Chefferie

étant « libre », le but étant de les pousser à s'installer définitivement). Il va le faire en créant un statut de l'indigénat, créant des réserves pour les Mélanésiens dont les terres sont organisées en « tribus » ou « chefferies » déjà existantes et en créant des « grandes chefferies » ou « districts ». Le premier convoi pénitentiaire arrive en 1864 (transportés ou délinquants et criminels de droit commun, et relégués ou auteurs de délits ou petits crimes récidivistes). Les « transportés » arrivent

L’économie de la province est à l’heure actuelle fermée, spécialement le secteur primaire, dans la mesure où une grande partie de sa production agricole ne fait pas l’objet d’échange à l’intérieur de la province, c’est-à-dire entre les territoires, chefferies, districts et villes et aussi à l’extérieur avec les autres provinces afin de gagner les avantages comparatifs voir même absolus dans les échanges. De ce qui précède, la préoccupation majeure de ce présent travail reste de démontrer à quel niveau

Houphouët-Boigny, Yaa N’So ou la « Reine de Yamousso » qui régnait à la place de ses propres frères qui n’avaient pas la carrure pour le faire n’hésite pas à former son neveu Kouassi N’Go II et son petit neveu Félix Houphouët-Boigny à l’exercice de la chefferie. Félix Houphouët-Boigny a été ainsi formé par un chef dynamique, exemplaire et courageux. D’ailleurs, pendant son règne, N’Gokro a été rebaptisé par les colons « Yamoussoukro » en son honneur. A sa mort en 1909, son neveu Kouassi N’Go II est désigné

Le leadership (anglicisme répandu en français européen ainsi qu'au Québec), ou la chefferie (français québécois et africain) d'un individu est, au sein d'un groupe ou d'une collectivité, la relation de confiance qui s'établit entre cet individu et la majorité des membres de ce groupe ou de cette collectivité dans la poursuite d'un objectif partagé. En allemand, on parlera de führung. Cette relation est temporaire (et parfois éphémère) et réciproque et même synallagmatique (le leader doit autant

création du royaume par des Berbéres venus du sahara vers le Vè siècle. Le royaume fût par la suite dominé par les Soninké peuple animiste vivant à la limite Sud du Sahara. Le royaume de Ghana s’aggrandit pour devenir un empire en rassemblant les chefferies situées aux alentours. Comme l’indique l’historien britanique Basil Davidson, des prospections et des fouilles dans la région du Moyen-Niger, achevées en 1984 ont révélé une cinquantaine d'anciens sites de peuplements humains, ayant appartenu à

Togobala. Son retour lui fait découvrir son histoire, la gloire de sa lignée et de son insignifiant héritage, pour une dynastie naguère riche, prospère et respectée. Malheureusement, les indépendances bouleversèrent tout, au système politique et à la chefferie. Fama décida toutefois de vivre en République des Ebènes en compagnie de sa seconde épouse Mariam qui est legs de son cousin Lacina. Malgré les conseil du féticheur et esclave affranchi Balla, Fama se mit en route pour la République durant une instabilité

régime dans lequel le pouvoir du monarque est limité par la structure féodale du royaume (plus il a des terres plus il est grand). Le monarque ne peut diriger qu’avec l’accord des seigneurs. Exemple : l’Europe avec la royauté et l’Afrique avec les chefferies, les lamida et le sultanat Bamoun. b. La monarchie absolue Le roi prétend gouverner sans limites. Il a tous les droits sur ses sujets. Il tend à assimiler sa volonté à la loi. Le pouvoir est fondé sur l’absolu divin. Le pouvoir politique est

commandement de la chefferie, symbolisé par 18 un chapeau de paille piqué de grosses aiguilles. L’un régnait le matin et l’autre le soir. A la mort de leur père, les deux frères divisèrent la chefferie en deux : Hadjélé commanda Ngao-Hora, (le dôme qui se dresse au nord de Ngaoundéré) et devint l’ancêtre des Mboum de Mbang-Mboum. Hâdjélé, quant à lui eut en partage Ngao-Pak-Haï (sommet situé à l’est de Ngaoundéré. La bonne entente régna entre eux et leur chefferie n’entrèrent jamais

Le chef des tribus, ne dispose d’aucune autorité ou de pouvoir de coercition, il n’est pas un chef d’État. Le chef «sauvage»n’est pas un future despote et il ne préfigure pas un embryon d’État. Pourquoi ? Le pouvoir politique est exterieur à la chefferie, il est detenu non par le chef, mais par la société, son seul rôle est de moderer les parties en cas de conflits et d’apaiser la communauté Page 9 Pour ce faire, il ne dispose que du prestige et de rien d’autre. «La parole du chef n’a pas force

or il a crée des divisons entre les classes = domination, violence, coercition. L’Etat représente la résurgence de l’état de nature à l’intérieur de la société qui a pour but de supprimer l’état sauvage. C’est un accident de l’Histoire. La chefferie Indienne→ le pouvoir « impuissant » des chefs Indiens d’Amérique, native américains. Le chef on lui demande de : - pacifier les rapports entre les indiv du groupe, pas le droit de juger, trancher lors d’un différent→ modérateur - faire des cadeaux→