Champ Lexical Du Desespoir

- évoqué comme achevé (plus que parfait : « avait déclose »v.2) - évoquant la beauté de la rose, à travers une personnification, exprimée par l’emploi du champ lexical du vêtement attribué à la fleur (« robe »v.3, « plis de sa robe »v.5) - évoquant la jeunesse de la rose : sa naissance (« déclose »v.2) et son éclat : à travers la reprise de « pourpre » en « pourprée » à couleur

Picrocholin. Problématique: Comment par ce récit de voyage le fabuliste enseigne au lecteur une leçon de vie? I- A nous deux le monde Mise en situation : autour du Rat qui veut découvrir le monde. Du champs au trou l'espace se ressers : il étouffe dans son trou. Champs lexical de champs. Le rat ne s'inquiète pas de ses actes : parataxe (juxtaposition de petite phrase sans mot de liaison pour imiter le trottinement de l'animal). Portrait du Rat. Scène de rupture : utilisation du présent = départ

persuader d’être plus tolérants ? I - Les caractéristiques de la prière Citations | Procédés | interprétations | l1 ,"c'est à toi dieu" | Apostrophe | toucher les | formule de prière | subordonnées | hommes | "cierges, prières, adorer" | chps lexical religieux | dans leurs | rythme (incantation) | subordonnées, répétitions | sentiments | "fait que","daigne" | impératif | Requette, supplication | ton solennel |   |   | 1) Célébration de la grandeur de Dieu Dieu universel qui est célébré

l’obsède, mais c’est aussi une façon d’affronter la réalité. Notamment à la fin du texte avec le sujet des larmes. A la question de Le Bret, Cyrano est indigné car, selon lui, c’est trop laid. Dans sa réplique, on trouve une opposition de deux champs lexicaux : le grotesque et le sublime. Grotesque : « trop laid » (v526) « tant de laideur grossière » (v531) « ridiculisé » (v534) « la risée » (v533) Sublime : « rien de plus sublime » (v532) « divine beauté » (v530) Cyrano utilise beaucoup de points

pouvons donc nous demander si la stratégie argumentative est efficace. La première partie de notre commentaire consistera en une analyse du registre pathétique et la seconde sur l’aspect argumentatif. I – Pathétique a) La souffrance : - champ lexical de la souffrance : « pauvre petit être » : compassion de Victor Hugo. - énumération d’adjectifs qualificatifs : « petit » ; « pleuré » ; « pauvre » - souffrance de la grand-mère : hyperbole « les sanglots l’étouffant » exagération qui insiste

14. O toi que j’eusse aimée, ô toi qui le savais ! Charles BAUDELAIRE (1821-1867), Les Fleurs du Mal. QUESTIONS 1. Que dit le texte ? 2. De quoi parle le texte ? 3. Relevez les indices des champs lexicaux suivants : - champ lexical de beauté. - champ lexical de désespoir. 4. Donnez la tonalité de ce texte. 5. Identifiez les figures de style présentes dans ce texte et faite un petit commentaire de ces figures identifiées. Cours du soir UNESCO Gabriel Dadié

tête »…, l’expression « perdait sa vapeur » évoque la perte de sang lors d’un accident, d’une blessure. - la locomotive porte un prénom de femme : Lison. b) La mort humanisée de La Lison. -impression de souffrance face à l’accident, grâce au champ lexical de la douleur : « une affreuse plaie », « des râles furieux », « « râler », « agonisante » c) La métaphore animale. -La Lison est dotée de sentiments humains mais se trouve également comparée à l’animal : une métaphore emploie l’image de la baleine

souvent représenté comme un reptile au venin et au regard mortel · Expliquer leur point commun : tous sont venimeux et dangereux. Ceci est exprimé dans le poème par le recours à de nombreux termes appartenant au champ lexical de la blessure : étouffe v2 / blesse  à mort v 6 / tué v 8 / violemment, me blesse v 13 /  « fond, frit et brule » àgradation / douleurs · Pourquoi le poète convoque-t-il ces animaux ?Il

|Sentiment d’impuissance face à la catastrophe. Héros qui |destin implacable. | |Tragique |se démarque pas sa grandeur d’âme (sens du devoir et de la|- champs lexicaux de la fatalité et de la liberté, de la faute, de la séparation, de | | |vertu), sa lucidité et son courage. |l’amour et de la mort, etc.

moderne. Les images de la grande ville répondent à la conscience malheureuse du poète. Victor Hugo dans son poème exprime une grande solitude et un grand désespoir. On peut retrouver le champ lexical de cette solitude avec au vers 1 « laissez-moi », « cache » au vers 2, et enfin « disparaît », « seul » et « décline » aux vers 3,4 et 5. Ce champ lexical vient sans doute renforcer le sentiment de solitude exprimé par Victor Hugo.