Champ Lexical Du Regard

Pour ce faire, nous parlerons de son hallucination, de sa passion tragique puis de l’inversion des diverses valeurs. Transition : Tout d’abord, nous évoquerons en détails de l’hallucination deMme Walter grâce au schéma narratif, et au champ lexical du regard. I Pour commencer, le texte respecte un schéma narratif bien précis. En effet, Mme Walter aperçoit le Christ pour la première fois àla ligne 3 « l’image sereine de Jésus », puis elle l’entend tel que « Venez a moi » (ligne 5) pour enfin

le tableau est assimilé à un être vivant. Thèmes développés et champs lexicaux : Le thème de la mort, notamment avec le champ lexical de la mort : « pendu », « Enfer », « seul », « angoisse ». Le thème de la honte avec le champ lexical de la moquerie : « rire », « moques », « honte ». Conclusion Un art poétique : poème qui est l’acte de naissance de la modernité poétique : le poète est celui qui par la nouveauté du regard qu’il pose sur le monde fait jaillir la puissance poétique enfouie

regard:a:Le regard-le blason du regard, des yeux (cf définition)-Champ lexical de la circularité du regard: "courbe", "tour", "rond", "auréole",...- le "rond" v.2 associé à la "douceur "- un premier quintiles qui joue sur des sonorités [ou] et [r] : courbe, douceur etc.. pur exprimer le regard-la circularité est d'autant plus conféré entre le v.1 et 15, ou l'on remarque un chiasme:La courbe de tes yeux fait le tour de mon cœurEt tout mon sang coule dans leur regards.b)L'éveil des sens:-Le regard est associé

Le dormeur du val est l’un des premier poème d’Arthur Rimbaud, qu’il écrit en octobre 1870 alors qu’il avait a peine 16 ans, lors de guerre franco-prussienne. L’auteur témoigne de sa révolte contre la guerre puisque lors d'une fugue, il traversa un champ de bataille jonché de cadavres. Dans ce poème l’auteur parle avant tout le la guerre, la mort tout en introduisant des éléments idyllique, dans un cadre champêtre. Après avoir montré comment le poète nous dépeint la nature puis l'homme, nous

poème pour Léopoldine à l’occasion de son mariage avec Charles Vacquerie. Il se réjouit pour sa fille de son bonheur mais ressent une profonde douleur à la laisser partir. On observe un champ lexical de la joie : « heureuse » (vers 1), « bonheur » (vers 3), « sourire » (vers 8). En opposition, on a un champ lexical de la souffrance : « adieu » (vers 2), « regret » (vers7), « larme » (vers 8). Une énumération est présente au vers 6 : « Fille, épouse, ange, enfant », elle parle de Léopoldine. Une métaphore

regret se lit également dans la phase « je devais quitter cette ville ». Le destin du personnage semble scellé dès le début. Cette première partie définit un cadre spatio- temporel précis, par l’usage des noms des villes (Amiens, Arras) et par le champ lexical du temps (« la veille », « le temps », « un jour plus tôt »). La scène décrite est banale : un cadre urbain (« hôtellerie », « coche », « voitures »), une promenade avec un ami, une scène de rue dont les deux amis sont témoins à partir du passage

:la femme est comparée à ce cadavre. Champ lexical de la décomposition : sentiment de répulsion. → on sent un rapport étrange entre Baudelaire et la femme et Baudelaire et la Nature, qu’il semble mépriser II. La transfiguration par l’art . → De nombreux contrastes : on tire la beauté de la laideur. Contrate entre doux et cailloux ; ordure et nature . → Strophe 6,7,8 .Le choc révèle la beauté cachée . Strophe 4 « carcasse superbe » , le regard a changé . Une fleur qui s’épanouit :

de l’admettre. Il préfère donc s’en cacher avant d’être forcé à se regarder tel qu’il est réellement. C’est cette idée qui est développée tout au long de la 2nde partie de cette fable et qui constitue l’élément déclencheur. Dès le vers 11, on remarque que l’imparfait à fait place au présent de narration. La transition est montrée par la conjonction de coordination « mais » au vers 14. Narcisse est désormais forcé de se regarder dans l’eau du canal ce qui engendre sa colère. Cette colère est montrée

sur le  prénom et « MARTHA» qui est sa fille. Ce que l’on sait grâce au texte et à une didascalie qui dit «Martha regarde sa mère.» (l.11). En ce qui concerne «La mère» on sait que c’est une vieille femme grâce au texte: «Non, c’est un rêve de vieille femme.»(l.16); « A la fin d’une vie on peut bien se laisser aller.»(l.20); «Je vois mal»(l.42). On peut relever aussi, le champ lexical de la fatigue dans le texte ainsi que dans les didascalies: «avec lassitude»(l.9); «singulière» (l.12) ; « fatiguée»(l

aveu et même employé (v 971) il ressoit car il est situer après la censure et dans les 1er vers de plus il s'agit bien d'un propres amoureux le champs lexical dominant et celui de l'amour qui est développe tous au long de l'extrait les mots « appas » et « attraits » renvoient au attrait féminins est mais en valeurs à la rime de même il utilise le champs lexical de l’attirance les termes « charmes » et « charmant » se font écho et évoque l’envoûtement amoureux. Le spectateur comprend d'emblée qu'il est