Chanel Concurrence

commerciales, réglementaires: brevets…) ? Entrants potentiels : la plus ou moins grande facilité d’accès à une industrie détermine nécessairement l’intensité de la concurrence. La menace de nx entrants est fonction du niveau des barrières à l’entrée, c’est-à-dire des facteurs que les netrants potentiels doivent surmonter pour pouvoir concurrencer les E déjà en place. 3 grandes catégories : les barrières finanicères, les barrières commerciales (l’accès aux réseaux de distribution, la réputation,) les abrrières

sélective (contraire à la grande distribution). La stratégie poursuivie par Vuitton est ici exemplaire : aucun produit de la marque ne doit être vendu dans un point de vente qui n’est pas contrôlé, au moins à 51 %, par la société. Parler de la concurrence reviendrait à banaliser le produit ou le service de luxe. Ainsi un couturier ne cherche pas, dans ses collections, à être meilleur que X ou Y, ni même différent. Il cherche d’abord à proposer un univers qui reflète ses choix esthétiques et sa personnalité

de prix adoptée, comparée aux prix pratiqués par la concurrence la distribution : stratégie suivie, circuits utilisés, type de points de vente, répartition géographique, les éventuels freins des distributeurs la communication : importance des investissements publicitaires de l’entreprise par rapport à l’ensemble des investissements publicitaires du marché, évolution, cohérence du positionnement choisi en comparaison avec ceux de la concurrence pertinence du choix des médias et des moyens hors médias

ventes que le web directement peut-on utiliser pour diffuser la boutique en ligne d’Eres ? Sommaire Analyse Externe Eres est une marque balnéaire créée en 1986 à Paris par Irène Leroux. Eres est une marque qui appartient à la société mère Chanel (Eres, Bourjois). Son activité exclusive est l’industrie du textile et ses produit son Balnéaire, lingerie et corsetterie. Le directeur général se nomme Olivier Mauny. Le chiffre d’affaire de l’année 2011 est de 32 076 437€ Il est évolutif

............................... 8 Paradoxe de la demande : ............................................................................................................................................................ 8 Paradoxe du prix et de la concurrence : ....................................................................................................................................... 8 Paradoxe de la distribution : ..........................................................................

de rêve. Mais quel est donc le prix d'un rêve ? Quant à la concurrence, son rôle semble également moins déterminant. Dans l'univers de la grande consommation, les chefs de produit sont obsédés par la recherche d'un « avantage concurrentiel ». Pour réussir, un nouveau produit doit absolument offrir un « plus » : être plus performant, plus commode d'emploi, durer plus longtemps... Dans le domaine du luxe, la référence à la concurrence n'est pas aussi systématique, ni pour le consommateur ni pour

Partie commerciale Page 1 1- Identification du point de vente 2- Zone de chalandise et concurrence 3- Politique commerciale 4- Atouts du point de vente Techniques de marchandisage Page 2 1- Présentation des produits à la vente

soit leur taille ou leur domaine de prédilection, les entreprises se doivent, si elles souhaitent maintenir leur positionnement ou ne serait ce qu’assurer leur survie, de répondre aux contraintes du marché. Ces dernières se manifestent par une concurrence exacerbée et une demande perpétuelle de plus en plus exigeante, la première impliquant de se surpasser et la seconde de se démarquer. Les entreprises s’évertuent à y parvenir par le biais de l’innovation. Il semble, par conséquent, intéressant

gamme est concurrencé par les enseignes de prêt-à-porter pour qui les accessoires constituent un véritable relai de croissance. Sur le segment bas de gamme, ce sont les grandes surfaces alimentaires qui dominent. Dans ce contexte concurrentiel, l’adhésion à un réseau de commerce sous enseigne est donc un atout précieux, afin de bénéficier de conditions d’approvisionnement avantageuses et de proposer une offre fréquemment renouvelée. Tendances : Face à l'intensification de la concurrence, seuls les

cent ans, plutôt que de galvauder son image.» Moins tapageuse, la marque souffre aussi moins des contrefaçons que ses rivales. Car, si l'on achète une copie, c'est pour épater la galerie. D'où cet engouement pour les faux bardés d'inscriptions Dior, Chanel ou Dolce & Gabbana. En dissimulant la minuscule mention «Hermès Paris» sous le rabat de ses sacs, le sellier parisien attire ettement moins de convoitises. Même sobriété en ce qui concerne le réseau de vente. Avec 309 boutiques dans le monde, dont