perdreaux ». On remarque que ces termes sont souvent

effet, le Temps est une source de désespoir pour le poète qui a vécu un passé malheureux et qui est encore dans le présent, est enfermé dans ses mauvais souvenirs. 3. Procédés stylistiques : Premièrement, Baudelaire fait une métaphore où il compare sa jeunesse à « un ténébreux orage ». Cette comparaison présente une image péjorative de sa jeunesse. Celle-ci nous semble avoir été triste et déprimante. Ensuite, il utilise la répétition lorsqu’il crie son désespoir en s’exclamant « Ô douleur ! ô douleur