Champ Lexical Du Regard

verrons comment l’humeur morose de Frédéric transparait  à travers sa vision de son environnemen I un regard realiste etesthetique sur paris. 1) Paris vu de la fenêtre : -monuments religieux et des monuments élevés qui attirent le regard - champ lexical du regard -progression de la description 2) Paris à hauteur du personnage -évocation du Quartier Latin -champ lexical du bruit et des métiers II Un héros spectateur et non acteur 1) L’expression du désoeuvrement La tristesse : connotation

immoraux) => Ironie - Exhortations : "regardez", "voyez" -> Ces exhortations permettent à Ruy Blas d'insinuer que les ministres sont aveugles. 2)Une accusation - Ruy Blas accuse les ministres de chercher des profits personnels => "votre poche" + champ lexical du vol : "pillez", "volez"..., "fossoyeurs"... - Ruy Blas dénonce l'absence de patriotisme et d'attachement au royaume - "Tout se fait par intrigue et rien par loyauté." : structure antithétique => "tout / rien" "intrigue / loyauté" B- Ruy

Desqueyroux » [Argument] : Présentation des protagonistes comme si lecteur les connaissait déjà Lecteur directement plongé dans l’action LIEU : CADRE JUDICIAIRE Indication des lieux :  « ce couloir dérobé du Palais de Justice » « la route de Budos » Champ lexical de la justice : « non-lieu », « victime » « déposition » [Argument] : Lieu non précis sauf la ville Budos Lecteur ne sait pas les raisons pour lesquelles l’action se passe dans un tribunal, les raisons pour lesquelles Thérèse est inculpée  Lecteur

au premier objet qui nous prend, qu’on renonce au monde pour lui, et qu’on n’ait plus d’yeux pour personne ? ». Cette privation est d’autant plus insupportable qu’il s’agit d’une privation précoce comparée à une mort prématurée. On observe le champ lexical de la mort : « on renonce au monde », « s’ensevelir » « être mort dès sa jeunesse ». L’antithèse dans cette dernière expression (« mort » et « jeunesse » sont rapprochés) met en relief le caractère insupportable et contre-nature de la fidélité

que cet évènement est achevé au moment de l’écriture, il évoque donc un évènement passé. · La description souligne par le pléonasme "bruits confus" (l.2)/"impossible à identifier" (l.2) créer une atmosphère mystérieuse de la pièce voisine. · Champ lexical de la demeure : « fenêtre »l 3,« terrasse » l3, »hall »l5, »pièce » l2, »salon » l7 : Décrire le cadre spatio temporel du personnage .Le narrateur est spectateur de ce qu’il entoure. · « suppliait de me joindre » l5  est une hyperbole qui donne

chemins semblaient des fleuves de boue; la campagne, une plaine de boue; et on n'entendait aucun bruit que celui de l'eau tombant; on ne voyait aucun mouvement que le vol tourbillonnant des corbeaux qui se déroulait comme un nuage, s'abattait dans un champ, puis repartait. Vers quatre heures, l'armée des bêtes sombres et volantes venait se percher dans les grands hêtres à gauche du château, en poussant des cris assourdissants. Pendant près d'une heure, ils voletaient de cime en cime, semblaient se

l’Antiquité avec les termes « encens » et « portiques », Du Roy descend « entre deux haies de spectateurs ». Dans cette église, à la fin de l’extrait, Georges Du Roy surplombe la foule : il se trouve sur le seuil, en hauteur, quand la foule, elle, le regarde, dehors, en bas ds escaliers. Une telle position spatiale est révélatrice de la position spatiale de Du Roy : il domine Paris. 2. Le triomphe : Cette cérémonie de mariage consacre en premier lieu un homme qui de Georges Duroy est devenu Georges

Le poète guide notre regard : 1. le lecteur est désigné comme celui qui se promène : - Le pronom démonstratif « celui qui » revient 2 fois, le lecteur est dc mis dans la position de celui qui se promène. - Le poète nous invite alors a tourner notre regard de l’extérieur vers l’intérieur en insistant sur les comparatifs qui le valorise « autant que, plus que, moins intéressant que ». - Il met en valeur le fait est que la véritable richesse est l’expérience de regarder de l’extérieur vers

vie) et plat (pas d'arbres) - lieu de marais et de terres nues - plaine rase - champs de betterave - Insistance sur le froid - Vent d'est sec et cinglant : on note des termes connotant le vent (larges rafales) et le froid (glacées) Métaphore filée de la mer : la plaine est comparée à la mer. Omniprésence du vent avec la comparaison aux embruns. Aspect lugubre accentué par le fait qu'il fait nuit à Champ lexical de l'obscuritéb. Personnage désolé La description du personnage est pathétique

PLAN :I – Un amour qui semble unilatéral a) regard personnel champ lexical de la vue + description précise et très détaillée + métaphore éblouissement/ modalisateur «  du moins » = voit que Ab) Focalisation interne discours indirect libre = pensées + vocabulaire de l’affection (palpitaient , splendeur )émet hypothèses (voir en bas)II – Un amour idéalisé qui embellit la réalitéa) portrait de A F sensible beauté de A , l observe comme peintre observe son modèledescription tête => puis corps entier