Champ Lexical Du Desespoir

par un certain désespoir dès un certain point. « Dès après les côtes du Portugal les choses se mirent à se gâter »l.60, c’est une expression à connotation négative, la préposition « Dès » donne une notion d’instantanéité à partir d’un temps donné et le complément circonstanciel de temps « après les côtes du Portugal » indique à partir de quand « les choses se mirent à se gâter ». « gâter », synonyme de dégrader, indique que les choses ont commencer à devenir mauvaise. « un vil désespoir s’est abattu

l’émotion du lecteur (ou du spectateur dans le cas des textes de théâtre) en s’exprimant de façon imagée et hyperbolique. Les principaux procédés du registre pathétique sont : -L’évocation d’une situation douloureuse pour les personnages. -Les champs lexicaux de la douleur. -L’emploi de la 1ere personne qui dévoile le cœur du personnage. -Les phrases exclamatives sou interrogatives qui traduisent une douleur exacerbée. Le registre épique : Le registre épique rend compte des exploits des héros

Voltaire rend-il particulièrement efficace cette dénonciation ? Nous verrons que si dans un premier temps, le philosophe utilise le registre privilégié de l’ironie pour condamner la guerre et la religion qui l’encourage, c’est pour échapper à un désespoir qui nourrit son ton polémique et l’amène finalement à un certain pathétique. | I Une condamnation ironique de la guerre : Idée : La cible de cet article comme son titre l’indique est bien sûr la guerre, envisagée comme source de chaos et de souffrances

du poème est un autoportrait de Victor Hugo. Il décrit sa douleur mais évoque également des moments de bonheur intense vécus en compagnie de sa fille Léopoldine. Après le vers 23, le ton devient grave, le lyrisme est élégiaque. On relève un champ lexical de l’écriture : « livre », « plume », « page blanche », « langue », « histoire » qui montre le travail solitaire de l’écrivain qu’est Victor Hugo, et la bouffée d’air frais que lui apportent les visites matinales de sa fille. L’enjambement : «

« Régnez » « contentez » cela traduit son dépit Hyperboles aux vers 7 « après vos serments », 8 « Tous nos moments »soulignent non seulement le dépit mais la colère de Bérénice Champs lexicaux de la souffrance et la séparation Les exclamatives expriment son état d'esprit, son désespoir(v.13;19;20) et dénotent le désespoir de la protagoniste Les interrogatives rhétoriques vers 13 14 21 22 28 marquent son sentiment d'impuissance face à cette décision La présence d'antithèses v21 22 23 mettent

maison quand on ne peut plus y demeurer, que l’homme est sur la terre comme un soldat à son poste : comme s’il importait à l’Etre des êtres que l’assemblage de quelques parties de matière fût dans un lieu ou dans un autre ; raisons impuissantes qu’un désespoir ferme et réfléchi dédaigne d’écouter, et auxquelles Caton ne répondit que par un coup de poignard. Le morne et terrible silence de l’Ingénu ; ses yeux sombres, ses lèvres tremblantes, les frémissements de son corps, portaient dans l’âme de tous ceux

états d’âme du chevreuil en comparaison avec lui-même que de l’homme de lettres évoque au passage le sentiment de désespoir qu’il éprouve ainsi que la mort dont il peut être victime à n’importe quel moment. Tel que mentionné dans le propos du texte, le thème principal du poème est le chevreuil. On peut d’ailleurs remarquer l’utilisation de mots appartenant à un même champ lexical qui caractérise autant de manières directes qu’indirectes les allées et venues du chevreuil comme : bois, mont, vallée

pas le faire. À l’aide du champ lexical de la misère, on arrive facilement à comprendre la situation dans laquelle ces gens se trouvaient. Tout au long de l’œuvre, on rencontre une panoplie de mots et d’expressions se rapportant à la misère : «un’ vie d’chien», «tous les gars d’la misère», «nous r’console», «souffre», «pauvre», «crasse», «défense», et plusieurs autres. Également, par l’entremise de l’histoire que raconte le poème, on ressent encore plus le cri de désespoir de l’auteur. Il parle du

Dieu ! il était donc revenu ce mal abominable dont il se croyait guéri ! » (l. 2-3). Dans le premier paragraphe, il décrit les symptômes de son mal qui, à son grand désespoir, est réapparu : depuis l’adolescence, il est pris d’une envie irrésistible d’égorger les femmes pour lesquelles il éprouve du désir, souligné par le champ lexical du plaisir – « la fièvre grandissante, affolante du désir » (l. 5) ; « c’était pour le plaisir, parce qu’il en avait une envie, une envie telle » (l. 10) et une pulsion

« Qu’il périsse ! »  « Qu’il meure » en parlant d’un ton désapprobateur. Les champs lexicaux de la mort et de la haine reflètent cette détestation qu’éprouve Hermione : « dévore », « hais », « douleur », « menace », « venger », « périsse », « rage », « mort ». Cela donne une image sombre des sentiments d’Hermione. Cependant, cette répugnance n’est pas totale. Hermione aime encore Pyrrhus. Elle le montre dans le champ lexical de l’amour : Vers 12 «  Mon cœur, mon lâche cœur s’intéresse pour lui »