Champ Lexical Du Desespoir

III. a) Un des sens que je peux établir entre la première phrase et la reste du texte du texte c’est qu’il y a une relation entre le professeur et l’élève. Il y a un champ lexical de la négation par exemple dans la deuxième phrase l’auteur dit : «Je n’ai rien trouvé, rien, rien ! » mais aussi qu’il y a une citation de personnages importants comme Thémistocle par exemple « Zopyre », « Scévola » , etc. Donc le narrateur nous

Table of Contents Préface1 Poèmes et textes poétique6 « Tristesse » et « Désespoir » …………………………………………………………………………………………7 Dans la forêt des mal-aimés……………………………………………………………………………….8 L’Amérique ………………………………………………………………………………………………………10 Spleen ……………………………………………………………………………………………………………..12 Chanson d’automne ………………………………………………………………………………………..13 Le mois mouillé ……………………………………………………………………………………………….14 « Désir de mourir » ……………………………………………………………………………………………………..15 Salut, ô belle

C- Le désespoir face à la mort -Support : analyse de l’extrait : « Il étouffe […] Je ne veux pas y retourner » p.75-81 Montrer comment, à travers ce passage, Ionesco aborde l’angoisse métaphysique de la mort. 1) Une angoisse désespérante Spectacle d’un persg au seuil de la mort, crie son désespoir. • Se sent seul, injustement abandonné « on ne peut pas ou bien on ne veut pas m’aider » l.21-22. • Impuissant devant son malheur « comment m’y prendre » « Moi-même, je ne puis m’aider

se laver des miasmes de la terre. V. 11: pure et divine liqueur, peut être assimilée à l’ambroisie qui est le nectar des Dieux. strophe 4: On passe de tu a celui -> troisième pres. sing. Baudelaire envie celui qui a réussit à s’élancer vers les champs lumineux et sereins et laissé derrière lui les lourds ennuis et chagrins de la terre. Il fait un parallélisme avec la bible en disant “ heureux celui qui” tiré des Béatitudes, Les Béatitudes décrivent la félicité qui attend dans l'au-delà l'homme

qu'elle va vite se rendre compte de ce qu'il va lui arrivé et c'est là qu'arrive le désespoir, la peur, la solitude. ( procédé L13 à 14 → ) ( L29) (2) Les didascalies nous aident à comprendre l'état d'esprit d'Antigone qui est effrayé par ce qui va lui arrivé. (L14-16) Le fait qu'elle murmure toute seule nous montre bien la sensation de solitude qu'elle ressent (3) Dans cet extrait on retrouve également le champ lexical de la mort (L1,L6,L33) Quand elle dit ce qu'elle veut que le garde transmette à Hémon

l'implicite. I L'évocation des aspects sordides de la lâcheté humaine a) L'expression de la souffrance et de la mort Idée : La souffrance et la mort sont présents de nombreuses fois dans le poème. Exemple : - Champs lexicaux de la souffrance et de la mort très présents: - De la souffrance: « martyrisé »(strophe 5 vers 2), « plaintes »(st6 v4), « viol »(st7 v1), « glapissants »(st8 v3). - De la mort: « échafauds »(st10 v2), « diable » (st4 v1), « enfer » (st4

autre. On peut relever le champ lexical du désespoir qui amplifie également la dimension tragique de cet extrait : « mourir », « assoiffé » ou encore l’expression « je suis l’homme qui ne possède rien ». La répétition « je vais mourir » aux lignes 11 et 13 insiste sur le fait qu’il n’y a plus d’espoir pour Alexandre face à la mort. Par ailleurs, Alexandre Le Grand fait le récit de son épopée, le registre épique est donc présent dans ce texte. Il se traduit par le champ lexical de l’héroïsme à savoir

poète dans son texte. De plus, le champ lexical des sentiments « crispe »(v.6) « douleur »(v.2) « douceur » (v.8) « plaisir »(v.8) « aimée » (v.14) chez Baudelaire et « aimée »(v.8) « heureux »(v.15) « effarée » (v.15) chez Hugo traduit les sentiments amoureux intenses qu’ils portent a ces femmes. De plus, les interjections « O » (v.14) nous font penser a des cris de douleurs chez Baudelaire et l’emploi de ponctuation forte avec les éléments de la nature  «champs ? »(v.4) « arbres profonds ? »(v.8)

transposer en Hippolyte l’amour qu’elle ressent pour son père et dans un deuxième temps dans son cœur parce qu’elle n’aurait jamais du se détourner de Thésée. Ce faisant, Phèdre créera autour de son idée un champ lexical qui finira par l’obliger à prononcer les mots qu’elle redoute tant. Ce champ lexical se formera autour de son amour trop longtemps retenu. Il sera alors question d’« ardeur » et de «charmes » qui la feront « languir », « brûler » ou mieux, s’« embraser » d’un amour puissant. Cette succession

trois registres de ce texte sont : a) Le registre pathétique : Le registre pathétique inspire au lecteur des émotions tristes et fortes devant une situation inhumaine (→ compassion). Il est caractérisé par l’emploi du champ lexical de l’affectivité, de la souffrance, du désespoir, voire de la mort ; les figures de l’amplification (répétition de « Pardon ») b) Le registre tragique : Un texte tragique émeut le lecteur car il présente des situations sans issue : les personnages, tourmentés par